Kidnapped.

Chapitre IV. - Le Viol

/!\  ATTENTION /!\
Ce chapitre comporte une ou plusieurs scènes qui peuvent heurter la sensibilité de certains lecteurs.
Je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez.
Bien Cordialement -WriterShade

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« J'entends le bruit d'un « Zip ».
Le calvaire commence. »

Une fois sa braguette ouverte, il fit descendre son jean gris à ses chevilles et pris la parole :

- Pour aujourd'hui, je n'utiliserais pas les outils que tu as vus. Je ne suis pas méchant à ce point là. - Il se mit à rire franchement.
« Pas méchant a ce point là » ? C'est une blague.

La jupe qu'il m'a donné est très courte, en cuir noire, véritable. Un long Zip la parcours a l'arrière.
Zip qui ne resteras pas en place bien longtemps.

Elle tomba à mes chevilles.
Je me mis à trembler lorsque ses longs doigts parcoururent, de haut en bas, la peau de ma cuisse mise à nu.

Les 20 centimètres de talon et mes tremblements me font fléchir les genoux, ce que je regrettais rapidement.

Il me releva en appuyant sa main entre mes cuisses, un doigt appuyer sur mon clitoris, par dessus la culotte au motif léopard.

Une larme coula.

De son index, il poussa la culotte sur le côté et commença, à l'aide de son majeur, à faire des mouvements circulaires sur mon entrejambe nu.
Je l'entendais gémir.
Personne me m'avait jamais touchés et je regretterais toute ma vie, cette première fois atroce.

Il se baissa, à hauteur de mes fesses et déchira le morceau de tissu à l'aide de sa bouche. Ce qui me fis sursauter.
D'une main, il me baissa encore un peu plus vers l'avant et se cambra légèrement sur moi, en frottant son sexe, de mon vagin à mon anus.
Il gémissait sans cesse. Tandis que moi, je retenais mon souffle et mes larmes en essayant de vider mon esprit et de voyager dans mon imagination paradisiaque.

D'un coup, je me mis à hurler de douleur.
Des larmes coulèrent à flots sur mes joues, du sang, des tonnes de litres de sang s'écoulèrent sur le sol.
Je ne savais pas si cela venait de mon vagin, de mon anus ou de je ne sais quoi mais ce que je savais, c'est que la douleur était insoutenable.
Elle me prenait au tripes.
Pendant que Julien gémissait, moi, je hurler et pleurer.

Il était violent, de plus en plus.
Des vas et viens de plus en plus rapide et de plus en plus forts.
Du sang et encore du sang.
Je tenais à peine. Mes bras était à bout de forces, n'arrivant plus à me soutenir.
Mes pieds était en feu et la vue du sang me faisait tourner la tête.

Subitement, la porte s'ouvrit dans un vacarme infernal et l'homme de main qui m'a regardé un peu plus tôt fut irruption dans la pièce.

Julien se releva et se tourna vers lui, pas plus dérangé que ça d'être à moitié nu devant lui.
J'en profitais pour m'asseoir sur le fauteuil, à la limite de l'agonie.
Julien pris la parole, visiblement très énervé d'avoir été coupé dans son élan :

- Bordel ! Qu'est ce qui te fait croire que tu peux te pointer ici sans autorisation, Seb ?! Tu vois pas que tu nous dérange ?!
L'homme de main, Seb, m'a jeter un regard furtif mais conciliant. Je le suppliais des yeux. Je le suppliais de m'aider.
- Quelqu'un veut te voir. C'est urgent. Désolé de te déranger mais je pensais que tu voudrais savoir.
Il a l'air inquiet.
- Surveille la. Qu'elle ne s'échappe pas de cette pièce ! Je reviens.

Sur ces mots, il partît en claquant la porte.
C'est étrange mais je me sens en sécurité avec Seb.
Il est grand et musclé.
Une légère barbe de quelques jours s'impose sur son visage, qui a l'air doux.
Il est très clair de peau. Mais c'est yeux sont d'un vert émeraude merveilleux.
C'est hypnotisant.
Il est très bien habillé et il a l'air d'avoir dans la vingtaine.
Je décide alors de faire la conversation.

- Seb, c'est ça ? Je suis intimidé. Je ne sais pas si j'ai bien fait.
- Oui, et toi c'est quoi ton nom ? Il a répondu gentillement. Ça me rassure.
- Énora...
- C'est un beau prénom.
Dis moi, y'a beaucoup de sang ici.
- Oui.. Euh... C'est... Je ne sais pas quoi lui dire...
- J'ai compris. Il semble subitement énervé. Je commence à m'inquiéter.
Déjà que je ne suis pas d'accord avec ces manières, si en plus il fait du mal à une fille.... Je vais le tuer. Il se leva mais je le retint par le bras.
- Seb. Arrête ! Il va te tuer si tu ne t'arrêtes pas maintenant !
- Sors d'ici. Je me débrouille avec lui.
Dépêche toi ! Vas-t'en !
Je ne compris pas de suite ce qu'il fallait que je fasse.

Je me leva et une énorme douleur se fit ressentir au niveau de mon anus.
Marcher fut une épreuve difficile.
Seb me pointa du doigt un conduit d'aération. J'hocha la tête et ôta la plaque dévissée.
Seb me suivit et une fois que je suis à l'intérieur, il referma le couvercle.
Suis-je libre ?
J'avançais doucement et sans bruit. Je me demande comment Seb va maquiller mon absence. Et s'il va s'en sortir.

Au fur et à mesure de mon avancée, je vis une échelle, je grimpe dessus à grande vitesse malgré la douleur et frappa fermement et sûrement sur la plaque ronde qui s'ouvrit dans un énorme bruit.

La lumière, les voitures, les magasins, l'air frais...

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