Chapitre VIX - Bienvenue au Paradis

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•••

Julien commença à déboutonné son pantalon et retira sa chemise.
Sébastien, toujours sur moi, commença à trembler.

J'étais paniquer. Je ne voulais pas.
Je ne voulais ni subir ni envisager.
Les larmes déferlent sur mes joues déjà bien rouge.

- Sébastien, je t'en pris. Fait quelque chose.
Je chuchote.

Il me regarda intensément, tellement que mon cœur à raté un battement.
Le temps c'était arrêter. Et tout autour de moi c'était comme envolé.
J'aurais aimé que cet instant ne se finisse jamais.

Encore dans mes pensées, j'entendis un gros boum.
Julien était par terre, Sébastien sur lui, fou de rage.

À cet instant précis, j'ai cru que tout était fini.

Sébastien arrêta de frapper et se releva.
Julien fit pareil.

Il était bien amoché.

- PUTAIN MAIS QU'EST-CE QUI TE PREND À TOI ?!

- Tu n'as jamais appris qu'il faut traiter les femmes comme des reines ?
Regarde à quoi tu ressembles ?
Tes qu'un pauvre type sans femme ni enfants.
Personnes ne veut d'un gars comme toi.
T'es en manque d'affection et tu t'en procure par la force.
Mais regarde toi bordel ! Tu ne vaut rien.
Au lieu de t'en prendre aux femmes innocentes, réfléchis sur toi même et demande toi si le problème ne viens pas de toi, enfoiré.

- C'est toi qui me donne des leçons de morale ?
Monsieur blanc comme neige, tu parles !
Dis nous, combien de femmes et enfants innocents as-tu tués ?
Combien de famille as-tu détruites par tes mains ?
Tu me parles d'honneur et de valeurs, mais tu as les mains pleines de sang.
Le sang d'enfants et de femmes.

- On ne parles pas du même sujet !
J'y été obligé ! Contrairement à toi.
Ton avenir est tracé Julien !
Tu à le fric et le pouvoir.
Moi je viens de la rue. Tout est incertain.
Pour survivre, je dois me plier aux ordres de fils de putes comme toi.

- On se calme.
Je pris la parole, très affaiblie. Je devrais les laisser s'entre-tuer mais je préfère intervenir, quoi qu'il m'en coûte.

- ( Je me tourne vers Julien) Toi, tu es un enfoiré. Tu as flingué ma sœur alors range ta morale.

Ma voix s'assombrit

Quant à toi, Seb, je t'aimais bien mais tu à su me prouver que je ne pouvais pas compter sur toi pour me sauver.

Maintenant, entre-tués vous. Ça m'est égal.
Que le meilleur gagne. Je vais me coucher.

- Je te signale que tu n'as rien à décidé. Tu es sous mes ordres.

- Puis-je aller me coucher ?

- Je t'en pris.

- Merci.

Connard.
Arrivée dans la petite pièce, étant déjà déshabiller, je pris une douche de trois quarts d'heure, j'enfile un pyjama et je commence à faire ce que j'ai à faire.
Je ne sortirai jamais d'ici vivante.
Je ne souhaite pas mourir par torture.
Alors je m'en chargerai moi même.

Les bras nus, la lame à la main, je commence ma douce envolé vers la liberté.

Une ligne par ci, une ligne par là.
Le sang coule à flots.
Il est temps d'attaquer les veines, et de dire adieu à tous ce que j'ai cru.

Maman, Papa, Petite Sœur, j'arrive.

•••
Je suis désolée pour court chapitre, je travaille beaucoup en ce moment et j'ai du mal à me concentrer sur autre chose.
Le prochain chapitre sera plus long.
Bisous bisous.

Kidnapped.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant