Paranoïaque. [En Réécriture]

8. Luke et ses réactions étranges.

En ouvrant la porte tout les garçons ce sont retournés vers moi et pour la première fois de ma vie je courue dans les bras de Luke, chose qui ne se reproduira plus jamais dans ma vie je peux vous le jurer.

Sur le coup il semblait surpris de mon geste mais peut a peut je sentis ses bras s'entourer doucement autour de moi, il ne me touchait à peine et ne me serrait donc pas contre lui, ce que j'ai particulièrement appréciée.

- Chut.. Ça va aller.. - dit-il en me berçant. -

- Je.. Je n'aurais p...pas du sortir to... toute seule.. désolée. 

Je sentais le regard lourds des autres peser sur moi et j'avais honte d'être rentrée comme ça en pleure devant tout le monde. 

Luke s'assit sur le lit et me fit asseoir sur ses genoux en me soutenant  toujours dans ses bras, je me sentais rassurée mais j'étais mal à l'aise de me trouver à cet instant dans cette position avec ce bouffon.   

- Les gars vous pouvez sortir 5 minutes. Le temps qu'elle m'explique ce qu'il se passe? 

- D'accord, venez. - Ils sortent tous à l'exception d'un seul. -

-Même toi Ashton. 

-Je veux savoir ce qu'elle a alors je reste. 

-Dégage! - Luke s'énerve pour aucune raison sur Ashton, il veut juste prendre des nouvelles de moi, ce qui reste étrange je vous l'accorde. -

- Mais j'ai le droit de savoir parce que je... 

- Ta gueule! Sort d'ici! - Dit-il en lui coupant la parole. -

Après que Ashton fut sorti de la pièce sous les menaces persistante du grand blond, il me décolla de son torse pour me regarder fixement dans les yeux.

Je sentais de la pitié et de la compassion dans son regard, ce qui me fit baisser la tête de gêne. 

- Tu peux me raconter ce qu'il se passe maintenant.

Sa voix douce et calme m'avait surpris sur le moment mais il fallut que je lui raconte tout depuis le début. Heureusement que mes larmes avaient cesser de dévaler sur mes joues parce que je n'aurais pas été capable de prononcer un mot sans buter dessus. 

- En réalité, j'en avais plus que marre de ne pas pouvoir profiter des villes ou vous vous produisez et donc en conséquence de ne rien faire de mes journées.  Du coup ce matin j'ai pris la décision seule de partir me balader dans central parc et je savais d'avance que tu n'allais pas me laisser filer sans surveillance et je n'ai donc pas pris la peine de te le demander, voire de te le supplier. En y rentrant avec mon starbuck que j'avais achetée précédemment j'ai percutée un gars qui avait un peut près notre âge, il m'a invité au starbuck pour me le rembourser, j'ai donc poliment acceptée, sauf que je n'aurait pas dû. On a commencer à discuter tranquillement mais quand il a commencé à me poser des questions sur moi, ma vie personnelle, je suis partie. Or il m'a suivit mais je ne l'avais pas remarquer avant qu'il essaye de m'enlever au moment où je suis arrivée devant l'hôtel. - Je me remis à pleurer à chaude larme. -

Je voyais Luke devenir rouge de colère et serrer les poings à mes côtés, sa mâchoire était contracté et ses yeux d'origine bleu ciel virés au noir.

- C'est fini, chut.. Je te jure que si je le croise, je lui défonce sa putain de gueule à ce connard là! - Il se mit à crier en me serrant dans ses bras. - Comment il s'appelle cet enfoiré de première?!

Voir Luke prendre ma défense et pas m'enfoncer comme une merde alors que je suis en tord est assez troublant en sachant que c'est la première fois qu'il prend ma défense pour tout et n'importe quoi. 

- Il s'ap.. Il s'appelle Harry. 

- Dit moi comment il est physiquement?! 

-Assez grand, min.. mince avec des chev.. des cheveux long et bou.. bouclés. 

- D'accord, repose toi ma puce t'en as bien besoin. 

La fin de notre conversation me laisse dans un trouble encore plus grand que celui d'il y a 2 minutes, c'est la première fois qu'il prend ma défense au lieux de m'enfoncer en disant que c'est de ma faute et c'est aussi la première fois qu'il me donne des surnoms aussi, comment dire... Aussi attentionnés. Je suis assez perturbée par son comportement avec moi mais n'essaye de ne pas y penser maintenant et j'essaye de calmer mes pleurs et je m'endors dans les bras de mon demi-frère, qui, en outre me déteste autant que je le déteste.