Volpina

Chapitre 18

Pvd Camille

Une semaine passa. Adrien était assez distant mais je ne lui reproche rien. C'etait surement gros à digerer et je pense qu'il devait se mettre les idée en place. Je suis allée rendre à Maitre Fu le livre et pour pas que Gabriel reste trop longtemps dans sa colère noire, j'ai fais copier le livre exactment comme l'original. L'original fu restituer au maitre et la pale copie au propriaire de base. La broche avait cependant regagner la boite des miraculous et gabriel m'avait un jour attraper dans le detour d'un coloir de sa maison.

Gabriel: Rend moi le broche Volpina !

Moi: Mon très cher Papillon, je ne voit pas de quel broche vous parlez.

Mon insolance en prit un coup. Sa main atterit rapidement sur ma joue.

Moi: C'est assez mature de votre par ce geste dit donc. Bref, vous pensez pouvoir ramener votre femme à la vie, mais vous aller que créer le chaos dans se monde, alors s'il vous plait, arreter et remetter moi votre mirauclous. On ne peut pas changer un destin.

Une profonde tristesse s'empara de lui. Je le prit alors dans mes bras.

Moi: Bon, on a pas un sooting photo dans 20 min ? Allez venez.

Pour l'instant, tout ce que je pouvais faire c'est me battre contre mon oncle et cacher mon miraculous à ses yeux. En même temps, j'essayais de percevoir où était le sien.

Le lendemain, j'étais tranquillement en cours quand Nathanael viens sassoir à mes cotés.

Nath: Je peux ?

Moi: Oui, c'est ta place après tout.

Nath: Pas faux.

Le cours de math se passa s'en encombre, Nath n'étant pas très doué je lui expliquait en quoi consistait le cours.  A la fin de la journée je décidais d'aller avec lui près le la seine, nous nous achetames une glace sur le point des amoureux tout en discutant joyeusement. Vers 19h je me décidais à rentrer.  J'appelais alors Adrien. Tombant pour la centieme fois sur sa messagerie depuis une semaine, je laissais un vocal.

#Moi: Salut Adrien, je sais que tu vas m'écouter mais ne jamais me répondre tant ton cerveau est confut et j'en suis vraiment désolé. Je voulais juste te prévenir que je vais rentrer un peu plus tard ce soir, je vais m'acheter à manger chez les Dupont-Cheng et surement aller voir Sabrina chez elle. Je serais surement là vers 22h. Bisous.

Après avoir laisser le essage, je me dirigeai vers Marinette. Comme maintenant on s'entandait plutôt bien, elle m'invita à rester manger chez elle. Je restais donc avec elle et ses parents, des gens vraiment adorable. Nous discutâmes de tout et de rien puis on monta dans a chmabre. Je remarquais alors toutes le photos d'Adrien.

Moi: Il te plait vraiment hein?

Marinette: Hein? hue...non..je veux dire...

Moi: Ne t'inquiète pas, il n'en saura rien.

Marinette: Mais toi ?

Moi: Quoi moi ?

Marinette: Et bien... tu as l'air d'être proche de lui, de beaucoup l'aimais...

Moi: Marinette, Adrien est mon cousin, donc destresse tu veux ? 

Marinette: Vraiment ?

Moi: Mais oui..on vit ensemble car c'est les seules personnes avec son père à pouvoir me garder comme parents légaux étant donner que les miens sont morts...

Marinette: Je suis désole.

Moi: T'inquiète..

Je restais un moment chez elle puis sortie, il était déjà 22h, je devrais rentrer. Alors que je me mis à marcher seule, dans les rues de Paris, je sentis tout à coup un poid enorme sur ma crane et tout devint noir.

PVd Adrien

Minuit..Il est minuit et aucun signe de vie de ma cousine. C'est vrai je lui parle pas, j'ai trop peur d'admettre qu'elle à raison, mais là elle m'inquiète. Sa chambre étant à coté de la mienne et ne dormant pas pour etre sur qu'elle rentre bien, j'écoute tout ce qui peut se passer dans le couloir, cependant, j'attendis depuis deja plus de 2 heures et Camille n'est pas rentrée. Je décidais donc d'aller dans sa cmabre et comme je le pensais, il n'y avait parsonne.

Je me tranforma alors en Chat Noir et alla direction la maison de Sabrina. Elle fut suprise de voir le héros de Paris la questionner sur son amie mais me dit qu'elle ne l'a pas vu de la soirée. J'allais donc chez Marinette qui me fit entrée quand elle fut réveillée.

Marinette: Franchement, le héros de Paris n'aurait pas pu me parler au lever du soleil?

Moi: Non !

Marinnette: Que me vaut l'honneur d'avoir Chat Noir chez moi ?

Moi: Est-ce que tu as vu Camille dans la soirée ?

Marinette: Oui, elle a manger chez moi et est partie vers 22h pourquoi ?

Moi: Adrien m'a demandé de la retrouver, elle n'est pas rentrer chez elle cette nuit. Il se fait du soucis.

Marinette: Ok, viens on va la cherhcer. 

Sans plus attenre, elle mit ses chaussons et decendis dans la rue.

En une heure à peine, toute la classe était devant chez Marinette qui avait appelé la classe pour de la disaprtion de ma cousine. Tous, équipés de lampes torche et en compagnie de leur parents, cherchaient desesperemment Camille. 

Nino: Pourquoi Adrien n'estpas là ! C'est ca cousine comme même ?

Marinette: Je sais pas...

Moi: Heu, il était vraiment pas bien alors il a préféré rester chez lui...

Nino: Lacheur !

Marinette: Il faut le comprendre aussi, à quoi il nous servirais s'il était là à pleurer. A rien, autant qu'il reste chez lui, voir si elle revient d'elle même. Je vais aller le voir.

C'est ainsi que se mit en direction de chez moi. Faisant semblant d'aller chercher ailleurs, je retournais dans ma chambre avant qu'elle n'arrive. Vaut mieux que je sois chez moi sinon, la panique va etre encore plus grande.

Nathalie: Adiren, une de vos camarade de classe est en bas, elle aimerais faire le relais aupres de vous pour la dispariton de votre cousine.

Moi: Faite a entrée...

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Salut, deux chapitre apèrs une longre absence desolé. Je devrais surement en sortir d'autre pendant mes vacances scolaires, mais je promets rien vu le nombre derévision qui s'ammasse sur mes pauvres épaules. Je tiens aussi à présicé que cette histoire est bientôt finie, plus que quelques chapitres, environ, 4/5 et cette fiction prendra fin. Je peux, si vous le souhaite cependant, rajouter des chapitre bonus. J'attends vos avis, dois-je vous faire découvrir ce qu'ils vont devnir par la suite ? Ou vouez vous garder un peu de mystère et imaginer seuls les choses.

Bref, bisous mes akumas patates.