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Moi - Budapest... je me lève brutalement Il faut pas que je tombe amoureuse. Je vais juste te faire souffrir.
Je le regardait. Ses yeux marrons si beaux plongeaient dans les miens. En réalité, j'avais juste eu un coup de foudre. Mais sauf, que, depuis la première fois de ma vie, celui ci était réciproque. Nous nous aimions, nous allons, pendant ce braquage, peut être faire notre première fois, ou peut être pas.
Tout est une question de temps.
Et moi,
le temps,
je l'emmerde.
Parce que il te grappille un peu plus chaque morceau de ta vie.
Comme en ce moment même.
Budapest - Écoute, j'ai jamais eu les couilles de le dire à qui que ça soit, mais... pffff.
Moi - en me réasseyant Dis... allez! je souriais bêtement
Budapest - Te fous pas de ma gueule. Nan, tu vas me prendre pour un sensible après.
Moi - en escaladant le bureau Dis. Je m'en fous putain. Tu crois que je suis pas passée pour une ptite gamine là?
Budapest - Pauvre petite gosse.
Moi - Change pas de sujet.
Budapest - Je...
Un blanc se fit. Je m'approcha de lui doucement.
Moi - en draguant Tu...?
Budapest - Je t'aime.
Je l'embrassa fougueusement. Je sentais son souffle s'échouer sur mon cou. Il se leva du bureau et s'approcha de moi. Je me retourna pour lui faire face.
Moi - pendant qu'il marchait Ça va pas un peu vite?
Budapest - Le temps passe vite. Autant en profiter. On a toutes nos chances de mourir.
Moi - T'es qu'un charmeur raté toi.
Budapest - en s'approchant de moi et en rigolant N'importe quoi.
Je mis mes mains sur son cou et il me pris contre lui. Nos têtes étaient très près, on ne voulait pas s'embrasser.

Il fallait aller vite doucement.

Moi - Est ce que après le braquage, tu vas m'abandonner?
Budapest - Tu y crois?
Moi - en lui caressant la joue On se connaît depuis 3 heures.
Budapest - Et alors. Le temps passe vite. Je te l'ai dit. C'est pas comme si demain tout sera fini.
Moi - T'as raison. Mais, on ne peut pas prévoir le futur.
Budapest - C'est vrai. Mais j'ai prévu, moi, qu'on vive ensemble.
Moi - On ira sur une île. Pas très loin de celle de Tokyo et Río. Ni de Denver et Stockholm.
Budapest - Mais un peu éloignée quand même.
Moi - Juste un peu.
Budapest - On aura une grande maison.
Moi - Et une belle piscine.
Budapest - Et une salle de tir.
Moi - Pourquoi tu voudrais tirer sur des choses toi?
Budapest - On ne perd jamais les bonnes vieilles habitudes!
Moi - C'est vrai. en lui prenant la main En plus d'être un vrai canon, t'arrives a être intelligent.
Budapest - Que de compliments!
Moi - Budapest?
Budapest - Oui?
Moi - T'as une haleine de chips.
Il se retire de moi. Je le rapproche illico en le prenant par la tête. C'est fou, quand il s'est retirée, je me suis à nouveau sentie faible, sans aucune défense.
Budapest - Tu m'aimes trop c'est ça?
Moi - Pourquoi tu m'aimes?
Budapest - La question qui fâche. Parce que... oula, y'a trop de raisons. Alors, ta petite personne, tes manières, tes façons de réagir. Toi, ton physique, tes petits yeux verts qui ne cessent de me chercher du regard depuis qu'on s'est vus. Ta voix... oh mon dieu, qu'est-ce que tu as une belle voix. Quand tu me parles ça me... oh mon Dieu. Tout chez toi, Canberra. Canberra me fait fondre les gars. Je suis amoureux de toi. Et la, crois moi que j'ai réuni tout mon courage pour te dire ça en te regardant dans tes yeux. Parce que, en face de la personne qu'on aime et qu'on aimera pour toute notre vie, dire ses sentiments la première fois n'est pas facile, crois moi. Je t'aime.

J'avais le sourire aux lèvres. Je regarda ses lèvres, puis ses yeux, dans lequel mon regard baignait. Je m'approcha doucement de lui.
Moi - en chuchotant L'haleine de chips, c'est juste un détail.

Nous nous sommes embrassés longtemps, très longtemps.
Enfin, ça m'a paru durer une éternité. Mais je ne voulais pas que ça s'arrête. Chaque minute en plus était un morceau de nous deux qui se construisait.
Chaque fois qu'on reprenait notre souffle pour laisser apparaître un sourire sur la bouche de l'un et de l'autre était un morceau de complicité en plus.
Chaque fois qu'il me prenait contre lui pour m'embrasser dans le cou était un morceau de confiance qu'on gagnait ensemble.

J'étais en train de remettre mon haut de ma combinaison quand on entendit quelqu'un frapper à la porte.
Denver - Les gars! Les policiers menacent de rentrer si on ne donne pas quelques otages. Va falloir se préparer.
Moi - On règle un dernier truc et on arrive.
Denver - Content pour vous. il nous fit un clin d'œil
Budapest - Qu'est-ce que tu voulais me dire.
Moi - Je t'aime.
Et je le réembrassa longtemps.
Je pris mon arme et la mit autour de moi puis enlaça mes doigts dans ceux de Budapest.
Le Professeur me parla à l'oreillette.
Professeur - Tu vois, c'était pas si compliqué de trouver ton amoureux?
Moi - Olala... Allez, jte laisse, on a notre deuxième mission qui nous attend.

L'amour, mon nouveau terrain de découverte.

Moi - T'es déjà sorti avec une fille?
Budapest - Jamais, et toi?
Moi - Jamais.

L'amour, notre nouveau terrain de découverte.

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Bon ce chapitre c'était plus un chapitre d'amoooooour 💓😳
ET IL FUT UN PEU PLUS COURT
j'espère que vous aimez,
voilà
bisous bande de sacs à patate

•~•~•~•~•~•~•~•~•~•~•Bon ce chapitre c'était plus un chapitre d'amoooooour 💓😳ET IL FUT UN PEU PLUS COURTj'espère que vous aimez,voilàbisous bande de sacs à patate

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quel smile ptn😍😍😍

cuando voy en la casa de papelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant