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(POINT DE VUE > CANBERRA)

Ma sieste était finie, j'étais toujours dans les bras de Budapest, je le regardait. Il dormait encore profondément.
Il me tenait fermement pendant que je lui caressait la joue, pour qu'il se réveille.
Il me vit et un sourire arriva automatiquement sur son visage.
Budapest - Bien dormi?
Moi - J'ai plus trop mal à la tête mais ma main me fait super mal...
Budapest - Quels cons de policiers.
Moi - Tu peux le dire.
Je le regarda puis remis ma tête contre son torse.
Moi - Il est quelle heure?
Budapest - Aucune idée. Mais, on va bientôt manger je pense, c'est le soir là.

Ça faisait déjà deux jours que j'étais ici.
Je n'avais mangé que deux fois et dormi quelques heures.
J'étais exténuée.

Je me leva du canapé, me frotta les yeux.
Budapest ouvrit ses bras pour me porter, ce que je fis.
J'enroula mes jambes autour des siennes et posa ma tête sur son épaule.
Mes bras pendaient dans son dos pendant qu'il me tenait par les fesses et qu'il m'embrassait délicatement dans le cou.

Moi - Et toi? Bien dormi?
Budapest - Ça été, t'as pas été trop lourde.
Je rigola légèrement avant de fermer les yeux pendant qu'il bougeait comme pour endormir un bébé.
Il me déposa par terre, me regarda et m'embrassa sur le front puis remis ma combinaison.
Il passa derrière moi, enleva ma queue-de-cheval avant de passer ses doigts dans mes cheveux.
Il prit une poignée en bas, pris une poignée en haut, à gauche puis à droite avant de tout rassembler, puis de passer l'élastique dans mes cheveux pour me recoiffer.
Il revint face à moi, je n'avais pas bougé ni parlé, juste souri.
Il prit quelques mèches dans ma queue pour les faire tomber sur les côté de mon visage. Il sourit de satisfaction et inclina sa tête pour m'embrasser quelques secondes.
Je lui glissa un simple « merci » dans l'oreille.
Je pris mon M-16 et partis en direction de la porte avec sa présence que je sentais derrière moi qui ne faisait que me rassurer.

Nairobi - Ah! Justement, j'allais vous dire de venir, ça y est! On décharge les billets!
Je souris vivement en regardant Budapest puis me dirigea vers la grande pièce où tous les billets étaient stockés.
Je posa mon arme sur le bureau et me mît au travail.
Sur ma route, je croisais bon nombre d'otages qui n'en pouvaient plus.
Je donnais les paquets à Río, et Tokyo me les apportait.
Río était torse nu, et Tokyo ne cessait de me regarder, puis de regarder Río.
Je ne disais rien, j'ai bien vu que Río était torse nu, mais c'est pas pour autant que je vais commencer à le mater ou je ne sais quoi.
Je croise Alisson dans les couloirs. Je la rattrape.
Moi - Qu'est-ce que tu fous là? Ça y est Tokyo est partie deux minutes alors tu veux aller voir Río, il en a rien à battre de toi, c'est clair?
Alisson - Je dois aller lui parler.
Moi - C'est la pause, tu vas rester avec moi, on ira le voir ensemble. En plus, il est torse-nu, tu vas peut être baver dessus.
J'entendais le rire de Denver dans le bureau derrière moi.
Alisson - Faut que j'aille le voir.
Denver - Tu nous obéit. Tu veux peut être avoir du travail supplémentaire?
Alisson - Je peux aller l-
Moi - NON. Maintenant tu ne l'approches plus sinon t'auras à faire à moi. C'est le mec de Tokyo, pas le tien. à Denver Tu veux bien aller la remettre là où elle doit travailler?
Denver - en m'ébouriffant les cheveux Au fait ta main ça va?
Moi - Ça m'empêche pas de porter ces sacs on va dire.
Il souria avant de totalement changer de figure et partir avec Alisson.
Tokyo arriva du couloir.
Tokyo - J'ai tout entendu, heureusement que t'es là gazelle.
Moi - en lui souriant Y'a pas de quoi. D'ailleurs, j'aimerai pas trop qu'elle s'approche de Budapest.
Tokyo - en partant par où elle est arrivée Je vais voir.

(POINT DE VUE > TOKYO)

Si je la surprend avec le mec de la gamine ça va clairement pas le faire.
Elle a fait ce qu'il fallait avec Río et Alisson alors moi j'vais faire ce qu'il faut avec Budapest et cette connasse.
On dirait vraiment moi quand j'étais plus petite quand même.
Moi - Helsinki, mec, t'as pas le ptit nouveau?
Helsinki - Budapest? Avec Nairobi, au début du couloir.
Moi - Merci.
Je rentrais dans le bureau avec Alisson qui parlait à Budapest.
Je me mis dans l'entrebaillement de la porte pour voir ce qu'elle faisait.

Elle lui parlait de son couple avec Canberra, de Canberra en elle même. Savoir comment il la trouvait, si il était vraiment amoureux.
Elle commençait à lui toucher les mains.
Budapest les enleva par un geste gêné et la fusilla du regard.
D'un seul coup, sans que je m'y attende, il pointa son flingue sur le front d'Alisson.
Budapest - ESSAYE PAS DE ME DRAGUER? Canberra c'est ma meuf et je l'aime, toi tu ne fais que foutre la merde entre moi et C-

Ce qu'elle fit m'horripila.

En réponse à ce geste, Budapest lui donna une claque monstrueuse avant de l'envoyer voler contre un mur.

•~•~•~•~•~•~•
PUTAIN GROS SORRY FOR MON LATE!
jsuis vraiment désolée, i am not good en ce moment et puis j'arrivais plus trop à écrire des trucs sachant que je pleurais h42.
MAIS ME REVOILÀ!
Je vais plus (+) poster maintenant :)
ou du moins essayer lol

cuando voy en la casa de papelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant