👺5👺

1.6K 54 8
                                    

Nous étions en train de vérifier les billets un par un avec Nairobi quand on entend des coups dans les murs.
Budapest - LES FILLES, LA POLICE, ELLE EST EN TRAIN D'ATTAQUER RÍO ET TOKYO, VENEZ!!
Nous sortons du bureau en courant.
Nairobi - TON MASQUE!
Je le mets et met celui de Budapest. Je passe devant eux en courant. Je descend les escaliers pour aller au sous sol et je vois Tokyo sur le sol, avec Río qui essaye de lui parler et Denver qui s'acharne sur eux.
Moi - Nairobi, passe par derriere avec moi!
Nairobi- Ça marche.
Budapest - Et moi!!?
Moi - COUVRE NOUS!
Il tire sur les policiers, jusqu'à temps qu'il ne puisse plus et nous arrivons par derrière. Mauvaise surprise, il y en avait de dos.
Je hurle en les voyant mais continue de tirer.
Moi - PARTEZ BANDE DE FILS DE PUTE!!! HAAAAAaaaa...
Et la, je commence a voir flou. Je regarde Budapest et Nairobi.
J'ai reçu une balle.
Je m'appuie sur le mur et j'hurle. C'est ma main qui a pris.
Je la rentre dans ma manche et continue.
Je vois une grande plaque en fer.
Je vais les assommer.
Je vais les tuer.
Policiers de merde.
Je cours vers eux et leur frappe avec.
Il se retourne et je lui planque mon M-16 sur la tête.
Je le frappe encore, il tombe par terre, et je continue à avancer dans le rang comme ça.
J'arrive près du colonel.
Moi - IL RESTE PLUS QUE TOI ET DEUX CONNARDS, TU FERAIS MIEUX DE TE BARRER. il ne bouge pas PAAAAAARS!
Je le pousse violemment hors du sous sol et lui plaque le M-16 sur les couilles.
Moi - DÉGAGE, jte promet dégage. il ne bouge toujours pas alors je tire juste à côté de sa tête. DÉGAGE.
Il se lève, avance vers moi et me pousse vers le sol. C'est ma tête qui claque en premier.
Du noir.
Plus rien.

(POINT DE VUE > STOCKHOLM)
Je vois la petite qui tombe, il a assommé Canberra.
Faut pas me le faire deux fois.
Je vois un M-16 juste à côté de moi.
Denver me regarde dans les yeux et me fais signe de le prendre.
Qu'on fasse ça à une fille de son âge, c'est même pas la peine d'y penser.
Je me lève vers lui et tire dessus.
Moi - PARS D'ICI CONNARD.
Chef - Appelez des renforts.
Après en avoir éliminé quelques uns, il y en a 10 autres qui arrivent. Helsinki et Berlin arrivent avec la mitrailleuse.
Berlin - ÉCARTEZ VOUS!
Je courus au bout pour avoir un meilleur angle pour leur tirer dessus.
Je tire sur un.
Dans la tête.
Tant mieux.
J'ai horreur qu'on fasse mal à qui que ça soit qui fasse partie de cette « famille ».
Nous arrivons à les faire partir suite à la mitrailleuse.
Tout le monde se précipite vers le corps inanimé de Canberra.
Berlin, Tokyo, Helsinki et Río s'occupent de mettre une porte en fer pendant que moi, Nairobi et Budapest s'occupons de Canberra.
Budapest la porte et l'amène sur le canapé dans la salle de réunion.
Elle avait la main droite en sang, Nairobi s'occupa de bander celle-ci, et de la désinfecter. Il n'y avait pas eu de grand impact, juste une balle à retirer.
« Juste ».
La bonne nouvelle, c'est qu'elle respirait encore.
Budapest ne faisait rien, il bougeait dans tous les sens.
Moi - Budapest!
Budapest - Quoi!?
Moi - Calme toi, s'il te plaît.
Budapest - Non! Je sais pas quand est-ce qu'elle va se réveiller.
Moi - Elle respire!
Budapest - ET OSLO!? Oslo il respirait mais il était totalement inconscient!!!
Moi - Oslo à eu un coup du lapin!
Budapest - ET ELLE!? CE CON DE POLICIER L'A ASSOMÉE SUR LA TÊTE!
Moi - CALME TOI.
Budapest - des larmes coulaient sur ses joues NON! Mais tu te rends compte de ce qu'ils ont fait! Il voyait pas qu'elle était plus jeune que nous tous!?
Moi - Elle va se réveiller, viens là.
Je prend le jeune dans mes bras. C'est vraiment adorable qu'on puisse se soucier d'une personne et d'être autant sensible à leur âge.
Canberra - AIEEEEEUUUUHHH MA MAIN!!
Budapest - en essuyant ses larmes et en courant vers elle PUTAIN T'ES RÉVEILLÉE.
Canberra - faible Quoiii? Vous êtes qui?
Budapest - en pleurant CANBERRA. C'est une blague là?
Non, c'est pas possible.

(POINT DE VUE > BUDAPEST)
Elle peut pas me faire ça. Je la regarde, elle est super faible. Mais non, elle ne peut pas me faire ça.
Je l'aime tellement.
Elle me caresse la joue.
Canberra - Mais oui enfin! Bien sûr que je sais qui tu es! Comment t'as paniqué c'était trop mignon.
Je la regarda, rigola avant de l'embrasser délicatement.
Moi - Ça va ta main? Et ta tête?
Canberra - J'ai super mal à la tête, et j'ai envie d'hurler tellement ma main me fait mal. elle rigola
Nairobi - Faudrait mieux que tu te reposes. Je te donne juste un cachet pour la tête et les douleurs.
Canberra - en fermant les yeux Merci.
Moi - Eh, te rendors pas!
Canberra - Je suis exténuée. Faut que je dorme. Occupe toi bien sans moi. elle me fit un clin d'œil puis se redressa avec difficulté
Moi - Attends, je vais t'aider.
Je la prend dans mes bras et vient la mettre à côté de moi.
Canberra - Budapest, ma main...
Budapest - en lui tenant délicatement celle ci Oh, oui, pardon.
Canberra - OOOOUCH ma tête!! Ça brûle.
Moi - T'es une vrai guerrière.
Canberra - N'importe quoi, j'me suis juste fait descendre par un policier de mon cul.
Moi - T'es la seule naïve qui a eu le courage de l'approcher.
Canberra - Jsuis un poison, Budapest.
Moi - Jamais tu seras un poison. T'es un ange avec des cornes de démon.
Elle me prit la joue et posa ses lèvres sur les miennes.
Canberra - ses lèvres près des miennes Budapest, quel poète.
Nairobi - Tiens, ton cachet.
Canberra - Merci chaton.
Nairobi lui caressa les cheveux puis partit du bureau.
Elle but l'eau pétillante à cause du cachet, fit une grimace de dégoût qui me fit rire, puis vint poser sa tête sur moi.
Moi - Attends, tu vas pas être bien.
Canberra - sans prendre en compte ce que j'ai dit Tu fais quoi comme sport?
Moi - en la portant pour la mettre plus confortablement Quand j'étais petit, j'ai fait du tennis, jusqu'à mes 15 ans. De l'athlétisme quand j'avais 8 ans et j'ai commencé à aller à la salle de sport et de muscu après mes 15 ans, quand j'ai dû être formé par le professeur. Et toi?
Canberra - Volleyball. C'est ça que t'es bien musclé toi.
Elle touchait mes bras, mon torse, passait sa main en dessous de mon t-shirt et souria.
Canberra - Tu sais, j'essaye de chercher tes défauts depuis le début mais pas moyen de trouver.
Moi - en lui embrassant le front C'est normal, je suis l'homme parfait.
Canberra - MON homme parfait. Non mais ho.
Moi - Si je veux bien de toi, jeune éclopée qui traîne avec un plus vieux qu'elle.
Canberra - en se détachant de moi Ça te gêne?
Moi - en la rapprochant Une beauté divine comme ça ne me gêne pas, elle m'impressionne.
Elle se retourna avec difficulté sur moi et m'embrassa avant de se poser sur mon torse et de toucher à « ces magnifiques tablettes » comme elle me disait.

J'étais tombé de très haut.
De très très haut.
Tombé amoureux.

cuando voy en la casa de papelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant