cuando voy en la casa de papel

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Alisson Parker avait embrassé Budapest.

Alisson - Tu.. tu me plais Budapest.
Moi - Essaye d'en placer encore une et je t'éclate la gueule!
Budapest - en la calant contre le mur Si je te reprend une fois à embrasser un des braqueurs ici, que ça soit Río ou moi, tu peux signer ton arrêt de mort.
Moi - On a déjà assez de problèmes comme ça alors toi en plus qui fait qu'aggraver nos histoires on peut s'en passer.
Budapest - en partant Et si il y a le moindre problème entre moi et Canberra, ça sera ta faute. Crois moi. Maintenant, je vais aller lui parler parce que sinon elle va m'en vouloir.

(POINT DE VUE > BUDAPEST)

Je cours à moitié dans les couloirs et bouscule tout le monde.
Il ne faut pas qu'elle m'en veuille, c'est juste cette connasse de Alisson qui vient de m'embrasser sans aucune délicatesse.
Elle vient de me détruire.
Heureusement que j'avais déjà embrassé Canberra plus d'une fois.
J'avais la gorge de plus en plus nouée.
Vous voyez, ces larmes, qui sont juste au bord de vos yeux et qui menacent de tomber, mais que vous ravalez difficilement pour pas qu'on vous martyrise de questions?
J'ai exactement ce problème là.

Je vois Canberra, les cheveux tombant sur son visage de jeune espagnole innocente.
Moi - Canberra, faut que je te dise quelque chose.
Canberra - inquiète Dis moi...
Moi - J'étais en train de travailler dans mon bureau quand je vois cette pute d'Alisson Parker arriver vers moi... Elle a commencé à me parler... et puis e- elle m'a e-...
Canberra - en serrant les poings Embrassé?
Je hoche simplement tout seul et la regarde, les yeux plein de crainte.
Canberra - ET QU'EST-CE QUI ME DIT QUE C'EST PAS VOUS DEUX QUI VOUS VOUS ÊTES MIS D'ACCORD POUR VOUS FAIRE UN PTIT KISS COMME ÇA?
Moi - en arrivant même plus à parler Parce que... parce que j- je lui ai foutu une tarte monumentale et l'ai poussé tellement fort contre le mur qu'elle saigne derrière la tête.

J'entends quelqu'un arriver.

(POINT DE VUE > CANBERRA)

Tokyo - C'est vrai, j'ai été là.
Je ne savais plus où me mettre, je venais de montrer que je n'avais pas entièrement confiance en Budapest, alors que justement, c'est tout le contraire.
Moi - en lui prenant la main Je... je suis vraiment désolée de ne pas t'avoir cru.
Budapest - en la lâchant Faut que je réfléchisse.
Il partit en me bousculant pendant que je regardait Tokyo, incrédule.

Tokyo - en ouvrant ses bras T'inquiète pas, Río est pareil. Il t'aime bichette.
Moi - en relevant ma tête Tu crois?
Tokyo - Mais oui! Vous êtes tellement complices alors que vous vous connaissez depuis quelques jours.
Moi - Heureusement que t'es là toi.
Tokyo - Bon, allez, on a du boulot. Repars travailler et évite de penser à ça. Je le surveille t'inquiète pas.
Moi - en partant Merci...

Je me redirige vers Río, une larme coule mais je me dépêche de l'enlever avec le dos de ma main.
Río - Hé, ça va?
Moi - Super... Je commence déjà à m'engueuler avec mon mec mais appart ça la vie est belle.
Río - A propos de quoi?
Moi - Il a cru que j'avais pas confiance en lui alors que c'est tout le contraire.
Río - Vraiment?
Je hoche de la tête avant de repartir chercher un sac.
Nous ne faisons que des allés retour, comme ça.
Je commençais à fatiguer et je réclamais à manger.

Moi - Nairobi, sérieux! Jpeux aller manger!?
Nairobi - On finit d'abord tous les sacs.
Moi - Tu casses les couilles meuf.
Nairobi - Calme toi.
Moi - Putain j'crève la dalle, tout le monde ici doit crever la dalle appart les otages qui sont bourrés au sandwich.
Nairobi - Le travail avant tout.
Moi - en prenant un autre sac Bah écoute moi je-

(POINT DE VUE > NAIROBI)
Je la vois tomber raide devant moi.
Elle a le visage pâle et saigne du nez.
Moi - Canberra. CANBERRA! Ho!

Elle ne bouge pas.
Je la porte avec moi, en faisant bien attention à ce qu'elle n'avale pas sa langue.
Et merde.
Je croise Budapest.
Sa tête se transforme automatiquement en voyant Canberra inconsciente.

Budapest - Qu'est-ce qu'il s'est passé?
Moi - Hypoglycémie.
Budapest - T'en est sûre?
Moi - Elle s'est plaint qu'elle n'avait pas assez à manger et-
Je redoutais fort sa réaction.

Budapest - MAIS PUTAIN ELLE FAIT TOUJOURS ÇA QUAND ELLE A FAIM! SI ELLE TE DIT QU'ELLE A BESOIN DE MANGER, TU VAS L'ECOUTER OUI!!? Bon, c'est bon la. Jvais la déposer dans la salle de réunion et je prend sa place.

(POINT DE VUE > BUDAPEST)
Pourquoi elle les a pas prévenus dès le début!?
J'essaye de la réanimer.

Sans succès.

Je la repose sur le fameux canapé et reste à côté d'elle.
Je désinfecte sa plaie délicatement, lui fais un simple bisou sur le front et part.

Une fois arrivé devant tout le monde, je guette l'heure dans le bureau : 14h.
Moi - REPAS POUR TOUT LE MONDE! AUSSI BIEN NOUS QUE LES OTAGES!
Nairobi - Il nous reste que-
Moi - 15 minutes, ça va pas changer le monde? JE VEUX TOUJOURS UN MAXIMUM DE 10 PERSONNES ARMÉES DANS LES COULOIRS. C'EST PARTI.

Je vois Berlin, Tokyo, Denver, Stockholm, Río et Helsinki arriver.
Berlin - Eh bien, depuis quand monsieur gère tout?
Moi - Depuis que Canberra est inconsciente.

Je me retourne, fulminant de rage.

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juste merci pour les 200, bientôt 300 vues alors que je viens de commencer la fic!💓💕