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(POINT DE VUE > CANBERRA)
Je redoutais ce qu'il allait me faire, il avait une carrure assez incroyable et de beaux muscles, mesurait 15 centimètres de plus que moi.

Il me prit les joues et m'embrassa encore et encore.
Bien évidemment j'y répondis.
Il descendait ses mains sur mes fesses et me porta dans un bureau dont j'ignorai l'existence.
Je voulais m'excuser...
Moi - Je suis désolée.

Il m'embrassa.

Moi - Budapest. Vraiment.

Il ne s'arrêtait pas.

Moi - Ho! Tu m'entends.
Budapest - Oui. Je m'en tape que tu t'excuses, du moment que je t'ai avec moi.
Moi - Qu'est-ce que je t'aime.
Budapest - Moi plus.
Il passa ses bras autour de ma taille, ça devenait de plus en plus passionné, à en devenir langoureux.

??? - Vous êtes pas tout seuls hein...

Je répondis par un doigt d'honneur et entendis la porte claquer.
Budapest rigola.
Moi - Enlève ta combiiiii...
Budapest - il souria d'un sourire tellement craquant Pourquoi?
Moi - Hhhmmmww
Budapest - Je reste en t-shirt.
Moi - Ça me va.
Il commença a l'enlever.
Moi - Tttttt, c'est moi qui le fait.
Je lui descendis sa fermeture tout doucement.
Il prit ma tête et m'embrassa de plus belle.

Río - LES GARS! ON A- okay... rhabillez vous, y'a la police qui menace d'entrer, tu sais c'que ça veut dire ça.
Je rigola et lui fit un signe de tête pour qu'il comprenne qu'il faut qu'il ferme la porte.
Budapest se rhabille et remet son arme sur lui.
Moi - Un dernier?
Budapest - Tu m'épuise doudou.
Il me regardait. Je le regardait.
Tout me plaisait.
Son charme dans ses yeux marrons. Ses cheveux en bataille, je me demande bien pourquoi. Sa belle bouche entrouverte bien dessiné et ses lèvres rosées que je ne cessais de fixer. Ses fossettes quand il souriait. Son cou dans lequel j'aimais tellement y mettre des petits bisous. Ses bras, son corps. Ses mains. Ses jambes.
Tout était parfait.
Il était parfait.

Et l'homme parfait.
Je lui sauta dessus et l'embrassa fougueusement et longuement.

Río - de dehors le bureau CANBERRA!!
Moi - OUI J'ARRIVE.
En regardant Budapest :
Moi - Go, demain aprem, on est tranquilles.
Je rejoins la troupe et met mon o-
Mon oreillette!!
Elle est dans la salle de réunion.
Moi - J'arrive, j'ai oublié mon oreillette! Juste, deux secondes m-
Berlin - TA GUEULE.
Je me décide à partir en courant vers le bureau. J'entends déjà les cris du Professeur à l'intérieur.
Professeur - CANBERRA PUTAIN RÉPONDS!
Moi - C'est bon je suis là.
Professeur - Je te met en relation avec la police, bonne chance.
Moi - Merci.
Police - Ici Suarez. Raquel Murillo, la femme que vous avez entendu dernièrement à été retirée de l'enquête.
Moi - Pourquoi?
Police - Nous la menaçons de complicité avec les braqueurs, en particulier le Professeur. Les troupes sont prêtes à l'attaque, pourquoi vous nous appelez, sachez que votre numéro de charme ne marche pas avec moi.
Moi - Vous en êtes sur? C'est pour récupérer des otages?
Police - Et vous arrêter.
Moi - Vous avez assez de troupes? Vraiment? Les pauvres, leur état de santé. Ils doivent être exténués. Être toujours à l'affût, vous leur demandez, vous, s'il vont bien? Je ne crois pas. Donc avant de vous lancer dans une attaque à l'aveugle, prenez compte que votre attaque soit une vraie attaque. Et dites moi par où vous allez rentrer?
Police - Par surprise!
Moi - En plus de ça monsieur Suarez a de l'humour! Bravo.
Police - Lancez les troupes.
Moi - Vous allez le regretter. Au revoir.
Le Professeur a raccroché.
Berlin - SORTEZ L'ARTILLERIE LOURDE! QUE LA FÊTE COMMENCE!!!

Oh non, la fête va être une véritable hécatombe.

cuando voy en la casa de papelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant