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Toutes les armes étaient stockées en bas, à coup sûr ils allaient débarquer par ici.
Professeur - BINGO! Ils arrivent par en bas! Allez, Budapest et Helsinki, prenez la mitrailleuse! Les autres, gardez vos armes!
Moi - BUDAPEST, HELSINKI, PRÉPAREZ LA MITRAILLEUSE! PRENEZ LES MEILLEURES ARMES!
Berlin - VOS MASQUES!!!!
Je l'enlève de mon coude et le met sur ma tête.

Soudain, je vois des policiers peu armés sortir des canalisations.
Je n'arrive pas à réagir avant et Denver se met devant moi et leur tire dessus.
Denver - RECULE!
Je pars plus loin mais ils réussissent à enfoncer la porte de la fois dernière.
Tokyo se retrouve en plein milieu.
Moi - TOKYOOOOOOOOOO!!

Je cours vers elle et la pousse plus loin.
Ma main me fait atrocement mal. Le bandage se défait petit à petit.
J'essaye de ne plus penser à ça.
Professeur - Canberra, il faut que vous partiez, va dans les bureaux avec Nairobi et Denver et prenez tous les sacs, il faut que vous vous dépêchiez. Ensuite, les policiers vont tenter de passer à l'étage. La, tu mets Stockholm et Río. Ils vont relâcher les otages sans se faire prendre. On laisse Budapest, Berlin, Tokyo et Helsinki, il y'a juste une dizaine de policiers qui viennent et ils savent se débrouiller. Fais gaffe toi. Ils peuvent peut être passer de ce côté là.
Moi - Ça marche. ALORS, STOCKHOLM ET RÍO, A L'ÉTAGE, DES POLICIERS VONT PASSER. ENSUITE DENVER ET NAIROBI VOUS VENEZ AVEC MOI ON MET TOUS LES BILLETS DANS LE TUNNEL. LES 4, VOUS RESTEZ LA.
Denver - Ça marche, RÍO, NAIROBI, ON COUVRE LES FILLES!!

Stockholm court vers moi, je la prend devant moi et tire sur la police, je réussit à tirer dans les pieds d'un.
Nairobi - Ok, les deux, dépêchez vous de monter à l'étage.
Stockholm - les yeux plein de larmes Je vais pas réussir à faire face aux policiers.
Moi - Professeur, je prends la place de Stockholm, elle va décharger avec Denver et Nairobi.
Professeur - Vale. (jsuis désolée ça me tentait trop)
Moi - LES OTAGES VOUS ALLEZ ÊTRE CONTENT ON VA VOUS FAIRE SORTIR PAR EN BAS, ILS VONT VOUS EMMENER EN BAS JUSQU'À LA PORTE.
Río - TOUS EN BAS!
Ils courent tous vers le bas, et comme prévu, la police arrive autour du bâtiment sans rentrer.
Les otages dévalent les marches.
Río descend, ferme la porte et la coince pour que plus personne ne puisse rentrer.
Nairobi - Allez surveiller là haut.
Río et moi hochons la tête.

Il nous restait plus que quelques minutes avant de partir de cet endroit.
Je pense à Budapest. Et si jamais il lui arrivait quelque chose?
Une larme coule. Je l'essuie directement pour ne pas que Río le remarque.
Río - Qu'est-ce qu'il se passe?
Moi - Rien, laisse moi.
Río - Tant pis.
Je pars un peu plus loin de lui pour voir si il y'a du bruit de la part des policiers mais je ne pense qu'à Budapest et les coups de feu résonnent à chaque fois.
Río - Je t'ai laissée.
Moi - en faisant un sourire en coin T'es con.
Río - Merci.
Moi - De rien.
Il rigola puis leva les yeux au ciel.
Les minutes paraissaient des heures, je gigotait de partout et Río me prit dans ses bras pour me calmer.

Des bruits nous parvenaient du couloir.
Moi - Merde putain d'ta race la chienne.
Río - Calme...

Des bruits de pas se faisaient entendre, de l'artillerie lourde était présente. C'était un petit groupe. Des lumières balayaient le couloir à la recherche de quelconque présence.
Je paniquais mais je ne la laissait pas prendre le dessus.
Río - en chuchotant Tu tires, tu te caches. C'est facile.
J'hoche la tête.
Moi - chuchotant Je passe derrière eux, j'ai juste à monter dans la canalisation. Ça m'connait.
Río - Fais pas ça.
Moi - Ta gueule et laisse moi faire.
Río - Ok...
Il me prend sur lui, j'escalade la bouche d'aération et avance à l'intérieur.
Je me dépêche.

Parfait!
Mon M-16 rentre pile poil dans un trou de la plaque.
Je pointe et tire.
Un en moins.
Ils se retournent et Río tire derrière eux.
Je re-tire.
Il en reste un dernier.

Suarez.

Río l'assomme avec son arme et je lui tire une balle dans le tibia, il sera dans la chouette incapabilité de bouger.

Je sors de ma cachette et cours dans les bras de Río.
Je lui souris.
Río - Tu vois, c'était facile.

J'ai pleuré pendant que je tirai, mais, oui, c'était facile.

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cuando voy en la casa de papelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant