Chapitre 3

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J'étais heureux de pouvoir tues tous les membres de la fondation SCP qui se trouver sur mon chemin, j'étais tel un enfant dans un magasin de jouets.

Aiko : Tu es vraiment fort Abel!
Abel : Oui, plus fort que moi ya pas!

Les membres de la fondation tués, je retourna près d'Aiko. Je voulais savoir comment elle savait tout ça sur moi. Alors elle m'invita chez elle.

Aiko : Je doit te prévenir, je vis dans un orphelinat, la tutrice est très sévère.
Abel : Pas de soucis.
Aiko : Vu que tu fait deux mètres sa sera dur de te cacher.
Abel : Ne t'inquiètes pas pour ça, je sais déjà comment je vais procéder.
Aiko : J'te fait confiance.

Nous nous dirigeâmes vers l'orphelinat d'Aiko. Elle entra d'abord et après avoir vérifié si personne n'était la elle me fit signe d'entré, se que je fit mais étant vraiment grand ( deux mètres quoi ) je me cogna contre le haut de la porte.

Abel : ( grogne ) c'est pas possible ! C'est porte humaines sont trop petites !
Aiko : Se ne sont pas les portes qui sont trop petites, c'est toi qui es trop grand. ( Ricane )
Abel : Ne te moque pas de moi!
Aiko : Pardon.

Nous montâmes les escaliers pour arriver dans la chambre d'Aiko.

Aiko : Voici mon palace.
Abel : Sa c'est de l'humour ou je ne m'y connais pas.
Aiko : Oui.

Aiko vivait dans cette petite chambre, avec un lit qui avait des draps trouer, une couverture pas assez épaisse, et aucun chauffage, qui plus est sous les toits.

Abel : Tu doit te les gelé en hiver non?
Aiko : Je m'y fait.
Abel : Elle doit vraiment être sévère ta tutrice pour que tu dorme dans une chambre aussi... petite et froide.
Aiko : Elle ne m'aime pas beaucoup.
Abel : Et pourquoi ça?
Aiko : Je ne sais pas vraiment...tout se que je sais c'est que mon père et ma mère mon laisser ici, car c'était une de leurs bonne amie...et ils ne sont jamais revenu, enfin c'est se que ma raconté la tutrice. Je n'étais qu'un bébé à l'époque...

Je ne savais pas quoi dire à tout se qu'elle venait de m'avouer.

Abel : Comment tu as connu mon existence ?
Aiko : Dans les livres, par des passants, et même sur internet. Je me faufiler dans le bureau de la tutrice pour y avoir accès. J'attendais qu'elle s'endorme et j'y aller. Elle a le sommeille tellement louds qu'une multitude de rhinocéros en train de jouer au basket ne la réveillerai pas.

Nous passâmes la plus grande partie de la nuit à parler de tout et de rien. C'était la première fois de ma vie que je me sentais aussi vivant.

L'amour ? C'est quoi au juste? { Terminé }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant