Recueil de "X Reader" [Commandes Fermées] {En Pause}

#13 Second Part. Todoroki Shōto (MHA)

Commande passée par Apocalypseblack

PS : (T/S) = Ton Surnom

PS 2 : J'ai adoré vos réactions au « Qui es-tu ? » qu'a balancé Shōto 😂
Voici donc la suite !

PS 3 : Ce n'est pas la dernière partie 😅😅

Lisez bien !
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« Qui es-tu ? »

Point de Vue du Narrateur

Tu étais complètement tétanisée.

Il ne se souvenait pas de toi !

Mais il te restait cependant l'espoir qu'il ne se souvienne pas de toi car... car tu avais changé en cinq ans !

Tu ne pus malgré tout pas t'empêcher de trembler de tout ton être en imaginant que ton espoir soit brisé en un instant.

« C'est moi... »

Tu avais plaqué une main contre ton torse pour affirmer tes propos.

« C'est moi, (T/N) (T/P)... (T/S)-chan... »

Tu t'attendais à ce qu'il réagisse rapidement. Qu'il dise un truc, n'importe quoi...

Mais à la place, il avait dit des mots qui t'avaient blessée :

« Je ne te connais pas... »

L'espace autour de toi s'était figé.

Comment pouvais-tu réagir ?

« Mais... Mais c'est impossible... Tu es bien Shō-chan !? Todoroki Shōto !? »

Il ne te répondit pas immédiatement mais après avoir vu ton regard sans une once de malveillance, lui qui craignait que tu sois une personne machiavélique ou bien juste une Fangirl Hystérique (FH* comme j'aime bien les appeler) il finit tout de même par te répondre :

« Oui. Je m'appelle Shōto. »

Tu plaquas tes mains sur les épaules de ton prétendu Ami et t'exclamas :

« Tu es bien Shō-chan et tu dis que tu ne me connais pas ?! C'est impossible ! Tu ne peux pas m'avoir oubliée... Tu.. Tu.. Ne peux pas... »

Shōto recula et se défit de tes mains toujours posées sur ses épaules.

« Je dois m'entraîner. »

Et il était parti. Sans un regard en arrière.

Tu étais complètement pétrifiée. Par fierté, tu t'étais efforcée de ne pas laisser tes larmes couler.

Langue quasiment mordue jusqu'au sang.

Ongles enfoncés dans les paumes.

Contraction des jambes pour tenir debout.

Respiration lourde.

Yeux qui papillonnaient malgré ce que tu faisais pour empêcher ces larmes de dévaler le long de tes joues...

Et une main touchant l'anneau, plaquée contre ton cœur.

Le vent fouettait ton visage et faisait voltiger tes cheveux. Comme la veille.

Mais cette fois, cet air était pesant et étouffant.