Chapitre 13

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Je l'avais vraiment fait. J'avais eux les couilles de le faire. J'avais laché le rasoir et je pleurais contre mon bras qui continuait de saigner sans relache. La plait était profonde pour une première fois. Je n'etais pas dans l'optique de recommencer mais cela ne ressemblait pas à une griffure de chat mais plus à un tou béant. J'abuse mais c'est gros quand même... J'ai eux quand même un peu peur de perdre mon bras à cause de la douleur. Je du bien sur éponger tout le sang les yeux remplient de larmes et les mains tremblante. Je me rendais compte à quel point j'avais mal. J'en était quand  même venu à me charcuter le bras et à me brûler les poumons. Une choses est sur demain je vais devoir porter un pull.

Le repas avec ma mère et ma soeur se passa sans un bruit. Moi j'avais encore mal et je savais que sous le bandage que j'avais fait cela saignait encore fortement. J'essayais d'oublier la douleur mais c'était horrible et surtout impossible. Fallais que je prennes mon mal en patiente. D'ailleurs ça m'avait motivé à manger vite pour aller me laver et pouvoir un peu désinfecter cette blessure.

Le moments d'allumer l'eau fut horrible j'avais peur de l'effet que cela pourrait me faire mais je devais me laver. D'un coup je pris la poigné de l'eau chaude et la tourna. J'avais l'impression de mettre mon bras dans un feu alors que l'eau était à peine chaude. J'etais vraiment faible malgré les conneries que je fesait. Ma vie avait basculé du jour au lendemain, je n'avais pas vu la chose arriver sauf que ce n'était pas changeable. J'eu du mal à nettoyer la plaie alors j'avais fait de mon mieux. Ensuite j'avais pris le temps de bander une nouvelle fois la plaie pour être sure que du sang ne s'éparpille pas partout.
Une fois cette corvée terminé, je partis me coucher. Mais avant ça je pris le temps de faire un énorme calin à ma petite soeur. Qu'est ce que je l'aime celle la. C'etait difficile de ne pas rester dans ses bras. Au boit d'une dixaine de minutes j'y etais contrain. La fatigue m'avais emporté plus vite que je le pensais, à peine dans mon lit je m'étais endormi.

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Ce jour était celui ou je devais annoncer à Harry si je me mettais avec lui ou pas. J'avais pensé à ça toute la matinée je ne sais même pas de quoi parlait mes cours mais c'etait pas un drame. C'est deux jour là sans nouvelles de lui mon fait prendre conscience de mes sentiments. Je n'etais pas vraiment prèt mais je ne voulais pas le perdre. Je l'aimais beaucoup trop pour le laisser filer. D'ailleurs il est temps pour moi de le rejoindre. Nous nous etions donné rendez-vous au même endroit ou nous nous étions embrassé. Je n'avais même pas réfléchis à comment j'allais lui dire.

Une fois au parc je le voyais assis sous le sol pleureure. Je marchais un peu plus vite pour eviter l'anxiété. Ça ne fonctionnait pas mon ventre broyait mon estomact et mon coeur se serré. J'avais qu'un seule envie : partir en courant. Malgré tout fallait que je me rende compte que je n'etais pas si faible. Quand il fut en face de moi j'ai arrêté de penser et j'ai pressé mes lèvres contre les siennes avec un sourire.

- Oui ! Je veux être avec toi ! M'ecriais-je avec entrain.

- Enfin ! Tu te rend compte ! Il était heureux et son sourire était juste captivant.

Il me colla à lui puis m'embrassa encore une fois. Chaque fois qu'il m'embrassait mon corps était transporté au paradis. C'etait comme ci tout mes problèmes disparaissait, il n'y avait que lui. Ces moments la étaient important.

J'etais bien dans ses bras c'etait rassurant. Il coupa le silence :

- Si tu ne veux pas qu'on s'affiche pour l'instant ça ne me dérange pas ! Il me fit un clin d'oeil.

- Tu es sure ? Dis je avec un sourire.

- Le temps que tu es heureux ça me va !

- T'es tellement mignon c'est un truc de fou ! Je lui fit un petit bisou sur sa bouche.

- Mais n'importe quoi ! S'exclama t'il. Je ne suis pas mignon !

- Si tu l'es ! Je me mis à rire.

Il m'embrassa pour au moins la millième fois. Mais cela ne me dérangeai en aucun cas. Je l'aimais et  si je pouvais je ne quitterais jamais ses bras malheureusement il était temps pour moi de rentrer. Harry ne voulais pas me lacher alors il décida de me racompagner. Nous nous tenions la main cette fois cela avait un sens. J'etais avec lui et pour de vrai. Comment est ce que c'etait possible ? Je dois rêver nan ? Heureusement que non parce que cela signifirait que ses lèvres ne se poseraient pas régulièrement sur les miennes.

Boys can cry Où les histoires vivent. Découvrez maintenant