Chapitre 20

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La soirée avait été magnifique au côté de mon copain et de ses parents. Avec Harry j'avais l'impression que je pouvais décrocher la lune. Il était "ma muse". C'était seulement avec lui que j'avait l'impression d'être intégralement moi même.

Après le repas, mon amoureux avait décidé de monter se laver et donc j'étais seul dans sa chambre. Je pouvais observer en détails la décoration plutôt industriel. Il me manquait déjà, c'est fou... j'avais envie de le rejoindre mais je n'ai pas osé.
À la place, j'ai ouvert la fenêtre et j'ai commencé à fumer, j'ai remarqué la présence d'un cendrier très bien caché.
Il est rentré plus vite que prévu mais au lieu de m'engueler, il arriva et entourra ses bras autour de moi. Il profita de se moments pour me faire des bisous dans le cou. Il était tellement attentionné avec moi.

- Petit coeur, il faut que tu ailles te doucher... me chuchota-t-il dans l'oreille.

Une fois ma cigarette écrasé, je m'étais retourné pour l'embrasser tendrement. Je j'avais aucune envie de quitter ses bras, malgré l'envie de me doucher. Mais bon, je suis quelqu'un de propre donc en peu de temps me voilà arrivé dans la salle d'eau.

Je crois que je ne m'étais jamais lavé aussi vite de toute ma vie. Tout simplement parce que j'avais peur de perdre du temps... En re-rentrant dans l'espace personnel de Harry, je m'étais jeté dans le lit. Il a sourit quant il a aperçu que je rentrais dans la chambre puis a rit quant il m'a aperçu entrain de m'écrouler sur ses dras.

Il n'a pas attendu longtemps avant de me rejoindre.
Nous étions allongé l'un en face de l'autre et nous nous fixions. 
Ça n'a pas duré longtemps puisque lui et moi avions du mal à résister à l'envie de nous embrasser. Ses baisers
n'avaient jamais été aussi passionné. Je me sentais tellement bien. Il descendit vers mes clavicule et se lança dans la réalisation d'une oeuvre d'art : un suçon. Au début ça me faisait un peu mal puis peu à peu la douleur laissa place au plaisir.

Nous nous étions endormi après cet épisode quelques peu sensuels. Je voulais continuer mais je n'avais pas osé... On aura sûrement un moment encore plus calme pour le faire. Sauf si lui ne veut pas... Mais ça m'étonnerait fortement parce qu'après se qui venait de se passer...

Le réveil c'était fait très simplement. J'étais toujours dans ses bras. Il semblait réveillé depuis un bon moments.

- Bonjour mon amour... glissais je, encore un peu endormi.

- Hello ! Bien dormi ?

- Très bien tes bras sont des coussins merveilleux. J'avais rajouté un clin d'oeil absolument ridicule pour que cela rend la chose plus drôle.

Il a rit avant de sortir :

- Ils te remercient du compliment surtout qu'ils trouvent que tu es une bonne bouillotte !

J'étais content de la nuit que j'avais passé à ses côtés. Il était gentil et patient avec moi.
Je voyais qu'il m'aimait et sue donc je pouvais avoir confiance en lui.
J'étais bel et bien amoureux de lui. J'avais constamment besoin de sa présence. Il était une sorte de pilier.

- On descend mon coeur ? Demandais je.

- On peut rester encore un peu dans le lit ? Sa voix ressemblait terriblement à celle d'un petit garçon en manque d'affection. Il était beaucoup trop mignon.

Nous sommes rester une heure de plus dans le lit à nous câliner, nous embrasser. Je me sentais en sécurité et heureux. Rien ne pouvais venir entraver mon bonheur.

Au bout d'un moment il a fallut descendre, nous étions tomber nez à nez avec sa mère à peine la dernière marche de l'escalier descendu. Elle devait sûrement revenir de la buhandrie puisqu'elle portait une bassine rempli de linge.

- Bonjour les garçons ! Vous avez bien dormi, nous lança t elle.

- Oui et vous ? Répondis je poliment.

- Harry ! Tu ne lui as pas dit qu'il faut me tutoyer ! Voyons je suis ta "belle-mère" !

Cette femme était pleine de vie et sourié sans relâche. Je l'aimais plutôt bien.

- Oups j'ai oublié se détails. Il laissa échapper un rire à la fin de sa phrases.

Après le repas du midi, ma belle mère est venu me chercher. Je lui ai donc raconter la soirée sans trop de détails. Elle était fière d'avoir réussi à faire en sorte que je dorme chez mon copain.

Je la remercierai jamais assez.

Boys can cry Où les histoires vivent. Découvrez maintenant