DRAGO:
- Écoutez madame Pomfresh, ce n'est plus possible, m'indignai-je, faites quelques chose pour Potter ! Vous n'avez qu'à le ligoter à un lit, l'assommer, faites ce que vous voulez du moment que c'est radical.
La nuit dernière avait été celle de trop, et des les premières lueurs de l'aube je m'étais rué à l'infirmerie pour exposer la situation plutôt critique et invivable à l'infirmière de l'école.
Cette dernière pinça les lèvres et me lança un regard sévère.- Monsieur Malefoy. Je me permet de vous faire remarquer que dès les premiers symptômes, Mr Potter, est venu me consulter pour obtenir de l'aide, que ne peux visiblement pas lui apportait car aucun des remèdes que je possède ne fonctionne sur lui ! S'exclame la femme d'un certain âge tout en époussetant sa robe.
Je m'apprête à lui demander ce qu'elle propose comme solution, mais elle me coupe net dans mon élan.
- Si Mr Potter perturbe votre sommeil en s'exhibant en sous vêtement dans votre dortoir, ce n'est plus mon problème mais celui du professeur Dumbledore. Je vous prie donc de faire demi tour, vous et votre arrogance et d'aller vous plaindre au directeur. Merci beaucoup.Je fulmine intérieurement tout en tournant les talons et en marmonnant un vague « Mon père en entendra parler ». Dès que je franchis la porte de la salle, je croise Harry qui s'apprêtait à pénétrer dans l'infirmerie mais je le stoppe net dans sa trajectoire en attrapant son avant-bras.
- Pas la peine d'aller te confier à cette cinglée, elle m'a recalée et m'a demandée d'aller voir Dumbledore. Je t'embarque avec moi.
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Et nous voilà, une quinzaine de minutes plus tard, assis dans des fauteuils en cuirs face à notre bien aimé (Ironie) directeur, sur sa chaise décorée, derrière son bureau.
Le barbu replace correctement ses lunettes sur le bout de son nez, tandis qu'à ma gauche, Potter tortille ses mains d'un air gêné.- Alors, que me vaut la visite de Drago Malefoy et Harry Potter en cette belle journée de mai ? Nous demandes le vieil homme d'un ton faussement aimable tout en nous offrant un sourire très agaçant.
Belle journée de mai, mon cul oui.
- Depuis quelques nuits, je commence en essayant de ne pas m'emporter, Potter est pris de violentes crises de somnambulisme qui le conduit tout droit dans mon dortoir.
- Nous avons consultés Madame Pomfresh, poursuivit Le Brun d'une voix mal assuré, mais aucuns remèdes ne marchent. Elle m'a fait dormir à l'infirmerie pour m'éloigner, mais échec. Elle a même demandée à Ron de me surveiller pendant la nuit sauf qu'il s'est endormi...
Tiens, pourquoi est-ce que ça ne m'étonne pas ? Essayer de confier une tache autre que bouffer à Weasmoche et s'il réussit, je lui lègue toute ma fortune.
Sans rire, ce mec est inutile.- Donc nous aimerions avoir votre avis sur la question professeur.
Le dit professeur caresse sa barbe, les yeux regardant dans le vide.
Théo doit fournir sa drogue au directeur, j'en suis persuadé.- Si les remèdes sorciers...
- ET moldus, rajouta le sang-mêlé avec un soupir à fendre l'âme.
- Ainsi qu'un éloignement, et qu'une surveillance constante - Moyennement constante- ne fonctionnent pas. Je suggère le rapprochement.Heureusement que je n'avais pas d'eau ou de jus de citrouille dans la bouche, car je lui aurait craché à la figure sans ménagement.
Je me lève, furieux et absolument pas convaincu par cette idée des plus ridicules.- C'est hors de questions, articulai-je en accentuation chaque syllabe, tout en claquant violemment la porte derrière moi.
Je poste ce chapitre super en avance je vous l'accorde, mais comme précisé précédemment je vais être absente pendant un petit moment et je préfère vous laissez un chapitre avant de m'enfuir comme une voleuse.
( Laissez moi délirer )
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Eh Potter, tu dors ?
Humor-Potter, tu peux m'expliquer ce que tu fous dans mon dortoir à moitié nu alors qu'il est 4h du matin ? D'ailleurs, qu'est-ce que tu fous dans mon dortoir ! ( Cette Fanfiction a pour but de faire rire mais si vous êtes pas sensibles à mon humour foir...