Chapitre 1

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-Helena Anderson ! Quel plaisir de vous avoir parmi nous durant les deux prochaines années ! Je me présente, Mr.Well, directeur de ce pensionnat Miss.Abbey ne devrait pas tarder, elle est la responsable des chambres, mes parents hochent leurs têtes, attentifs à chacune de ses indications, pour ma part je ne dis rien, j'écoute tout simplement. Une petite dame assez âgée, la soixantaine je dirais tout au plus, la vielle assez typique travaillant dans un pensionnat ; cheveux gris regroupés dans un chignon bien soigné, de grosse lunette noir sur le bout du nez, vêtue d'une longue jupe noir avec un chemisier blanc, un carnet à la main s'avance à notre niveau, elle salue mes parents et se retourne vers moi souriant de toutes ses dents.

-Bonjour mademoiselle Anderson, je fis un faible sourire, vous occuperez la chambre A16 située dans l'aile A, veuillez me suivre je vous pris, elle se retourne salua le directeur et nous emmena d'un pas rapide jusqu'à ma chambre, les couloirs sont long et spacieux, les murs peint en blanc avec une bande grise assez épaisse sur le milieux, des lustres blanc très lumineux, quelques cadres y montrant des forêts sont dispersées  sur les murs, je dois bien avouer que la décoration est assez jolie, sur chaque portes une petite plaquette indiquant le numéro de chambre, je suis assez surprise de voir Miss.Abbey ouvrir la porte grâce à un badge électronique, et je le suis encore plus en rentrant dans « ma chambre », la porte ouvre sur un salon assez petit mais très beau et accueillant, les murs sont blanc, il y a un canapé d'angle noir dotés de coussin rouge et orange,  une petite table basse en bois, une télé situé sur un meuble en bois, les meubles sont principalement en bois claire, le sol étant en parquet, un buffet est situé à l'entrée à droit du canapé, à gauche il y a un petit couloir menant sur trois portes, deux chambres, une salle de bain.
Deux chambres.Colocation.Non.
-Helena à un colocataire ? Demande ma mère inquiète, MissAbbey hoche la tête de haut en bas en souriant.
-Oui, elle partagera sa chambre avec Roxana Hills, elle devrait arriver demain en fin d'après midi, ne vous inquiétez pas Mme Anderson, les colocations ne sont pas mixes !
S'exclama t'elle en riant, génial,  les colocations marchent très bien ici, si il y'a vraiment un motifs pour que les étudiants changent de chambre ils seront déplacés, mais cela n'arrive que rarement, dit-elle en voyant l'air inquiet de ma mère, mon père lui, ne dit rien, il se contente d'observer et d'hocher la tête quand il le faut, à vrai dire lui ne voulait pas m'envoyer ici.
Miss.Abbey me tend  un trousseau de clefs colorés ainsi d'une carte, un badge, le badge pour entrer ici.

-À quoi sert ces trois clefs ?
-La rouge ouvre votre porte si vous perdez le badge, mais je serais vous je ne le perdrez surtout pas ! Vous n'en posséderez qu'une durant ces deux années, la bleu votre casier qui vous servira pour le sport,  la violette pour ouvrir votre casier si vous pratiquez une de nos options, danse, gymnastique, football, badminton, chant, art, et instrumental, ne perdez pas ce trousseau vous n'en aurait qu'un Helena pour toute votre scolarité ici.

- Et quels sont les règles ici ? Demande mon père, l'air sceptique connaissant mon problème avec l'autorité.
-Il est interdit de sortir des chambres après vingt-et-une-heure en semaine, le WeeKend les étudiants sont libres, les armes sont interdites, les tenues provocante, toute pratique d'harcèlement, le vol, et les chambres ne sont pas mixte, la violence physique et moral ne sont pas tolérée dans cet établissement, les élèves qui feront actes de violence seront sévèrement punis, mes parents hochent la tête, encore une fois, il me semble que nous avons fait le tour, ah est j'oubliais, la visite du campus n'est pas obligatoire mais elle est conseiller, une réunion se fera mardi à dix sept heure dans la salle des réunions pour l'organisation des options, qui fais quoi avec qui, un emploie du temps vous sera attribuée dimanche à dix-huit heures quarante-cinq, si vous avez d'autres questions ou besoin de renseignement Helena vous me trouverez dans mon bureau de dix à dix-huit heures du lundi au vendredi dans l'aile de la direction, je vais vous laissez vous  installez. Elle salua mes parents et sortie de la chambre.

-Comment trouve tu l'endroit choupette  ?
-Bien papa, bien, sauf le fait d'avoir une colocataire, ça non je n'aime pas du tout de devoir partager mon espace personnel, une salle de bain pour deux, une ! Dis-je avec dégoûts, et je ne comprends toujours pas pourquoi vous m'avez envoyée ici, ma mère s'installé sur la canapé tripotant un des coussins.
-C'est une très belle institution, réputé pour son taux de réussite, tu est sûr d'avoir de très bon résultats et assurer un bon avenir, et peut-être que ton comportement s'améliorera, bon chéri il est l'heure, nous devons aller à l'aéroport, elle me fit un bisou sur chaque joues et me tourna le dos pour sortir de la chambre, je me tourna vers mon père.
-Je ne comprend pas pourquoi tu la laisse tout commander, tu devrais t'affirmer plus papa.

-Je sais Choupette je sais.. Mais nous connaissons ta mère, je leva les yeux au ciel, ne fais pas ça tu tient énormément d'elle vous avez presque le même caractère si tu n'est pas pire, tu m'appelle quand tu veut d'accord ? J'hocha la tête et il me prit dans ses bras, essaye de t'ouvrir au monde et essaye d'être gentille ma puce, il me déposa un baiser sur le front.

-Papa ? Il se retourna, je ferais des efforts, il me sourit et ferma la porte, tu va me manquer papa..
Me voila seule ici, je décide de défaire mes bagages, de toute façon je n'ai que ça à faire.

Je me présente, Helena Anderson : fille d'un riche avocat réputé, je suis loin d'être laide, grande et mince, des formes généreuses là où il le faut, de long cheveux brun en cascade, des yeux bleu, glacial, pourquoi je suis envoyée ici ? Car papa et maman rêve de retrouver leur petite fille chérie, sauf qu'elle n'existe plus, est-ce que j'étais prête à affronter ce qui aller me tomber dessus ? A ce qu'il me tombe dessus ? Absolument pas, et putain, jamais j'aurais pensée que ça se terminerais comme ça.

In Love Où les histoires vivent. Découvrez maintenant