Destiny [ Tolisso ]

Je t'aime

Alice et Corentin rentrèrent dans la voiture.

Moi : Coco je veux te dire quelque chose.
Coco : Oui vas y
Moi : Je voulais te remercier pour tout ce que tu fais pour moi. Des fois je me dis que je te mérite pas. Tu es tellement gentil avec moi. Tu m'héberges, tu m'invites au resto alors que moi je fais n'importe quoi. Si tu n'étais pas intervenu hier j'aurai sûrement couché avec un inconnu et je l'aurai tellement regretté. Merci d'être là mon C........

Puis il m'embrassa. Nos lèvres se touchaient. Je ressentis des frissons dans ce baiser. Cela me rappela la fois où il m'avait embrassé et que je l'avais repoussé. Je me sentais tellement bien dans ses bras.

Coco : Je dois te dire quelque chose aussi. Le jour où tu as eu cet accident j'avais décidé de prendre sur moi et te dire cette chose le soir. Mais tu es morte enfin voilà quoi.
Donc Alice ça fait maintenant neuf ans qu'on se connais et quand je t'ai revu à Clairefontaine tu avais tellement grandit, tu était devenu tellement belle. J'ai commencé à avoir des sentiments pour toi. Plus le temps passé et puis les sentiments devenaient concrets. Je t'aime Alice et je veux passer ma vie avec toi. Quand j'ai appris que tu nous avais quitté j'étais détruit et je me sentais tellement coupable. J'avais tué la femme que j'aimais. Je suis tombé dans la dépression et j'ai rencontré Leonia. Elle a réussi à me faire remonter la pente mais je ne l'aimait pas comme je t'aimais. Et puis tu es revenu dans ma vie et j'ai réalisé que je pouvais pas t'oublier. Tu es ma DESTINÉ. Je veux être avec toi et plus jamais te quitter.

Moi : Coco quand je t'ai revu y a une semaine j'ai ressenti un truc que je n'avais jamais ressenti. Je peux même pas te l'expliquer. Quand je te touche j'ai des frissons tout en moi. Et puis quand Alass m'a dit que « Tu sais il t'apprécie beaucoup et beaucoup plus que ce que tu crois ». Je me sui remise en question et j'ai pris conscience que je ressentais plus que des sentiments d'amitiés envers toi.

Il sourit et m'embrassa. Je cherchai l'homme de ma vie depuis si longtemps alors qu'il était était toujours devant moi.

Coco : Allez tu dois être crevé on va dormir.

J'allai dans ma chambre et me changeai dans la salle de bain. J'enfilais mon pyjama et sortis de la salle de bain. Je vis Corentin allongé sur mon lit entrain de me regarder.

Coco : Tu deviens de plus en plus belle mon amour.

Il m'a appelé mon amour. Il m'avait donné tant de surnom mais mon amour jamais.

Moi : Ahah Merci.

Je m'allongeai sur lui et l'embrassai. Nos baisers était de plus en plus passionnels. Il descendit ses baisers sur mon cou puis sur ma poitrine et mon ventre. Il commença à m'enlever le tee shirt puis je lui fit signe d'arrêter.

Moi : Coco j'ai jamais enfin tu comprends.
Coco : Si tu veux pas tu me le dit. J'attendrai le temps qu'il faudra.
Moi : Nan tu as tellement attendu et puis je t'aime.

Il dégrafa mon soutien-gorge. Je me sentais gênée d'être nu devant lui. Puis il enleva son boxer pour mettre une capote.
Il embrassa mon corps zone par zone et me chuchota à l'oreille que j'étais magnifique. Il enleva délicatement ma petite culotte qu'il lança dans la pièce.
Il s'arrêta un instant.

Coco : T'es sure ?

Je lui fit un hochement de tête pour lui montrer mon approbation. Puis il commença des vas et viens. Il entra en moi. Je senti un orgasme lorsqu'il accéléra ses mouvements. En même temps il me suçoter le cou alors que moi j'enfonçais mais ongle dans son dos. Les mouvements se faisaient de plus en plus rapides et saccadées. Après quelques secondes nous atteindimes l'apogée tous les deux. Puis il s'écarta ne pour pas laisser couler son liquide sur moi.

Coco avait été tellement doux, tellement attentionné. J'avais ressenti plein de passion envers lui. Pour une première ça avait été tellement bien. Ma meilleure amie m'avait dit que ça première fois avait été pourrit mais avec Corentin elle avait été exquise.

Coco : Ça va tu n'a pas eu trop mal ?
Moi : Nan merci c'était tellement bien.

Il me sourit et m'embrassa puis nous nous endormîmes dans les bras de l'autre.