Cheminées (poème)

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Les hautes cheminées qui crache leurs fumés.

Des volutes blanchâtre viennent obscurcir la ville.

L'odeur nauséabond est partout, impossible de respirer.

Impossible de vivre tranquille.

Les gigantesque nuages qui parte de celle-ci font lâcher à n'importe qui des larmes acide.

Les cris des bébés mêlés au bruit de la respiration des plus âgées.

Font que la petite ville calme s'emplit d'échos plein de vide.

Et gâche la vie des civil de la vallée.

Les reines de la vallée, ces immense cheminées, malgré leur tailles paraissent fragile.

Pourtant elles règne sans pitié pour les oiseaux qui autrefois peuplaient le ciel.

Le monstre terrible qu'on ne peux arrêter sème derrière lui la toux sèches des habitants.

Quand on s'approche des géantes on remarque à qu'elle point elles sont artificiel.

Et que le monstre blanc n'est que le résultat d'une longue série de transformations diverses causé par un besoin d'argent.

Finalement les cheminées qui pollue la vie n'est pas une maigre vengeance de la planète terre.

Ou bien le début d'une longue descente aux enfers ?

Pensées d'une ado perdueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant