Chapitre 3

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_Et si on appelait maman et papa?proposa Eli

_Ok hâte de les parler.

_Ok je les appelle alors.

 
 Elizabeth appela ses parents,et leur père décrocha à la deuxième sonnerie;les deux filles disent en même temps:

_Bonjour Papinou.

_Bonjour,comment va mes deux princesses?

_Elles vont super bien mais vous nous manquer beaucoup repondit Elizabeth.

_C'est vrai,approuva Maria

_Ohh comme vous êtes mignonnes dit leur père.

_Maman est à côté?demanda Maria

_Non elle est allée chez sa copine,vous vous rapellez de Rachelle?

_Oh que oui on est pas prête de l'oublier, après qu'elle ai...;commence Elizabeth

_..brûlé le gâteau préférée de maman qui avait passé des heures à le préparer Termina Maria.

Ils éclatèrent tous de rire en se souvenant de ce jour,d'habitude calme ce jour là leur mère avait explosé de colère en les accusant tous de ne pas avoir veuillez sur son gâteau le temps qu'elle aille acheter des fraises pour décorer son gâteau.

_Je dois vous laisser les filles Alberto est arrivé,à ce soir;dit-il en faisant un bisous à ses filles chéries.

_A ce soir Papa et passe le bonjour à tout le monde;disent-elles.

_Je n'y manquerai pas.

Puis Elizabeth coupa la conversation.

_Maria;dit Elizabeth ça te dérange pas si je te laissais seule,je voudrais allez acheter des viennoiseries?

_Non,pas du tout et puis j'en ai envie aussi.

_Ok je reviens dans pas longtemps dit Elizabeth en prenant son sac.

Maria rangea les vêtements et les chaussures qu'elles ont achetées et se mit à regarder la télé en attendant sa soeur.Tandis qu'Elizabeth avait pris un taxi et ce taxi la conduisit jusqu'à sa destination.Eliza paya le chauffeur et entra dans la pâtisserie.Elle salua la vendeuse et acheta les viennoiseries qu'elle voulait.Au moment de sortir elle glissa et s'accrocha à la main de la personne à côté d'elle et celui-ci par réflexe l'attrapa la main,puis il fit tomber ses achats et mis son autre main derrière le dos d'Elizabeth.Eliza dégagea ses cheveux de son visage et regarda l'homme qui l'avait sauvée.

Quand leurs yeux s'accrochèrent,le temps s'arrêta;Eliza ne pût se retenir de le contempler.Ses cheveux noirs d'ébène étaient parfaitement coiffés,ses yeux étaient aussi noirs que ses cheveux,il a une barbe naissante avec un visage dur et sérieux,ses mains devinrent subitement moites;il la dévisageai avec tellement de froideur qu'elle en eu le souffle coupé mais elle ne pouvait nier que cet homme était d'une beauté que seul un dieu grec pouvait posséder et elle se perdait dans son regard.

Angelo lui,observait ses yeux ayant une couleur bleue azur,puis la détailla de la tête au pied en se disant qu'il avait une déesse dans ses bras,sans qu'ils ne le sachent un paparazzi les avait pris en photo dans cette position et ce dernier partit aussi vite qu'il est venu.Mais Angelo se rappela très vite que toute les femmes sont des croqueuses de diamant puis il  la remis sur pieds.Elizabeth complètement déboussolée dit:

_Mer...merci beaucoup.bafouilla Elizabeth en s'agenouiller pour ramasser les achats de l'inconnu.

Sans attendre plus il lui posa la question qui lui brûlait les lèvres.

_Journaliste?

_Pardon?

_Etes vous journaliste?demanda t-il d'une voix rauque.

_Pas du tout.

_Vous êtes donc mannequin?

_Non plus.

_Est-ce une nouvelle méthode pour attirer les regards?dit Angelo d'un ton si froid qu'Elizabeth frissona.

_Je...je ne sais pas de quoi vous parlez monsieur j'ai glissé et par reflexe je me suis accroché à vous sans arrière pensée et même si ça avait été un autre homme ça se serait passé de...de la même manière,bafouilla Elizabeth irritée d'être traiter de la sorte,et encore merci pour m'avoir rattraper... à temps,tenez.Dit-elle en lui tendant son sac.

Il le prit sans grande délicatesse.

_Je dois y aller.

Joignant la parole aux geste,elle fit un pas mais une main forte enserra son poignet.

_Excusez-moi mais je dois y aller.

_Et vous êtes?demanda t-il d'un ton toujours froid.

_Et pourquoi je vous le dirai?

Angelo fut surpris pas son audace puis repondit d'une voix faussement amicale.

_Je vous ai sauvé d'une chute,vous me devez bien ça.

Elizabeth devait reconnaître qu'il a raison  alors elle ignora ses frissons et dit tout simplement.

_Elizabeth Rousseau.

Après ses deux mots prononcés elle s'en alla sans dire aurevoir.

Je n'ai pas à être polie puisqu'il ne l'a pas été se dit Elizabeth pour éviter de s'en vouloir.

Angelo la regardait partir avec une démarche gracieuse et presque maladroite puis la vit appeler un taxi dans le quel elle monta.Il entra dans sa voiture rapidement donner à Martha ses achats.Mais pas seulement il voulait aussi que son conseiller fasse des recherche sur cette jeune parisienne.

Elizabeth était pressé d'arriver chez elle pour prendre une douche froide afin d'oublier cet homme au regard d'acier et charismatique.
Arrivée à l'hôtel elle paya le chauffeur et monta dans sa chambre.

_Salut, Maria.

_Salut, dit donc tu en a mis fu temps.

_Oui, je sais; répondit simplement Elizabeth.

_Voici les viennoiseries, tu peux commencer à t'en servir si tu veux; continua Elizabeth en déposant le sac sur la petite qui se trouvait au salon.

_Eli qu'est-ce qui ne va pas;demanda Maria inquiète.

_Tout va bien ne t'inquiète,dit Eliza avec un faux sourire, je vais aller me changer je reviens.

Maria s'assit sur une chaise à l'attendre, elle savait bien que quelque chose ne va pas. Mais quoi?

Elizabeth opta pour une jupe qui lui arrivait jusqu'au genoux et pour un body.Elle s'ordonna d'oublier ce qui s'est passé à la pâtisserie.

De toute façon je ne le reverrai plus jamais; pensa Elizabeth.

Mais qui sait ce que le destin nous réserve?

1. Le vol du bonheur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant