Je suis désolée pour ne pas avoir publier hier, je n'ai pas eu du temps à moi; encore une fois désolée.
Et bonne lecture.
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"Non, je reste."
Merde!! Se cria intérieurement Elizabeth, ne pourrait-il jamais obéïr pour une fois.
_S'il-vous-plaît sortez.
_Je penses qu'on devrait se tutoyer après ce qui vient de se passer entre nous.
Les joues d'Elizabeth s'empourpèrent, elle baissa les yeux et repondit d'une toute petite voix:
_Il ne s'est rien passé d'important.
Angelo ne pouvait expliquer la colère qui l'habita.
Comment pouvait-elle dire qu'il ne c'est rien passé, alors se retenait de gémir sous l'emprise du plaisir et que si ils étaient dans un endroit isolé, ils seraient sûrement dans les bras de l'un de l'autre; nus.
_Comment peux-tu dire ça? Lui hura t-il avec colère; ce qui c'est passé n'était donc rien pour toi?
Bien-sûr que non, ce qui c'est passé entre était le chose la plus merveilleuse qui lui jamais arrivée. Mais qui sait? Peut-être se jouait-il d'elle? Il fallait donc rester sur ces gardes.
Vu le manque de réponses Angelo lui cria:
_Repond-moi.
Elizabeth n'avait pas peur de ces cris, elle avait vécu pire, bien pire...
Elle ne repondit toujours pas, Angelo l'attrapa violemment le bras, alors que Maria se trouva au pas de la porte.
_Mais que faites-vous? Lachez ma sœur. Lui hurla Maria en se précipitant vers lui pour séparer Elizabeth de l'emprise d'Angelo.
Elizabeth, elle, elle n'était plus que l'ombre d'elle-même, mais elle revint vite à la réalité quand Maria tira sa main sans pouvoir lui libérer.
Elle attrapa Maria de sa main libre, l'écarta et se libéra de l'emprise d'Angelo; elle ferma ses mains en poing puis les écarta avant de le gifler.
_N'oses plus reposer tes mains sur moi Angelo, est-ce que c'est clair.
Maria ne fut guère étonnée de son tutoiement, mais ce qui l'étonna c'est la position dans laquelle elle les avait trouvé; il y a de cela quelques minutes ils s'embrassaient comme si demain ne sera plus; et maintenant ils sont là à se disputer.
Angelo ne se rendit compte de son erreur que quand elle lui avait hurler dessus. Comment a-t-il pu se permettre de perdre son sang froid? Il tenta de s'excuser mais se ressaisit pour donner un peu de temps à Elizabeth.
_Sors; lui avait ordonné Elizabeth.
Ne voulant pas créer plus de dégâts qu'il en a causé, il sortit en lança à Elizabeth un regard désolé, un regard qu'Elizabeth fit mine de ne pas avoir vu; et ferma la porte derrière lui.
Elizabeth se tourna vers sa sœur attendant des questions qui ne tardèrent pas à arriver.
_Qu'est-ce qui c'est passé, vous sembliez tellement heureux dans le jardin?
Elizabeth suffoqua et écarquilla les yeux.
_Tu...tu nous as observer?
_Je savais bien qu'il y a quelque chose entre vous, alors qu'est-ce qui s'est passé?
Elizabeth lui raconta tout. A la fin, Maria lui regarda avec des yeux inquisiteurs.
_Ses baisers et ses caresses ne comptait pas pour toi? Lui demanda Maria.
Maria était la seule personne à laquelle elle pouvait tout dire, tout sur tout.
_Si; repondit-elle en baissant les yeux sur ses mains liées sur ses cuisses; c'était intense, fiévreux, et je sentais tellement bien avec lui...
Maria sourit en voyant sa sœur rêveuse.
Elizabeth se leva et prit son téléphone pour composer un numéro; sa sœur lui demanda:
_Que fais-tu?
_Je réserve une chambre d'hôtel pour nous deux.
Maria la regarda ahurie.
_Ne t'inquiètes pas tu verra ton Alexandro, je te le promets.
Maria rougit à l'entente des paroles de sa sœur.
_Mais s'il-te-plaît pour le moment il faut que tu fasses ta valise, s'il-te-plaît fais le pour ta grande sœur adorée; dit Elizabeth en lui faisait les yeux doux.
_C'est moi la grande sœur; répondit Maria en mettant ses mains sur les hanche un sourire en coin.
Elizabeth sourit et dit à sa sœur en commençant à mettre ses vêtements dans sa valise:
_Oui c'est ça.
_Ok je vais faire ma valise.
Maria s'approcha d'Elizabeth et lui fit un baiser sur la joue puis partit vers sa chambre.
Angelo estima qu'Elizabeth s'était calmé, mais il crut que son cœur va sortir de sa poitrine quand il la vit faire des allée retour du dressing à sa valise avec un visage impassible.
Il l'arrêta et lui demanda:
_Que fais-tu Elizabeth?
_De un, ne me tutoie pas et de deux je m'en vais d'ici avec ma sœur bien évidemment.
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1. Le vol du bonheur.
Romance_Et que proposez-vous,monsieur? Une simple petite question qui pourtant changera la vie d'Elizabeth Rousseau à tout jamais. Vous savez?Les gens disent que la vie n'est pas un conte de fée,juste parce qu'il y a des malheurs,des bas,des déceptions...