Elizabeth sorta de sa chambre et vit Maria faire sortir deux assiettes ainsi que deux verres puis elles fit sortir les viennoiseries.Une personne toqua à la porte.
_Attend j'y vais,dit Elizabeth à Maria.
Elizabeth pris les bouteilles de jus qu'avait commandé Maria et remercia l'homme qui avait livré la commande.
Elle ouvrit une bouteille de jus d'orange en versant le contenu dans les deux verres._Finie dit Maria en même temps qu'Elizabeth.
Encore une fois personne n'avait gagné.
_Encore.
_Oui,encore;mais j'espère que tu es au courant de ne pas pouvoir me battre;plaisante Elizabeth.
_Ah vous croyez ça dit Maria en entrant dans son jeu.
_Oh que oui.
Elles rirent de bon cœur puis se mirent à table.
_Eli?Quelle était cette mine que tu avais quand tu es revenue demande Maria toujours inquiète.
_Tu n'as pas à t'inquiéter,j'étais juste dans mes pensées.
_Ah oui,reprit Maria d'une voix pleine de malice,et à qui tu pensais.
Elizabeth leva les yeux au ciel.
_Qui te dit que je pense à quelqu'un et pas à quelque chose?
_Oh c'est juste qu'en regardant ton visage on dirait que tu as vu un ange dis Maria avec une voix taquine.
Elizabeth oublia Maria et se rappela du visage de ce appolon aux yeux aussi beaux que mystérieux,à son corps au quel on devinait des tonnes de muscles, avec un visage rêveur.
Elizabeth sortit de sa torpeur en entendant le bruit que faisait les mains de Maria.
_Mademoiselle est sur la lune?demanda Maria toujours avec le même sourire.
_Quoi?Non...bien sûr que non;repond Elizabeth beaucoup trop vite.
_Ah...ok je comprends;dit Maria comme si elle la croyait.
Il y eut un silence apaisant avant qu'Elizabeth ne décide de le rompre.
_Les croissants sont délicieux.
_Oui tu as raison.
Elizabeth débarrassa la table et se mit à faire la vaisselle.
_Je voudrais faire une balade dans le parc d'à côté tu vient avec moi,proposa Maria à côté d'elle.
_Oui pourquoi pas.
_Alors je t'attends.
Quand Elizabeth finie de faire la vaisselle elle prit son sac et son téléphone.
_Je suis prête Maria.
_Tu n'as même pas fait cinq minutes.
_Ça c'est parce que je suis plus rapide que toi.
_Oui,c'est ça.
_Allons-y.
Les deux jeunes femmes se baladèrent pendant un bon bout de temps au parc.
_Je veux deux glaces,l'une au chocolat et l'autre à la vanille.dit Maria au vendeur de glace.
_C'est comme si c'était fait.
Deux minutes après elles étaient en train de déguster leur glace.
_Et si on allait acheter des hamburgers,j'ai terriblement faim;propose Elizabeth.
_Bien sûr,allons-y.
Il était aux alentours de vingt et une heures du soir qu'elle alla pour acheter les hamburgers.
_Maria tu peux m'attendre ici il y a beaucoup de personnes à l'intérieur?
_D'accord mais fais vite.
_Promis.
Elizabeth entra dans le restaurant et attendit son tour pour faire sa commande.
Maria s'assit sur le seul banc qui était à côté du restaurant même si il était un peu éloigné,à attendre sa sœur quand un homme qui semblait ivre s'assit à côté d'elle.Elle se poussa vers la partie opposée de celui-ci._Eh ma jolie où va tu?demanda l'ivrogne.
Maria décida de ne pas repondre jusqu'à ce que celui se montre insistant en s'approchant d'elle.
_Repond moi dit-il en attrapant son bras.
_Mais lachez moi dit Maria en essayant de se libérer en vain.
Il déchira le t-shirt de Maria et essaya de l'embrasser quand cette dernière lui gifla.
Elizabeth cherchait Maria quand elle le remarqua un peu loin avec un homme.Elle courut vers sa sœur et elle remarqua que son t-shirt était déchiré et surtout le bras de celle-ci retenue par cet ivrogne.Elle s'approcha un peu plus.Flashback:
_Non lachez-moi je vous en supplie;cria Elizabeth en pleurant.
Le jeune homme de vingt-deux ans déchira sa robe un sourire sadique au lèvres.Il se mit à caresser sa peau de porcelaine et Elizabeth se débattait en vain.
_Allez ne me dit pas que tu n'aime pas,dit son agresseur toujours avec le même sourire aux lèvres.
_Lâchez-moi s'il-vous-plait supplia la jeune fille sans défense âgée à peine de dix-huit ans.
_Arrête de pleurer sinon tu abîmer ce si beau visage.
Il essaya de dégrafer son soutien-gorge quand un homme arriva par derrière et le prit par le col.Il lui donna de nombreux coups plus violent les uns après les autres sur la figure.
Fin du flashback.
Elizabeth se précipita vers sa sœur.
_Lâche la dit-elle d'une voix dure qu'elle n'avait pas utiliser depuis maintenant cinq ans.
_Une autre encore plus belle.dit celui en gardant sa prise.
_Je te le répète pour la dernière fois lâche-la et tout de suite.tonna Elizabeth d'une voix autoritaire.
_Eli fait attention s'il-te-plaît,la conseilla Maria.
Elizabeth préféra ne pas repondre et d'analyser son adversaire.Et sans prévenir elle se jeta sur lui en lui assénant de violent coups.
Alexandro vit au loin deux jeunes femmes,l'une debout et l'autre sur...un homme?Il remarqua que celle-ci lui frappait,l'homme essayait de se défendre sans y parvenir parce que la femme sur lui bloquait chancun de ses mouvements comme si elle c'était entraînée.
Il se dirigea vers eux en courant,quand il fût proche d'eux il constata que la femme debout avait un bout de son t-shirt déchiré,elle était terrifiée,en pleur,et qu'elle essayait de dire à son amie d'arrêter mais même en pleurs elle était d'une beauté captivante.Et là il compris que la jeune femme était victime d'un tentative de viol.Il regarda l'homme à terre le visage complètement amoché,Alexandro n'avait pas de pitié pour ce violeur mais il se devait d'empêcher celle qui était sur lui de continuer car si elle continuait elle finirait par le tuer.C'était quand même impressionnant de voir une femme frapper avec une telle force.Il s'approcha un peu plus et atttapa la jeune femme aux mains ensanglantées.Celle-ci par position de défense l'avait frappé à l'aide de son coude à l'épaule.Là il commençait à comprendre la douleur de l'homme à terre,bien que ce soit une femme ces coups ne demeurait pas moins douloureux.

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1. Le vol du bonheur.
Romance_Et que proposez-vous,monsieur? Une simple petite question qui pourtant changera la vie d'Elizabeth Rousseau à tout jamais. Vous savez?Les gens disent que la vie n'est pas un conte de fée,juste parce qu'il y a des malheurs,des bas,des déceptions...