Toutes les nuits ont une fin | fanfiction HP

oo - après leurs études...

Lorsqu'elle eut fini sa huitième année, EJIRO rejoignit CÉZAR à Manaus, au Brésil, où il avait repris le commerce d'apothicaire de son père. Ils eurent trois garçons : Chike, Gustavo et Mehrab. Quand il s'est agi de choisir le prénom de l'aîné, Cézar a demandé à Ejiro si elle souhaitait lui donner le nom de son père, pour lui rendre hommage. Ejiro a répondu : "je n'ai jamais connu mon père, je ne peux pas dire qu'il ait été très marquant dans ma vie. Non, s'il y a une personne dont je devrais me souvenir, ce ne peut-être que le professeur Chike". Le cadet, lui, a tout simplement reçu le prénom du père de Cézar, quant au troisième, son nom vient du héros d'un livre perse qu'Ejiro et Cézar ont lu tous les deux.
Malgré le travail de Cézar, le couple passe sont temps à voyager, pour découvrir de nouvelles choses. Lorsque leurs enfants étaient trop jeunes pour voyager, ils les confiaient à la sœur cadette de Cézar, Iasmin, qui reprenait également les rênes de l'apothicairerie. Mais de leurs cinq ans à leurs onze ans, Chike, Gus et Mehrab voyagèrent tout le temps avec leurs parents. Lorsqu'ils eurent l'âge d'aller à l'école, ce fut une surprise de savoir dans quelle école ils seraient admis. Finalement, Chike se dirigea à Castelobruxo, alors que ses deux frères reçurent le messager des rêves et partirent pour Uagadou.

Après son enlèvement, il restait encore trois ans d'études à OONA. Alors qu'elle s'était mis dans la tête, depuis le début de sa deuxième cinquième année, qu'elle choisirait l'option Orunmila, le dieux des mystères, et de la spiritualité, elle s'orienta en fait vers Osanyin, le guérisseur, dans l'optique d'apporter son aide à tous les gens dans le besoin, ainsi qu'aux traumatisés de la guerre des sorciers. Elle resta longtemps en Afrique, sillonnant les terres pour soigner des sorciers qui n'avaient pas assez d'argent pour se déplacer dans un des quelques hôpitaux magiques du continent. Enfin, au bout de sept ans, Oona choisit de rentrer en Irlande, où elle retrouva son frère Aidan. Son père et Scott avaient été tués par les Mangemorts, et sa mère était décédée d'une maladie. Elle continua d'être médecin indépendant, mais se mit également à faire des interventions auprès des élèves de Poudlard, à propos de la guerre. Même si elle n'en avait pas autant souffert que les autres, elle restait une des victimes et voulait faire passer le message qu' il y avait toujours moyen de s'en sortir, quelle que soit la situation.
Finalement, concernant sa vie sentimentale, après avoir été déçue par Farida et Adaeze, Oona prit la décision de rester célibataire. Elle déclara un jour à Aidan "je n'ai pas besoin de quelqu'un dans ma vie pour l'avoir réussie".

À la sortie de ses études, AHMAD tomba amoureux d'une jolie moldue de trois ans son aînée rencontrée lors d'un voyage touristique en Afrique du Sud. Ils s'installèrent ensemble à Johannesburg, et c'est dans cette ville qu'il fonda son commerce. Ejiro et Njeri l'avaient toujours taquiné à propos de ses chemises bariolées, c'est ainsi que son magasin de chemises magiques vit le jour. Et sa femme en fit tellement la publicité autour d'elle que la clientèle finit par s'élargir et s'ouvrir également à un public non sorcier.
Dès les premières années de leur mariage, Ahmad confia à sa compagne sa vraie nature, et elle se révéla enchantée d'apprendre que son mari était doué de magie. Lorsque leur unique enfant entra à Uagadou, elle avoua "rien n'aurait pu me faire plus plaisir ! Et puis, il faut l'avouer, la magie c'est bien pratique !".

En décrochant son diplôme avec la plus haute note, NJERI annonça à tous ses proches qu'elle souhaitait devenir professeur. Elle suivit des études acharnées, puis se retrouva de nouveau à Uagadou pour y répandre son enseignement, en temps que professeur de Métamorphose. Tous les élèves l'ayant eu s'accordent à dire que le clou du spectacle de son cours est lorsqu'elle les amène dans la cour, en sixième année, et qu'elle se change soudain en un gigantesque éléphant qui leur barrit au visage.
Contrairement à Ahmad et Ejiro qui se sont tous deux mariés, Njeri n'a jamais éprouvé le besoin de fonder une famille. Elle s'en explique dans une lettre à sa mère : "trouver un époux ? Quelle utilité, puisque je suis déjà mariée à l'univers fantastique qu'est Uagadou ?".