Instant PUB - il en faut bien de temps en temps...- Je sais, je sais, je n'ai pas fini mes autres fictions, ni même celle-là -je suis très lente, pardon pour ça-
J'ai commencé une nouvelle fiction, sur MHA. Comme j'aime -beaucoup trop- Dabi, la fiction n'est autre qu'un Dabi x Reader -Ui, encore un xReader-
Cette fiction se nomme En éveil parmi tant de chose endormis. Je vous invite à aller faire un tour si ça vous intéresse :) Aller je vous laisse lire ce chapitre tranquillement, salut salut !
~Fermage de parenthèse~
J'ai tranquillement mangé la pomme qu'Eren m'a apporté, elle était belle bien rouge et surtout très bonne. Je suis vraiment touchée par son geste. Jetant le trognon à la poubelle, je vais vers la chaise de mon bureau, là je retire tout ce qui est inutile pour dormir, ne gardant qu'un simple t-shirt blanc et ma culotte.
Suite à cela je vais me loger sous les couvertures, m'enroulant dedans pour conserver la chaleur. Je soupire de lassitude, le lit de mon ancienne chambre était bien plus confortable. Je change de position, voir si j'arrive à trouver la posture parfaite pour m'endormir.
*
J'ai beau tourner, je n'arrive pas à trouver le sommeil. Le moindre bruit de l'extérieur me dérange, m'angoisse. Chaque craquement de bois me fait penser au son d'une chaussure sur le parquet, dont le propriétaire se rapproche de moi pour me tuer. J'en frisonne rien que d'y penser...
Je soupire pour la énième fois, je refoule l'idée depuis tout à l'heure, cherchant à me persuader que c'est « un très mauvaise idée » je sursaute face à un nouveau grincement, cette fois ce son a eut raison de ma ténacité. Je capitule et me dégage des couvertures. Doucement je me lève du lit pour me diriger vers la porte.
Très lentement j'ouvre la porte, cherchant à faire le moins de bruit possible, je regard à droite et à gauche, vérifiant qu'il n'y ait personne. Puis je sors de la chambre, accompagnant la porte dans sa fermeture, toujours dans un soucis sonore. Une fois chose faite, je répète l'opération sur la porte du bureau du Caporal-chef.
Non...Franchement ce n'est pas une bonne idée...
Je franchis la pièce pour aller dans sa chambre. J'avance prudemment vers le lit. Il semble dormir profondément. Je ne peux retenir un sourire attendrit, j'approche ma main de son épaule pour réveiller en douceur.
Sauf qu'une main attrape violemment mon poignet avant même que je ne puisse le toucher. Mon poignet se fait tordre, je grince des dents sous la surprise et la légère douleur occasionnée. En seulement quelques secondes je me retrouve allongée sur le lit, Livaï à califourchon sur moi, plaquant son calife sur ma carotide.
Ses yeux fixe mon visage dans la peine ombre, il cherche à mettre un nom dessus. Puis quand il trouve enfin, il soupire et retire l'arme blanche de ma peau en grognant légèrement.
«– Tch... Qu'est-ce que tu fous là ? »
Je déglutis avec difficulté, tandis qu'il range son arme sous son oreiller. Je me redresse en frottant mon cou avec mes mains, j'ai eu peur... Livaï ne s'en préoccupe pas et se rallonge sur son lit,plaçant son avant bras sur ses yeux attendant une réponse. Puis comme je ne réagis pas il hausse le ton.
«– Oï ! Je t'ai posé une question !
– J-je n'arrive pas à dormir... Je ne me sens pas r-rassurée.. »
Je fixe le sol ne voulant pas croiser ses yeux, bien trop honteuse de lui avoir avouer ça. Il soupire une nouvelle fois mécontent des'être fait réveille pour ça.
«– C-ce n'était pas une bonne idée... Désolée, bonne nuit... »
Je lui tourne rapidement le dos pour m'enfuir, comme une lâche. Je n'ai même pas le temps de ma lever que ses bras viennent enlacer ma taille, il me tire vers lui m'allongeant sur le matelas, le dos contre son torse. Il vient caler son visage dans mon cou, tout en remontant la couverture sur mon corps. Je ne peux m'empercher de rougir fortement, je me fige n'osant plus bouger.
Au bout de quelques minutes, la position ne semble plus lui plaire, il se sert de ses bras toujours autour de ma taille pour me faire tourner vers lui. Son bras gauche vient lui servir d'oreiller,seulement il garde sa main droite sur ma hanche. Livaï grogne doucement.
«– Ta peau est froide. »
Il ne me laisse pas le temps de répondre et me colle un peu plus à lui. Me faisant poser mes mains sur son torse. Nos jambes se touchent à ce moment je me souviens dans quelle tenue je suis, ce qui augment considérablement ma gène. Il pose ses yeux fatigués sur moi, je suis sûre qu'il voit mes rougeurs.
«– Dors maintenant... »
Je hoche simplement la tête en fermant les yeux. Je me sens bien entre ses bras, au chaud et en sécurité. Il ne m'a pas fallu longtemps pour m'endormir dans cette position.
*
Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, j'ai pu constater avec bonheur, que j'étais toujours dans ses bras, j'en profite pour l'observer Livaï ouvre la yeux quelques temps après. Je rosie légèrement prise sur le fait. J'ouvre la bouche pour parler et ainsi cacher ma gène.
«– Bonjour Livaï...
– Ouais..Salut. »
Sa voix est un peu cassée, encore endormie, ça lui va très bien, lui donnant même un côté très sexy... Je continue de la fixer, étonnamment il fait de même. Très lentement je me redresse pour venir poser un baiser très chaste sur ses lèvres.
Mais qu'est-ce que je fous moi ?! En me retirant je lui souris un peu puis baisse la tête, cherchant à toute vitesse un mensonge.
«– D'où je viens c'est pour exprimer la gratitude.. »
Encore une fois, j'entends un « Tch » puis mon menton se fait relever par une main un peu rude. Cette fois c'est lui qui pose ses lèvres sur les miennes, me gratifiant d'un baiser plus qu'enflammé.
«– Te fous pas de moi. Peu importe où tu te trouves, ça voudra toujours signifier la même chose. »
Nous nous sommes regardés quelques secondes puis nous avons fondu sur les lèvres de l'autre.
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Tome I : Le Clan neutre | Livaï x OC|
Fiksi PenggemarL'idée d'origine n'est pas de moi mais de smain666. Aussi loin que remonte sa mémoire elle a toujours vécu à "l'extérieur" en dehors de ses grandes murailles que ses parents appelaient : Le mur de la honte. C'est donc depuis toujours qu'elle côtoie...