Prologue

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— Chérie ! Tu as pensé à prendre le gâteau ? 

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— Chérie ! Tu as pensé à prendre le gâteau ? 

— Ah oui, mince ! Prends-le à ma place, faut que je mette mes chaussures. 

— C'est bon, je l'ai. Dépêche-toi sinon on va être en retard. 

Elle soupira. 

— On vit juste en face Tim. 

Tim attendait, le gâteau dans les mains, sa femme qui n'était pas stressée par les dix minutes de retard qu'ils avaient pour le dîner avec les voisins. 

— C'est bon ! Je suis prête, on y va ? 

C'était sur ces mots que le couple sortit de leur maison pour se diriger vers celle d'en face. La femme de Tim, un peu nerveuse à l'idée d'avoir de nouveaux voisins, arrangea ses cheveux. 

— On va juste avoir un dîner avec les voisins, arrête d'être si nerveuse. 

— J'ai envie de faire bonne impression Tim ! Sérieusement, tu me trouves comment ? 

— Tu es magnifique. 

Ce ne fut pas un mensonge, elle était très belle avec des cheveux attachés en un chignon épais, des yeux verts et une peau hâlée, une femme aussi belle ferait tomber n'importe quel homme qui se trouvait sur son chemin. Arrivée sur le pas de la porte, elle demanda : 

— Oh non, comment s'appellent les voisins déjà ?

Son mari n'a pas eu le temps de répondre que la porte s'ouvrit sur un couple. Une belle femme brune possédant un sourire étincelant leur fit face avec, à côté d'elle, un homme à la carrure plutôt imposante et un visage creusé qui lui donnait un air sérieux et sévère. 

C'était à ce moment-là que tout avait commencé. 

C'était quand leurs yeux ne se quittèrent plus que ça avait commencé. 

— Bonsoir ! Je m'appelle Anna et voici mon mari Samuel, nous sommes vraiment heureux d'avoir de nouveaux voisins, allez-y, rentrez je vous en pris.

Sa gentillesse et sa chaleur, tout le monde pouvait la ressentir. C'était une très belle femme avec une joie de vivre inhabituel. Après tout, était-ce seulement pour faire bonne impression ? Tim pénétrait dans le salon accompagné par sa femme. Pendant tout ce temps, Samuel semblait intrigué par cette dernière qui ne voulait pas quitter ses pensées. Il ne devait pas, mais c'était plus fort que lui. 

Alors qu'ils se dirigeait tous vers le salon, Samuel se pencha légèrement vers la belle femme :

— Désolé, je n'ai pas cerné votre prénom... ? 

— Oh excusez-moi ! Je m'appelle Cynthia. Cynthia Cole pour être plus précise. 

Il rit légèrement et avec politesse tendit sa main : 

  Je m'appelle Samuel. Samuel Byler pour être plus précis, dit-il en l'imitant

Une étincelle était née... et elle allait produire énormément de flammes. 

 

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Rends-moi mon corps ! TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant