Behind the scene

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Bon les cops, comme dit précédemment, ceci est une petite explication de l'histoire.

En écrivant Crie mon nom, j'ai littéralement voulu écrire ce que je ne trouvais pas sur Wattpad, ce que j'aurais aimé lire. Une description charnelle détaillée, un truc qui me ferai me mettre à la place de la nana, qui éveillerai mes sens comme au ciné, qui me ferai littéralement vivre la scène. Vous offrir une description minutieuse, pour que vous sentiez le truc à fond. L'histoire partait initialement de simples sexfriends pour évidemment bifurquer vers les amoureux passionnés, enfin bref comme on aime.

J'ai voulu faire de London une véritable bad bitch, qui porte ses couilles en toutes circonstances : face à Mohamed et Abdel, Alek mais avant tout Brooklyn.
London était la petite sœur en surface mais la grande sœur en profondeur. Brooklyn était une fêtarde incontestée et une nana influençable au possible, c'est la raison pour laquelle elle a été aussi dévastée par la trahison de sa copine Grâce, parce qu'elle avait toujours été son modèle sur Terre, qu'elle avait placé toute sa confiance en elle, au lieu de plus estimer London, qui était sans conteste celle qui détenait la « vérité » (= qui a su comment agir pour tenter de réparer/limiter les dégâts), qui a géré au mieux la situation, notamment en délaissant les études pour travailler dans le but de subvenir aux besoins du futur bébé à l'époque où il était hors de question de mettre leurs parents au courant.

London s'est très vite attachée à Alek, et malgré ce que l'on peut penser, lui aussi. Le côté fuckboy dépourvu de tous sentiments amoureux n'a jamais rien été qu'un des nombreux préjugés qu'avaient London de lui, trop peu confiante. Alek avait peut être la dégaine d'un fuckboy mais était loin d'en être un (il a toujours été droit dans ses baskets, une vraie perle😭). Après le numéro de London avec la couverture, Alek s'est rendu compte que l'intérêt qu'il lui portait était de taille, il a cependant perçu London comme une joueuse, mais il se trompait. Par son comportement ce soir là, il a pensé qu'elle ne voudrait jamais plus que du sexe, ce que lui ne voulait pas. Et, avant qu'elle ne puisse fixer cette condition, il cru la devancer en lui demandant maladroitement de lui affirmer qu'entre eux, ce n'était que charnel, chose qu'elle fit, et les problèmes ont réellement commencé.

London avait toujours été d'humeur vengeresse, mais sa relation avec Alek avait décuplé ce trait de caractère. Si bien que s'en sont suivit de nombreux épisodes. Alek et London ont commencé à « jouer » sans s'avouer leurs sentiments mutuelles. Après qu'Alek ait envoyé la fameuse photo à London, ce fut le clocher final. Comme vous le savez, elle s'est énervée, ne trouvant pas ça « juste ». Alek su répliquer de la meilleure des manières en lui rappelant qu'elle était celle qui avait lancé les hostilités, que leur condition de « sex only » n'avait jamais impliqué de telles excès dont elle était à l'origine et que ce qui n'était pas juste était la manière dont elle réagissait quand lui faisait de même. Mais ce qu'Alek ne savait pas c'est qu'elle agissait ainsi parce qu'elle l'aimait, enfin bref vous connaissez la suite. Il lui en veut légèrement de ne rien lui avoir dit, parce que si ça avait été le cas dès le début, les choses ne se seraient certainement pas déroulées comme tel. Enfin bref, ils ont fini par s'aimer sans pour autant mettre de mots sur leur relation.

C'est là que London a commencé à merder. Elle est restée figée sur ce non-dit et a longuement cogiter sur « eux » (partie 37) sans jamais envisager d'en parler à Alek, histoire d'être fixé. Inconsciemment, le « je t'aime » n'était pas synonyme de « je t'aime, nous sommes un couple ». Or, pour Alek, ça l'était. C'est la raison pour laquelle elle l'a imaginé sans grande difficulté pouvant la tromper à plusieurs reprises. Mais elle avait tout faux, parce qu'Alek n'avait d'yeux que pour elle, et comme il le dit lors de leur dispute finale (partie 39) : « Combien de fois, il crie, combien de fois je t'ai dit que t'avais pas à t'en faire, que je t'aimais, putain d'merde, combien !?, sa voix se brise. On avait pas mit d'mots sur notre relation que dans ma tête je t'avais déjà juré fidélité pour le restant de mes jours, London. »

Crie mon nomOù les histoires vivent. Découvrez maintenant