I Chapitre 12

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Plusieurs jours s'étaient passés après cette journée et il la revit une nouvelle fois avant de devoir se remontrer à une réunion au près de Voldemort. Ce dernier voulut lui parler seul à seul à la fin de cette réunion, de quoi le rendre plutôt nerveux.

Voldemort : « Cher Malfoy, vous semblez en grande forme. »

Il l'observait du coin de l'œil lui tourner autour en l'examinant.

Voldemort : « Est-ce de travailler avec moi ? »

Lucius : « Oui, maitre. »

Voldemort : « N'y aurait-il rien d'autre qui vous mettes de si bonne humeur ? »

Il serra aussitôt les dents. Sa mère lui avait déjà demandé ce qu'il allait faire à Londres ainsi et il avait répondu qu'il allait voir un ami et que de toute manière, ça ne regardait que lui. Mais à cette personne en face de lui, il le savait pertinemment, il ne pourrait mentir et il ne devait jamais s'en aviser.

Lucius : « Il est possible que je vois quelqu'un. »

Voldemort : « Qui donc ? Est-ce cette chère sœur de Bellatrix ? »

Lucius : « Non, mon seigneur »

La surprise lui fit lever une arcade.

Voldemort : « Qui donc ? »

Lucius : « Une camarade de l'école. »

Voldemort : « Et comment se nomme-t-elle ? »

Lucius : « Nefry Jones. »

Voldemort : « Jones... Ce nom me dit quelque chose. »

Cependant ça ne sembla vouloir lui revenir.

Voldemort : « Pourquoi ne me l'amènes-tu pas ? Je pourrais faire sa connaissance. »

Lucius : « Elle est très maladroite, elle ne saurait que faire des erreurs. »

Agacé, son interlocuteur approcha son visage du sien et ordonna froidement.

Voldemort : « Apprends donc lui à se tenir correctement face à moi et amène la à la prochaine réunion. »

Lucius : « Bien maitre. »

Il lui fit signe de disposer et Lucius repartit assez rapidement. Il aurait pu, il aurait surement du se sentir fier qu'il demande à la rencontrer. Toutefois il était terrifié. Nefry avait du répondant et elle n'était pas dans la même vision que le seigneur des ténèbres sur comment devait être la société. Non seulement il n'avait pas envie de l'exposer de peur qu'il souhaite la posséder, mais surtout, il avait peur qu'il s'en prenne à elle, qu'il la voit comme une ennemie et ne la tue sur le champ.

Il avait peur pour elle.

Et c'est dans cet état pourtant qu'il alla la trouver. Sans un mot sur ce qu'il avait échangé avec le mage noir, juste pour la voir, profiter de ce qu'elle voulait bien lui offrir, la serrer contre lui, l'embrasser, la faire sienne, encore. Il voulait la sentir chaude, vivante, contre lui.

Réveillé avant elle, il l'observait dormir, ce disant qu'elle était plus belle et précieuse que n'importe quel bijoux qu'il pouvait avoir. Il lui caressait les cheveux, effleurait sa nuque, longeait son dos et la réveillait, la faisait grogner, mais il avait besoin de la posséder. Il ne voulait pas la perdre.

Il resta avec elle le temps de ses deux jours de repos, agacé de la voir faire la cuisine, il lui proposa plusieurs fois d'amener Dobby, ce qu'elle refusait à chaque fois. Alors il finissait par faire disparaitre ce qu'elle avait préparé et il appelait un restaurant afin qu'on leur livre un repas. Il était en avance sur son temps.

Les nœuds du destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant