mon parfait opposé.(gay)

11.11

Bonsoir voici un chapitre un peu particulier, je n'en dis pas plus, laisser moi vos avis afin que je sache si je dois le retravaillé et si oui quoi.

Merci au nouveau lecteur de suivre mon roman cela me fait très plaisirs.

Bonne lecture.

Il se mit à pleurer d'avantage comme si le fait que je puisse l'aimer était impossible pour lui, je sais qu'il n'a pas beaucoup d'estime de lui, enfin avait, j'ose imaginé à présent qu'il ne se sent plus comme un vide couille.

Car il est bien plus que ça, loin de moi l'idée qu'il en soit un pour moi, bien que notre 1ère fois puisse laisser penser que si, mais les choses ont évoluées, notre relation à changer, on est ... je ne sais pas ce qu'on est mais je suis amoureux de lui, et oui moi le parfait hétéro, penserons certains.

Et oui, j'en ai pas honte et je serais capable de le crier à qui bon veut l'entendre que j'aime Marvin LaRoche.

- J'aime pas te voir souffrir tu sais.
Le voir pleurer me fait mal, mon cœur se tord de douleur, et ma respiration est rapide.

il n'est pas un ange je l'accorde mais de là à l'envoyer sur les roses comme à fait l'autre con de Dorian je ne le tolère pas et d'ailleurs il va avoir à faire à moi, même si il lui fait des excuses.

- Bon ne restons pas là, à la vue de tous, on va faire des jaloux. Dis-je pour le faire rire et cela marche car il me répond rapidement en reprenant le contrôle de ses émotions et en laissais un petit rire s'échapper de ses lèvres.

- T'es con.

On se détache l'un de l'autre avant de se diriger vers chez moi.

Ma main agrippe la sienne et vient emmêler nos doigts ensembles.

On pourrait croire qu'on est un couple mais il n'a pas répondu à mon je t'aime.

Il ne m'aime peut-être pas, je suis juste un « sex-friends », dans un sens cela me blesse, mais dans un autre il était pas en état de parler et a préféré se taire.

On marche à travers les rues ou les passants nous regardait parfois en souriant ou avec dégoût, mais on en fait abstraction, on fini par arrivé à l'appartement, on se dirige vers ma chambre, je dépose mon sac au pied du lit et Marvin fait de même, on se jauge du regard quelques instants avant que je quitte la chambre pour aller prendre de quoi se restaurer un peu.

Quelques minutes après je remonte avec un plateau comportant deux verres, une bouteille d'eau, une autre de jus d'orange, et quelques paquets de bonbons.

J'entre dans la chambre et viens le déposer sur la table de chevet, on ne sait jamais ce que l'on va faire et j'aimerais pas risqué de renverser les verres dans le lit.

- Tu veux quoi. Demandais-je en montrant le plateau à mon ami.
Il regarde le plateau avant de retourner son regard dans ma direction.

- J'ai pas soif à vrai dire, je te veux contre moi. Finit-il par dire.

Je viens donc m'asseoir sur le lit, le dos au mur, et mon bras gauche vient se placer dans le cou de Marvin pour l'attirer contre moi.

Il se laisse faire et lâche un soupire de contentement quand nos corps entre en contact.

Si je pouvais passer ma vie ainsi, je pense que je le ferais, à vrai dire je ne le pense pas, j'en suis sûr, je ne suis pas tombé amoureux de lui au 1er regard comme dans les films et les bouquins un peu fleur bleue, non à vrai dire si on avait pas couché jamais je ne me serais intéressé à lui d'avantage.