Chapitre 16 - repos et restaurant

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* coucou coucou ! comment allez-vous ?
comme d'hab « ** », rien ne change.
les cop' je voulais vous remercier pour vos adorables commentaires, vraiment vous pouvez pas imaginer à quel point ça peut faire du bien ! vous êtes géniaux !
sur ce, je vous laisse avec ce chapitreeee !
bonne lecture*

Il attrape rapidement son téléphone et pianote dessus avant de l'amener à son oreille.

– Qui es-tu en train d'appeler ? Je lui demande, les sourcils froncés.
– Richard, pour qu'il réserve une table privée dans l'un de mes restaurants préférés. Il a l'air tendu... Richard, pardonnez-moi de vous appeler maintenant. Non non, tout va bien, je suis chez moi. J'ai besoin de vous. Oui ? Pouvez-vous appeler Le Joji s'il vous plaît, pour réserver une table privée, comme d'habitude ? Il est mignon quand il téléphone, très sérieux, les sourcils froncés, il bouge, marche, passe sa main dans ses cheveux, change d'oreille de temps à autre. Avec discrétion. Merci, venez nous chercher à 20h chez Gabbie. Il coupe la conversation. Je m'approche de lui et pose un doigt entre ses deux sourcils.
– Ne fronce pas les sourcils, tu vas avoir des rides papi. Je ne peux m'empêcher d'afficher une mine moqueuse. Il finit par sourire et se lache enfin. Je préfère le voir comme ça que tendu pour je ne sais quelle raison.
– C'est moi que tu traites de papi ? Il fait mine d'être offusqué.
– Mais t'es mon papi préféré ? Je me mets à rire.
– T'as vraiment cru que ton excuse allait passer ? Il se moque de moi. Je hausse les épaules. Tant qu'il sourit, moi ça me va.

Il s'approche de moi et embrasse mon front, en caressant mes joues avec ses pouces.

– Tu veux prendre une douche ? Je hoche la tête.

Il prend ma main et m'entraîne dans la chambre, il fait coulisser une porte, que je n'avais même pas vu et allume une lumière. La salle de bain est énorme, toute blanche et en marbre, c'est magnifique. La démarcation entre le sol foncé et les murs blancs la rend incroyablement belle. Elle brille, toute propre. A ma droite une vaste en marbre et au mur un grand miroir entouré de petites lumières. A ma gauche, une grande baignoire blanche et à côté, dans un renfoncement une douche à l'italienne.

– Les serviettes sont ici. Il ouvre un placard sous la vasque et sors une serviette blanche, toute douce. Je vais te ramener un haut. Le savon est directement dans la douche. Je l'écoute silencieusement et pose mes affaires sur la petite commode. Il y a aussi sur celle-ci, des produits d'homme.

Je me déshabille, m'attache les cheveux et entre dans la douche. Cette salle de bain est si grande, je me sens vraiment toute petite dedans, je peux à peine attraper le pommeau de douche. Lorsque je ressors, je m'enroule dans la grande serviette et me lave les dents avec une brosse à dent qu'il m'a donné avant de sortir. Il toque à la porte.

– Il fait pas chaud dehors, je t'ai posé un de mes sweats sur le lit.
– Merci. J'entends ses pas s'éloigner, il a quitté la chambre.

J'enfile mon pantalon, mon soutien-gorge, étend la serviette sur le radiateur. Avant de sortir, je ne peux m'empêcher d'observer son parfum, l'attrape et le sens. Totalement ça... Cette odeur douce et masculine qui même rappelle l'homme qui dort à mes côtés.
Sur le lit est plié un sweat à capuche tout blanc. Je l'enfile et me regarde dans le grand miroir. Bon... clairement trop grand pour moi, pas étonnant, j'ai l'air d'un sac à patates, mais il est tout chaud et il sent bon la lessive. Je sors de la chambre, il n'y a aucun bruit. Je repasse par la salle de bain rapidement et attrape son parfum, et je parfume son sweat. Je veux garder ce sweat toute ma vie. Je pose mon nez dedans, ça sent si bon... J'ai l'impression d'avoir Meek à mes côtés, qui me tient dans ses bras.

sous empriseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant