Sulivan Gwed,
15h29.Quelle pute ! Je claque la porte de chez moi comme un demeuré. Elle va le payer !
- Sulivan ? demande Rowan dans le salon.
Qu'est-ce qu'elle fait là ? Elle est pas censée être au travail ? Bref, de toute façon je ne suis pas d'humeur à parler. Et surtout pas à elle.
- Quoi ? répondis-je sèchement.
- J'ai pris une journée pour rester avec toi, vu que t'avais l'air mal. Tu veux bien venir ?Je souffle intérieurement et desserre les poings. Ça va aller. J'enlève d'abord mes chaussures parce qu'elle supporte pas qu'on marche dans l'appart avec des pompes. Ma copine. Je me dirige vers le salon et la retrouve allongée sur le canapé avec des dessous sexy de couleur noire, se mariant parfaitement avec son teint pâle et ses cheveux roux.
- C'est pour moi ça ? demandai-je en affichant un sourire.
Elle se lève et vient se mettre devant moi en esquissant un sourire timide. Putain c'est tout ce dont j'ai besoin. Du sexe violent. Ça va me défouler.
Je porte ma copine en sac à patate sur mon épaule sans même qu'elle le voit venir. Je me dirige vers notre chambre, ouvre la porte et la jette sur le lit d'une manière un peu trop brusque. Je vis sur son visage que ça l'a choqué mais elle fait comme ci de rien n'était. J'enlève ma veste, mon jean, mes chaussettes, absolument tout.
Stéphane est au garde à vous. J'avais peur qu'il soit tombé malade à force de ne plus bander sur ma copine. Mais là je suis dur juste parce que je suis dans un état d'euphorie et que j'ai besoin de me vider les couilles. Donc encore une fois, Rowan ne me fait pas bander.
- À quatre pattes, ordonnai-je.
Elle m'obéit sagement, et se cambre même pour faire ressortir ses fesses. Bordel. Je viens me positionner derrière elle en collant mon engin à son entrée couvert de sa culotte en dentelle.
Je m'attarde un peu sur sa jolie paire de fesses. Aubrey en a plus. Ta gueule ! Je maudis la voix dans ma tête. Hors de question que je fasse l'amour à ma copine, enfin plutôt baiser, en pensant à mon ex. C'est pas dans ma nature.
Je presse ses fesses avec mes mains avant de leurs asséner deux fessés laissant deux marques rouges bien distinctes. Elle se cambre sous mes fessés ce qui a la don de m'exciter encore plus. Ou de me foutre en rogne.
Moi qui n'aime pas manquer l'étape des préliminaires, je vais faire abstraction aujourd'hui. Je ressens vraiment le besoin de me vider. J'aime les préliminaires parce que j'adore voir Rowan hors de contrôle. Comme Aubrey, mon paradis était de la voir incontrôlable. C'était un magique.
Je viens vraiment de parler de Rowan pour ensuite la comparer à Aubrey ? Bordel Sulivan tu deviens fou. Baise ta copine et ferme là.
Je déplace un peu le tissu de sa culotte pour laisser place à son entrée pas assez mouillée à mon goût. Je viens coller ma langue et sa réaction se fait instantanément, elle se cambre en lâchant un gémissement. J'ai toujours été très doué pour les cunnilingus.
Une fois que ma langue s'est bien occupée de son entrée. Je plaça Stéphane devant celle-ci. Si mon entrejambe pouvait parler je jure qu'il me dirait de la prendre comme un fou furieux. Mais Rowan n'est pas vraiment sexe hard malheureusement. Elle aime le soft. Avec Aubrey c'était les deux, ça dépendait de nos humeurs. Quand on se disputait, on pouvait être sûr qu'elle allait prendre cher. Quand on était d'humeur à se faire des câlins, c'était l'amour.