Il m'a fait croire en quelque chose qui n'existait pas, il m'a fait aimer quelqu'un qui ne m'aimait pas, il m'a fait souffrir alors qu'il m'avait fait la promesse que ça n'arriverait jamais.
Il m'avait promis de ne jamais me faire pleurer, de toujou...
Chapitre assez spécial car ce que j'ai écris ne sont pas des sujets si facile à traiter. J'attends donc pas mal d'avis sur tout ça, bonne lecture ! ❤️
Amaya Hernandez 13 septembre 2017 (toujours le même soir sauf que c'est après minuit) Paris, à l'hôpital
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
02 : 21
J'entre dans le hall de l'hôpital accompagnée de Paul, Neymar, Lucas et Kylian. Je m'inquiète tellement pour Antoine que je ne tiens plus en place, s'il lui arrive quoi que ce soit je m'en remettrais sûrement jamais, parce que oui je suis attachée à lui malgré tout ce que l'on peut traverser. C'est limite si je cours jusqu'à l'accueil où se tient une vielle dame à moitié endormie.
- Bonsoir, je peux savoir où se trouve la chambre d'Antoine Griezmann ?! Lui demandais-je toujours aussi paniquée.
- Vous êtes de la famille ? Me souffle la femme entre deux bâillements.
- Non.
- Dans ce cas là, vous ne pouvez pas le voir, au revoir.
- C'est sa femme ! S'exclame Paul en se pointant à côté de moi.
Qu'est ce qu'il raconte comme connerie lui encore ?
La dame me regarde en fronçant les sourcils puis se lève.
- Je vais voir ce que je peux faire, dit elle avant de quitter son bureau.
Elle se dirige vers un couloir où un médecin y était déjà. Elle parle un peu avec lui et les deux reviennent vers nous. La vieille dame reprend son poste tandis que le médecin vient me serrer la main.
- Madame Griezmann ? Me questionne t-il.
- Hum, oui, c'est moi, je réponds à moitié sur de moi.
- Votre mari n'est pas en état de recevoir m-
Je le coupe : - J'ai vraiment besoin de le voir, c'est hors de question que je reste plantée là à attendre ! Lui hurlais je dessus.
- Madame je comprends mais... il souffle. Bon je vous laisse cinq minutes avec lui puis je vous expliquerai ce qu'il a, à vous et vos amis.
Je le remercie puis il m'indique le numéro de la chambre. Je cours jusqu'à l'ascenseur. J'appuie à plusieurs reprises sur le bouton qui est sensé faire arriver la cabine mais rien. Je tape dedans avec mon pied sentant des larmes regroupant plusieurs émotions monter en moi.
