Chapitre 33: Heure du décès ? 17h57.

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33- Heure du décès ? 17h57.

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Amaya Hernandez
28 octobre 2017
Madrid, Espagne

Nous arrivons dans un restaurant italien plutôt simple pour cette fois et j'en suis vraiment contente

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Nous arrivons dans un restaurant italien plutôt simple pour cette fois et j'en suis vraiment contente. Aller dans un resto type celui où il m'avait emmené la dernière fois m'aurais moins ravi. Je suis contente que l'on puisse partager un moment banale de temps en temps.

En attendant nos plats, nous parlons de nos vies respectives. Lui me raconte son quotidien avec l'Atletico et moi, je lui parle de ma colocation avec Kylian. Je le rassure en lui répétant à nouveau que je ne ressens absolument rien pour Kylian.

Même si hier j'avais qu'une envie c'était de lui sauter au cou.

D'ailleurs quand j'y repense, je ne sais vraiment pas ce qu'il s'est passé dans ma tête. Si l'on s'était embrassés, je l'aurais beaucoup regretté.

Nos deux plats de pâtes arrivent. Antoine me souhaite un bon appétit que je lui rends puis nous commençons à manger. C'est vraiment délicieux !

- Antoine ? Je voulais te demander si tu ne regrettais pas Erika par moment. J'ai l'impression de pas pouvoir t'offrir tout ce qu'elle t'offrait, tout l'amour qu'elle te portait chaque jour.

- Tu sais, je ne veux absolument pas que tu lui ressembles. Tu es vraiment différente d'elle, et c'est pour cela que je t'aime d'ailleurs. Erika a été une très belle période de ma vie, mais c'est du passé.

J'acquiesce d'un mouvement de tête.

- Alors qu'est ce que tu penses du restaurant ? J'emmenais très souvent Erika ici, c'était n-, il marque une pause et me regarde en déglutissant, merde, je-

Je le coupe :
- Ah, tu m'as emmené au même endroit où tu as dû emmener toutes tes ex parce que je suis si « différente » ?! Relançais je énervée qu'il me parle à nouveau de son ex.

- Je suis désolé, je sais pas pourquoi j'ai dis ça, c'était vraiment nul...

- Oui c'était nul Antoine ! Dis je en essayant de me calmer.

Ça ne sert à rien de se disputer maintenant, ça n'en vaut vraiment pas la peine...

Il mord sa lèvre puis avec sa main caresse ma tempe. Puis il replace une de mes mèches rebelles derrière mon oreille. Je fronce les sourcils lorsque je le vois devenir tout blanc.

Laisse moi t'aimer - Antoine Griezmann Où les histoires vivent. Découvrez maintenant