Chapitre 6 - Je suis à tes coté. Tout ira mieux.-

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                                          « Niall : Je suis à tes coté. Tout ira mieux. »

Moi : Niall ??

Il enleva ses mains, qui recouvraient mes yeux, tout en douceur. Puis Une mains frôla mon cou. Il dégageait quelques cheveux châtain, recouvrant ma nuque. Je sentis son souffle se rapprocher de mon cou, faisant tressaillir un profond désir.  L’odeur délicieuse de son parfum atteignit mes narines qui s’éveillèrent. Il me susurra ce seul mot au creux de mon oreille droite , qui me procurai un profond bonheur .

Niall : Gagné.

A peine ces mots prononcés, je me retournais pour faire lui faire face. Mon visage arborait un des plus réjouissant sourire de ma vie. Mes yeux s’installèrent dans les pupilles profondes du garçon qui se tenait devant moi. Nous nous regardions, nos visages remplit de plaisir par la présence l’un de l’autre. 

 Un sentiment d’allégresse me submergea. Je ne puis me retenir de sauter dans ses bras. Je m’accrochai subitement à son cou. Ce sentiment incontrôlable le surpris la première seconde mais ensuite, il amena ses mains se croisant dans mon dos.

Moi : Je pensais que tu m’avais abandonné comme les autres … 

Niall : Je ne t’abandonnerais jamais.

Moi : Tu m’as fait vraiment peur ! Coquin !

Nous séparâmes nos deux corps, collés l’un contre l’autre il y a quelques secondes.  Niall m’ouvrit la portière de sa voiture.

Moi : Quel gentleman ! (en rigolant)

Niall : Une telle dame me faisant honneur de la suivre, doit savoir être satisfaite !

Je lui mis un coup de coude amical, contre son torse, tout en rigolant avec lui.

Moi : Mais, tu es musclé !! Ça m’étonne (rigolant ironiquement) .

Niall s’approcha de moi, les yeux plein de malice. Il m’emprisonna contre son corps tremblant à l’approche de ma présence.

Je m’attendais à une vengeance personnelle.

Il avança ses deux mains vers mes cheveux bien coiffés et les secoua à forte puissance afin de les décoiffer.

Moi : Niall arrête ça tout de suite !!

Je me débattais contre son torse musclé, amusée par la situation. Je n’avais jamais autant rigolé. Et c’était bien la première fois de ma vie que je ressentais ce sentiment d’appartenir, ne serais ce qu’un moment à quelqu’un.

Moi : C’est pour toi que je me suis fait belle (disais-je avec des yeux doux).

Je relevai ma tête,  enfui contre son torse, vers le visage attendrissant de Niall et lui fit des yeux de chat.

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