Chapitre 2 -Un jour tu découvriras ma vraie personnalité-

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                                       «Malheureusement un jour tu découvriras ma vraie personnalité. » 

Tous ces évènements, qui m’arrivaient  sans réponse me perturbaient. Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi quelqu’un m’a espionné à mon arrivé ? Est-ce à cause d’où je viens ?

Bridget : Au faite, c’est quoi ton prénom ?

Un sentiment d’infériorité s’emparai de moi  fasse à cette personne qui se dressait devant ma personne. Elle arborait un magnifique sourire laissant apparaitre deux petites fossettes. Elle était si …. Parfaite contrairement à moi. Je ne savais que faire devant elle.

Dans mon passé je n’avais pas rencontré grand monde et l’approche de cette futur nouvelle amie me m’était mal à l’aise.

En réponse à sa question, je bafouillai quelques mots assez maladroitement en essayant de me reprendre à plusieurs fois.

Moi : Cooper. Mon prénom est Cooper et je viens d’avoir 17 ans.

Elle vit avec une vitesse folle que je n’étais pas à l’aise. Et je compris qu’elle essayait par tous les moyens de me rendre moins timide.

Bridget : Ton nom est trop stylé !!! Moi j’ai 18 ans, 1 ans de plus !

Moi : D’accord ….

J’inspectais la pièce afin d’esquiver ses yeux émeraude qui me rendaient mal à l’aise.

Bridget : Bon allez ,  tu m’aides ?! Nous avons du pain sur la planche !!! Il y a plus de 20 cartons à déballer et à ranger !!

Ne sachant que dire,  j’hochai la tête en signe de réponse.

Bridget : Et toi ? Combien as-tu de carton ?

L’incompréhension me pris.

Bridget : Tu déménages je suppose, donc,  tu as amené combien de carton avec toi ?

Moi : Euh … C’est à dire que …. Je … Non je n’ai rien amené.

Bridget : Bon ce n’est pas grave on se débrouillera avec mes affaires. Et ce soir sa te dit on se fait un ciné ???

Moi : Euh … Oui …. .

Bridget  : Alors on commence ?! 

Au fur et à mesure que je déballais ses cartons, j’apprenais à la connaître. Chaque carton était une petite partie de sa vie et je me rendais compte que j’avais raté une énorme partie de la mienne. Elle avait beaucoup de photo, moi aucune. Chaque objet représentait quelque chose pour elle et je compris le sens du mot : Souvenir.

             ------- 19h00 -----

Je me sentais de plus en plus à mon aise après avoir passé quelques heures avec Bridget même si il me faudrait du temps, avant qu’elle soit une vraie amie.

Moi : Je déballe le dernier carton et c’est fini. 

Bridget : Euh non att euh … Ne l’ouvres pas je vais le faire !!

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