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Chapitre 1 -Ta vie ne fait que commencer-

                            « A toi de te débrouiller seul maintenant. Ta vie ne fait que commencer  »

  

J’ai appris que le  voyage pouvait durer entre 10 min et 5 heures. Cela dépend de ma destination. D’ailleurs je vais m’informer sur celle-ci.

Je sortis de mon sac une carte du monde. J’eu un peu de mal à la déplier mais avec un peu de patience je fus vainqueur. En la dépliant une petite feuille tomba. Je pus y lire : Australie. Mon visage s’éclaira laissant apparaitre un joyeux sourire. Je commençais enfin à gouter au bonheur. J’avais tant espérer pouvoir intégré ce pays. Le soleil domine l'île les trois quarts l’année. Même en période de pluie, l'air chaud est présent. Il y a aussi une diversité d'animaux incroyable et le paysage est magnifique avec ses plages ensoleillé et sa douce verdure … 

Je lus sur la carte que ma destination était à 4 heures d’Uzus. J’étais déjà exténuée après quelque minute de voyage et je devais me reposer. Je me recroquevillai sur moi-même et m’endormis.

                                   ----- Deux Heure plus tard -----

Je me réveillai en sursaut. La capsule bougeait inlassablement. Je m’y étais  d’ailleurs, déjà cognée la tête plusieurs fois ! Saleté d’appareil de merde !!!

Enervée contre l’appareil je ne faisais que lui donner des coups de coude et de pied, même si je savais que cela ne servait à rien.

Mon corps était secoué de plus en plus par les vas et viens de la capsule : Un coup à droite, un coup à gauche et la vitesse augmentait rapidement.

Soudain, les lumières s’éteignirent. La capsule s’arrêta brusquement.

Je me demandai si j’allai être coincé ici, pour l’éternité.

Mon pou s’accélérait, mes mains tremblaient, je paniquais littéralement. Ma tête me faisait mal.

Je la touchai et sentis une substance légèrement collante. Je la portai vers mon nez et l’a sentis. Mes yeux s’ouvrirent en grand. Mon pou s’arrêta un instant. Du sang coulait de ma tête. Il me fallait de l’aide.

Moi : Y A QUELQU’UN ???

A ce moment-là je sentis comme de l’air dans la capsule … Mes pieds se décollèrent du sol, le plafond de l’appareil se décrocha et j’eu juste le temps de prendre mon sac avant d’être aspirée dans les galeries de la Terre. Je fermai les yeux et attendis l’arrêt de se supplice.

Moi : STOOOOP arrêtez !!! Je vous en supplie !

Pendant plus d’une vingtaine de minute j'étais secouée, agitée, ballottée par la force de l’air, si violent. Je ne comprenais plus rien à ce qu’il m’arrivait.

Prise de panique par la situation je m’évanouis me laissant tirer par la force de ce vent inconnu.

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…: Bonjours ma jolie  ??!! Ça va ?!!

J’ouvrai petit à petit les yeux. J’aperçus une vieille femme,  comme je n’en avais jamais vu au paravent. Elle était assez rondelette et petite mais son visage souriant me rassurait. Je levai ma tête afin de regarder où j'étais tombée.