Chapitre 7

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Note de l'auteur: Comme annoncé à la fin du chapitre précédent, ce chapitre contient un lemon. Je vous indique dans le texte où il commence et où il finit pour que vous puissiez le passer si vous n'êtes pas à l'aise, sans rien manquer de l'histoire.


Bianca trouvait bizarre de retrouver l'appartement aussi peu changé après tous ces mois d'absence, mais elle ne s'y attarda pas, quand elle sentit les mains de Maxence, qui se tenait derrière elle, se poser sur ses hanches.

« Bienvenue chez toi, murmura-t-il à son oreille.

- Chez nous, tu veux dire... »

Il la fit pivoter pour l'embrasser presque sauvagement. Elle le tira davantage vers elle, une main sur sa nuque et l'autre empoignant ses cheveux sans ménagement. À l'aveuglette, en tâtonnant un peu, ils trouvèrent le lit où ils se laissèrent tomber dans une chute contrôlée.

(DÉBUT DU LEMON)

Tous les deux étaient tellement fébriles que leurs mouvements se faisaient saccadés et tremblants. C'était à la fois comme s'ils se découvraient pour la toute première fois et comme si c'était leur dernière étreinte.

« Bianca... souffla Maxence durant l'un des rares moments où leurs lèvres n'étaient pas jointes. Tu peux pas savoir le nombre de fois où j'ai rêvé...

- Je sais... » répondit-elle avant de s'emparer de nouveau de sa bouche.

Il commença à lui retirer lentement ses vêtements, de peur de la brusquer.

« Maxence, intervint-elle. C'est pas possible, comme ça. »

Elle était beaucoup trop impatiente de sentir sa peau contre la sienne. Elle tira sur le pull de Maxence pour ensuite l'envoyer au sol, près du sien qui y avait atterrit quelques secondes plus tôt.

Soudain plus assuré, Maxence attrapa les deux mains de Bianca pour lui plaquer au dessus de la tête, puis il entreprit de l'embrasser dans le cou, descendant tranquillement jusqu'à sa poitrine, satisfait d'entendre sa respiration se transformer petit à petit en râles.

Elle gémit de frustration quand elle se rendit compte qu'il ne lui enlevait pas son soutien-gorge. Gémissement qui en devint un de plaisir quand il plaqua sa bouche sur son ventre, tout près de son jean. Elle avait maintenant les mains libérées et en profita pour lui passer dans les cheveux, ce qui eut pour effet qu'il se redressa brusquement pour les replacer au dessus de sa tête.

« Tiens toi tranquille, mon petit nez, c'est moi qui s'occupe de toi... »

Elle acquiesça et se mit à serrer l'oreiller pour tenter de se contrôler. Il retourna embrasser son ventre et défit l'attache de son jean. Bianca, plus impatiente que jamais, commençait à se tortiller sous ses caresses.

« Qu'est-ce que je viens de te dire? » marmonna Maxence, légèrement amusé.

Il plaqua ses mains sur ses hanches pour contrôler ses mouvements et, quand il fut certain qu'elle ne bougerait plus, il fit glisser son jean le long de ses jambes sans ménagement. Lui aussi commençait à s'impatienter. Bianca se retrouvait alors à sa merci, en sous-vêtements.

Il prit le temps de l'observer un moment, comme s'il voulait graver dans sa mémoire chaque parcelle de ce corps qu'il s'apprêtait à faire sien. Puis, aussi brusquement qu'il s'était arrêté, il porta la main à la petite culotte de Bianca pour la caresser, ce qui lui arracha un petit cri de surprise. La dentelle sous ses doigts était déjà bien humide, il ne tarda donc pas à arracher le dernier vêtement qui le séparait de son intimité.

Une amitié brisée (Tome 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant