Chapitre 18

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Puis j'entendis le cliquetis régulier d'une personne qui marchait avec des talons. Je fus arracher des bras d'Ermes par une femme qui m'observait sous toute les coutures. Elle avait des cheveux châtain et de magnifiques yeux noisette qui m'analysaient jusqu'au moindre petit détail. Elle finit par me serrer dans ses bras.

-Maman doucement elle est fragile ! S'exclama Ermes.

-Mais tu ne comprends pas je suis tellement heureuse d'enfin pouvoir rencontre ma future belle-fille.

-Et moi je voudrais qu'elle reste vivante pour que je puisse la rencontrer aussi. Grogna une voix grave derrière la mère d'Ermes.

Je vis apparaître un homme tout aussi élégant qu'Ermes qui prit par les épaules sa femme pour la reculé un peu avant de me sourire.

-Excusez le comportement de ma femme mais c'est la première fois qu'un de nos fils nous emmène une demoiselle chez nous. Dit l'homme avec un grand sourire. Avec tout ça nous ne nous sommes même pas présenter.

Il me présenta sa main, avec un grand sourire, que je pris sans hésitation.

-Je suis Lorenzo Gambino le père d'Ermes mais ça vous devez vous en doutez. Et je vous présente ma femme Carla. Dit-il en faisant voir la femme qui m'avait sauté dessus.

-Je suis enchanté de faire votre connaissance. Je suis Rebecca Lucchese. Dis-je avec un grand sourire.

Mais mon sourire s'effaça vite quand je vis les yeux de mon futur beau-père s'écarquillés.

-Mon dieu ! Vous êtes celle qui à prit une partie du territoire des Mexicains ? Demanda-t-il.

Je cherchais à tâtons la main d'Ermes car la franchement je ne savais pas quoi répondre. Personne n'était censé être au courant que c'était moi qui gérait la famille Lucchese en Amérique. La main d'Ermes emprisonna la mienne avant de la serrer. Il me colla contre lui.

-Et si on rentrait avant de commencer à parler de sujet comme celui-ci ? Demanda Ermes.

-Oui ! Bien sûr ! S'exclama Carla en tirant son mari par la main.

Ermes se pencha vers mon oreille.

-Respire ma chérie. Il ne savait juste pas que c'était une demoiselle aussi jolie que toi qui était le parrain de la famille Lucchese.

-Tu es sûr ? Demandais-je précipitamment.

-J'en suis sûr ! Il t'admire même.

-Pardon ? Dis-je en le regardant dans les yeux.

-Il se pose une question depuis que tu as pris possession d'une partie du territoire.

-Laquelle ?

-Comment as-tu fait pour qu'il est aussi peu de sang qui coule ? Me demanda-t-il en me regardant droit dans les yeux.

-Ah... Soufflais-je. Vous allez vous moquez de moi si vous apprenez comme ça c'est réellement passé.

-Pourquoi tu dis ça ?

-Est-ce que tu te rappelles à quoi on a joué cette nuit ?

-Au strip poker... Dit-il en réfléchissant avant que son regard ne devient sombre. Ne me dit pas que... Commença-t-il.

-Bon vous venez ! S'exclama sa mère qui venait d'apparaître à la porte.

-Oui maman on arrive. Dit-il en la regardant avant de me regarder de nouveau.

-Nous avons jouer aux cartes. Lui dis-je.

-Pas de strip poker ?

-Non. Murmurais-je en me mettant sur la pointe des pieds tout en passant mes bras autour de son cou pour me permettre d'être au niveau de son oreille. Il n'y a que toi qui a le droit de me voir nue. Lui susurrais-je.

Je l'entendis grogner alors que ses mains partirent empoignés fermement mes fesses. Puis ses lèvres dévorent les miennes avec avidité ce qui me fis lâcher un petit gémissement.

-Tu es à moi maintenant ! S'exclama-t-il.

-Oui. Dis-je avec un grand sourire.


Secret de familleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant