Chapitre 23

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-Car maintenant Mario t'intéresse plus que moi ? Demanda-t-il.

-Je n'ai jamais dit ça. Murmurais-je.

Il passa sa jambe entre les miennes.

-Et cette robe qui m'emmerde. Grogna-t-il.

-Mais tu peux me l'enlever si tu veux. Dis-je en même temps que les portes de l'ascenseur s'ouvraient.

Il me souleva et me porta en monde princesse car je ne pouvais pas accrocher mes jambes à sa taille. Il ouvrit l'appart que Jose avait gentiment fermé à clé et nous fit monter à l'étage. On arriva dans ma chambre ou il me jeta sur le lit. Je rebondis un petit peu avant qu'Ermes ne passe au-dessus de moi et ne me plaque contre le matelas avec son poids même si il ne le mettait pas vraiment. Puis il dévora mes lèvres.

Je passa mes doigts dans ses cheveux tout en le tirant vers l'arrière ce qui le fit grogner. Ses lèvres commencèrent à descendre dans mon cou alors que ses mains défaisaient les boutons du collier qui retenaient ma robe. Puis il me l'enleva rapidement si bien que finis en sous-vêtements. Un grognement sortit de sa bouche.

-Pas de soutien-gorge en plus. Grogna-t-il.

-Avec cette robe ce n'est pas vraiment possible. Dis-je en passent au-dessus de lui.

Il me fit les gros yeux quand je fus au-dessus de lui. Je lui ôta sa veste et lui défis ses boutons avant d'enfin pouvoir lui enlever sa chemise. J'apposa mes lèvres sur les siennes pour retrouver sa langue. Pendant que mes doigts traçaient le contour de ses muscles. Puis avec un empressement que je ne me connaissais pas je lui détacha sa ceinture avant de m'attaquer à son pantalon. Je le fis descendre avec son aide avant de commencer à embrasser son torse tout en partant vers son sexe. J'embrassa la bosse qui était apparu dans son boxer noir qui moulait tellement bien ses fesses muscler alors qu'Ermes grognai encore plus. Il prit mes cheveux et me ramena jusqu'à son visage. Il embrassa ma bouche rageusement. Avant de nous faire tourner à nouveau pour qu'il me domine.

-Tu n'aimes pas être en-dessous ? Demandais-je malicieusement.

-Pas ce soir car je veux t'offrir une nuit parfaite. Me répondit-il d'une voix rauque qui me donna la chair de poule. Enfin si tu me le permet ?

J'agrippa son cou pour le plaquer contre moi.

-Je suis à toi. Lui murmurais-je.

-Comme je suis à toi.

Il pris de nouveau possession de mes lèvres avant de descendre pour s'occuper de ma poitrine. Avec l'une de ses mains, il prit mon sein droit qu'il commença à malaxer d'une façon douce. Puis sa main fut remplacer par sa bouche avec laquelle il se mit à titiller mon téton avant de le suçoter, de l'aspirer et de le faire tourner avec sa langue ce qui me faisait lâcher des gémissements de plaisir.

Puis il descendit sur mon ventre qui se contractait sous ses baisers alors que je commençais à mouiller. Il releva la tête en me regardant. Ses yeux était devenu noir de désir.

-Ne m'en veux pas trop ma chérie. Dit-il.

J'allais lui demander pourquoi quand il arracha mon string. Un petit cri aigue sortit de ma bouche à cause de la surprise ce qui le fit sourire de plus belle. Je sentis sa langue s'introduire entre mes grandes lèvres tandis que ses doigts commençaient à jouer avec mon clitoris. Mes mains agrippèrent les draps alors que je lâchais de longs gémissements. Mon ventre était en train de faire un tour dans les montagnes russes et le reste de mon corps allait bientôt me lâcher. Sauf qu'il s'arrêta j'émis une plainte de frustration ce qui fit agrandir le sourire de mon amant.

Il ôta rapidement son boxer qu'il jeta dans la pièce je ne sais trop où. Avant de prendre sa veste et après avoir récupérer un emballage son vêtement subit le même sort que son caleçon. Il ouvrit le papier argent qui retenait le codon. Il l'effila rapidement et avec précision sur son membre gonfler par le désir. Puis il se plaça entre mes jambes. Il me regarda dans les yeux. J'hoche la tête dans un signe positif pour lui donner mon accord.

Il positionna son sexe à l'entrée de mon intimité. Je sentis son gland frotté contre mon entrée. Puis doucement en me regardant dans les yeux il s'introduisit en moi. Je sentis un léger désagrément mais rien de si terrible. Il se coucha sur moi tout en me fixant toujours.

-Tu es très étroite princesse. Murmura-t-il. Et j'aime ça.

Il m'embrassa en attendant que je m'habitue à son sexe proéminent. Puis doucement il commença à faire des va et viens. Voyant que je m'y habituais il accéléré un peu. Je mis mes mains autour de son cou et mes jambes encerclèrent sa taille.

-Plus vite. Lui soufflais-je.

Il se mit à sourire avant d'accélérer la cadence. Son gland heurtait le fond de mon vagin et j'adorais la sensation que ça me procurait. Je savais aussi qu'il était loin de tout donner, il faisait attention à moi. Mes ongles s'enfoncèrent dans la peau de son dos alors que je sentais une chaleur se répandre dans mon intimité.

-Ermes. Gémissais-je.

-Je viens aussi, bébé !

Il accéléra dans une dernière pousser qui me fit monte au septième ciels.

-Ermes ! Hurlais-je alors qu'il émit un grognements animal.

Puis toutes mes forces m'abandonnèrent et se dû être la même chose pour Ermes car il s'écroula sur moi.

-Mon Dieu tu es parfaite. Me souffla-t-il avant d'embrasser ma peau nue.

Dans un dernier effort il se retira de moi avec toute la délicatesse possible. Il m'embrassa une dernière fois avant de se lever.

-Ermes. L'appelais-je paniqué.


Secret de familleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant