Dans la peau de Amira.
7h30🕢
En me levant je m'étais immédiatement dirigé vers la salle de bain afin de faire ma toilette, puisqu'aujourd'hui je travaille.
Dites vous bien qu'il y'a Luciano qui veut que je dépend de lui, j'ai l'impression qu'il a oublié que je ne suis pas parti à l'école pour un rien et de plus Luciano n'a pas le meilleur travail qui puisse exister sur cette terre.
Il bicrave.
Je l'ai supplié plus d'une fois d'arrêter tout ça mais toujours il me sort "c'est pas facile de sortir dans ce genre de truc Amira",donc maintenant je n'insiste plus beaucoup mais j'ai quand même peur qu'un beau jour des policiers viennent toquer à ma porte afin de ramener Luciano avec eux.
[...]
Ma tenue.
J'étais en train de me servir du jus d'orange lorsque je sentis les bras de Luciano autour de ma taille avant de déposer un bisou dans mon cou, ce qu'il me fit automatiquement frissonné.
~ Luciano arrêt, je dois aller travailler.
Luciano ~ Tu n'as pas besoin de travailler je t'ai dis.
Je m'étais retourné face à lui.
~ Tu sais très bien que je déteste dépendre de quelqu'un.
Je m'étais une nouvelle fois retourné afin de boire mon jus d'orange.
Luciano ~ Je ne suis pas quelqu'un Amira, je suis ton mari !
Je déposa mon verre de jus dans le levier avant de me retourner une nouvelle fois face à Luciano.
~ Et même, je ne veux pas dépendre de toi et puis bicraver c'est haram Luciano !
Luciano ~...
~ Je veux juste que t'arrêt tout ça s'il te plait, je n'ai pas envie de te perdre.
Luciano ~ Tu ne me perdras pas ne t'en fais pas.
Il m'a fait un bisou sur le front avant de me sourire.
Luciano ~ Tu travailles à quelle heure aujourd'hui ?
~ À neuf heures.
Il a regardé sa montre.
Luciano ~ Bah on a le temps de faire des bébés.
Je l'avais frapper sur l'épaule droite avant de le pousser.
~ T'es gênant !
Il lâche un rire avant de dire ceci :
Luciano ~ Mais Amira on l'a fait qu'une fois et c'était il y'a deux semaines alors que nous sommes mariés depuis maintenant deux ans quand même !
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Amira - "Il n'y a que toi et seulement toi"
RomanceJ'y ai cru, et j'avoue que je n'aurais pas dû.