Because the drugs never work (frerard)

08

SALUUUUUT LES COPAINS JE SUIS DE RETOUR
je vous conseille d'aller relire le chapitre d'avant parce que j'ai pas posté de chapitre ici depuis août donc vous avez sûrement oublié... (moi même j'avais oublié ce qu'il se passait)
voilà allez salut et bonne lecture :)

-T'es un grand malade, dit Ryan en me rejoignant et en s'asseyant contre le mur.

-Non, dis-je en haussant les épaules, mon joint toujours glissé entre mes lèvres.

-Si, et me dis pas le contraire. Tu viens de lui foutre un poing dans la gueule parce qu'il t'a pris ton joint, dit-il en relevant la tête vers moi, les sourcils froncés.

-Je suis peut être un peu sanguin, peut être aussi un peu con, mais je suis pas malade. Mais merci de te soucier de ma santé Ryan.

-Très marrant ça Gerard, dit-il en haussant les sourcils avant de prendre une gorgée de sa bière.

-Je sais bien.

-Bon, sinon, ta nouvelle famille d'accueil ?

-Qu'est c'que ça peut te foutre, dis-je en ricanant.

-T'es vraiment un trou du cul, dit-il en se relevant.

-C'est bon pars pas, on rigole, dis-je en attrapant son bras. Il leva les yeux au ciel. Ça se passe pas mal. Un pote au mec que j'ai tabassé est dans le même foyer que moi. Oh, et j'ai retrouvé mon frère aussi.

-Quoi ? dit-il en fronçant les sourcils. Et tu le dit comme si c'était juste un détail ?

Je levai les yeux au ciel.

-C'est bon, ça va. C'est encore délicat.

-Tu m'étonnes.

-Et toi, avec Brendon ? lui demandai-je, un sourire en coin.

-Bah devine, dit-il en levant les sourcils.

-Rien ?

-Rien.

-Rah ouais, je pense pas que ça soit son truc, se prendre des bites dans le cul.

-Ta gueule putain, dit-il en soufflant.

-Non mais c'est vrai ?

-T'es vraiment un enculé.

-Bah justement pas, dis-je en haussant les épaules et en riant.

-On peut vraiment pas discuter avec toi, c'est quand que t'arrêtes d'être un connard ? dit-il d'un ton suggestif.

Je haussai les épaules, et il parti, en me montrant son majeur.

Je restai contre mon mur le temps de finir mon joint et rentrai quand je l'eus fini.

Je croisai le regard du gars que j'avais frappé, qui était en train de se faire poser de la glace contre la joue.

Il en avait bien besoin, de se faire soigner.

-Putain fais gaffe où tu vas !

Je tournai la tête et vis Bob.

-Oh Gerard, c'est toi, autant pour moi.

-Va aider ton pote, lui dis-je en pointant Frank sur le canapé un peu plus loin.

Il jeta un oeil derrière mon épaule et fronça les sourcils.

-Il s'est passé quoi ? demanda-t'il.

-C'est moi. Il m'avait cassé les couilles.

-T'es sérieux là ? me demanda-t'il en haussant les sourcils.

-Bah... dis-je en haussant les épaules.

-Bien joué mec, c'est quelque chose que j'ai souvent envie de faire, dit-il en posant sa main sur mon épaule.

Je ricanai.

-T'es pas scencé être son pote quand même ?

-Si si, mais il est tellement lourd parfois.