La promesse d'un avenir

Chapitre 1

Hello minna-san ! Me revoilà avec cette dernière partie de la saga Au-delà du temps ^^

Dans la partie précédente, nous avions laissé notre pauvre Kakashi devant les portes de Konoha, abattu par le départ de sa précieuse petite fleur de cerisier... 
Quatre longues années se sont écoulées depuis et l'adolescente est devenue une femme. Comment Kakashi parviendra-t-il à contenir ses sentiments devant elle, à présent que Sakura est devenue la copie conforme de la femme qu'il a profondément aimé dans cet autre temps, et dont il attend le retour désespérément ? Sera-t-il en mesure de contenir son amour pour elle, ou succombera-t-il aux élans passionnels qui l'assaillent malgré la menace du Chiharu Fûin ? Nul doute que l'avenir réserve des épreuves plus difficiles encore à surmonter pour le cœur du Ninja Copieur.  

Je vous laisse découvrir tout cela à travers les chapitres qui suivront ;)

(NDA : A cause des profonds bouleversements temporels qui sont survenus tout au long de la partie deux, la partie trois ne reprendra pas autant la trame du manga. Ne soyez pas surpris ! ^^)

A l'image de celles apparaissant au chapitre un de la première et deuxième partie, l'image ci-dessus a été créée par Neylhi ! Un grand et chaleureux merci à elle ! ^w^ 

Très bonne lecture ! :)

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Sa main douce effleurait la sienne, se liant amoureusement à ses doigts fins, retraçant avec légèreté ses contours. Sa bouche rose embrassa avec délice la pulpe de ses doigts, savourant avec lenteur le toucher qui s'opérait. Il pouvait sentir son souffle chaud au contact de sa peau, provoquant un long frisson jusqu'à son bas-ventre. Tout en le regardant intensément, ne rompant pas le contact visuel ardent qu'elle avait engagé, elle glissa la main, qu'elle lui avait prise, sur sa joue pale, son cou délicat, s'attardant sur sa clavicule, lui faisant effleurer sa chair blanche et désirable, descendant plus bas encore pour atteindre sa poitrine ronde et relevée qui ne demandait qu'à être touchée.
Son cœur battait à pleine vitesse, ses yeux onyx toujours ancrés dans les deux émeraudes qui le fixaient avec malice alors qu'il avait sa main posé sur l'un de ses seins. Il déglutit avec difficulté sous l'intensité du moment et la chaleur qui s'instaurait en lui, accentuant la sensation d'excitation qui augmentait de plus en plus. Elle esquissa un léger sourire en coin, ravie de l'effet qu'elle avait sur lui et se mordit la lèvre inférieure, son regard s'embrasant d'une lueur érotique.

Elle se pencha vers lui, conservant la main de l'argenté sur sa poitrine, et vint lui mordiller avec tendresse et sensualité son hélix, rougie, à l'image de ses joues, par l'envie qu'il ressentait de vouloir faire sienne cette personne qu'il aimait tant.

- Tu me désires n'est-ce pas... ? murmura-t-elle à son oreille, d'un ton dangereusement luxurieux.

Le Ninja Copieur ne répondit pas, ses yeux mi-clos, son souffle s'accélérant à mesure que la déesse aux yeux de jade raffermissait la poigne de sa main sur sa poitrine. Il était incapable de prononcer le moindre mot, ses pensées étant trop confuses et dirigées uniquement sur les sensations presque irréelles qu'il éprouvait en cet instant. Il ne la désirait pas... Non... Il l'aimait... Il l'aimait tellement que son cœur menaçait d'exploser à chaque fois que ses yeux de jade se posaient sur lui, brûlant sa peau au moindre regard intense qu'elle lui lançait.

Elle lâcha la main du shinobi avec douceur qui ne la retira pas de ce sein qu'il touchait avec envie, et approcha son visage. De ses doigts fins, elle retira avec lenteur le masque qui conservait caché le magnifique visage qui lui faisait face, embrassant chaque parcelle de sa peau qui apparaissait peu à peu. Elle s'empara finalement des lèvres mises à nue, savourant l'extrême chaleur qui les envahissait tous les deux. Le ninja au Sharingan pressa ses mains sur ce corps qu'il désirait tant, caressant avec une ardeur qu'il ne se connaissait pas la moindre courbe qui lui était offerte. Il embrassa avec plus de ferveur les lèvres rougies de la fleur de cerisier qui gémissait sous les caresses intimes qu'il lui procurait. Leur langue se lièrent et se mêlèrent avec fièvre, leur sang pulsant avec force dans leurs zones érogènes. Des perles de sueur vinrent mouiller leurs vêtements devenus plus lourds et encombrants. Avec empressement, le Ninja Copieur passa ses mains sous le haut fin de la fleur, se délectant du contact délicat de ses doigts sur sa peau blanche, s'approchant de son sous-vêtement, dernière barrière fibreuse qui le séparait de ses deux monts de chair.