« Rage. »
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allez archi voir, vous me méritez pas tshpattendez seulement la fin
de la partie, on va parler un peu😒Thaïs.
J'ouvre difficilement les yeux à cause de la lumière qui éclairait mon visage. J'étais fatiguée. Je voulais dormir.
J'allais refermer les yeux mais je me suis souvenue de ce qu'il s'était passée et je me suis redressée d'un coup sur mes fesses assez perdue.
J'étais dans une chambre assez grande et luxueuse. Je portais plus mes vêtements que j'avais mais juste une chemise blanche assez ample.
Je retire les draps de mes jambes et je me suis levée du lit pour aller à la porte qui semblait être la sortie mais j'ai réprimé un vertige assez fort.
Assez fort pour que je perde l'équilibre juste au moment où j'ai posé ma main sur la poignet.
- : Madame, vous allez bien ?
Je prends quelques instants pour me remettre de mes émotions et je me lève de nouveau pour sortir. J'ai du faire face à une femme assez jeune, vêtue d'une tenue de servante.
- : Bonjour.
- Vous êtes qui ?
- : Juanita. Je suis votre servante.
Je hausse un sourcil en tournant la tête vers la gauche pour y voir des escaliers au bout du long couloir.
- Il est où Téodor ?
- Juanita : Il est en pleine réunion, vous pouvez pas..
Je la contourne pour partir mais elle me prend par le poignet. Avec toute mon audace, je me suis arrachée d'elle et je suis partie d'un pas assez déterminée.
Je descends rapidement les escaliers et j'aurais pas eu à chercher longtemps avant de le trouver vu que j'ai directement atterri dans la pièce principale où il était avec plusieurs personnes. Hommes comme femmes.
- Téodor : Qu'est ce que tu fais Thaïs, remontes.
- Où tu m'as emmené ?
- Téodor : Bébé s'il te plaît, remontes.
- M'appelles pas comme ça.
Il souffle légèrement avant de se lever de sa place et venir vers moi. Sachant très bien que si il me touchait, j'allais me débattre, il m'a directement prise sur son épaule et il a remonté les escaliers.
Il retourne dans la chambre et me fout par terre avant de claquer furieusement la porte.
A l'instant où il s'est tourné vers moi, je lui ai mis non pas une gifle, mais une droite sortie du fond du coeur.
- Téodor : Je suppose que je l'ai mérité celle ci..
- Tu mérites encore pire.
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La Fratrie Nakins.
General FictionOn ne juge pas un livre à sa couverture. Chaque histoire mérite d'être lue. C'est pareil pour l'homme : l'habit ne fait pas le moine. Chacun son histoire.