« Hymchiaz et Liam. »
_____________________(celles qui font le ramadan,
vous pouvez lire, y a pas de X)Liam.
- Neïla : On peut savoir tu vas où comme ça ?
Je lève la tête pour les découvrir en train de me fixer. Je me sentais agressé par tous ses regards féminins.
- Je reviens, je vais régler un petit truc à la salle de sport. Ça va pas me prendre beaucoup de temps.
- Nathanaëlle : Je croyais que c'était fermé.
- Oui ça l'est mais c'est administratif là.
- Nathanaëlle : J'espère que tu me mens pas Liam.
Je secoue la tête de gauche à droite en croisant mes doigts derrière mon dos. Je leur fais un dernier sourire avant de vite partir après avoir pris les clefs d'une des voitures présentes.
***
Je coupe le moteur de la voiture avec un petit souffle avant de me prendre mon portable et descendre. Le parking était vide comme à son habitude puisqu'il était abandonné. C'est pour ça qu'on l'aimait bien.
🗨 Amore❤ :
Dis moi juste où t'es au
cas où ça se passe mal🗨 Moi :
Ça va bien se passer- Hymchiaz : Tu es venu.. T'en as des grosses.
Je hausse innocemment les épaules alors qu'il arrive face à moi. Il avait pris un sacré coup de vieux.
Quand on est mauvais, on vieillit mal hein.
- Hymchiaz : J'ai appris ton petit séjour de deux jours en prison. Ça va, ça a été ?
- Comme à la maison. J'ai même nettoyé ma cellule pour quand tu vas y aller, comme ça tu pourras te mettre bien à l'aise.
Il perd son petit sourire narquois.
- Pourquoi tu m'as fait venir ?
- Hymchiaz : On a de petites choses à régler tous les deux. Il se recule. Tu vois, je m'en fous de passer pour un lâche à tes yeux. Je veux juste te battre une bonne fois pour toutes et te faire fermer ta gueule de fils à papa.
Je vois trois gars arriver derrière lui et j'ai assez vite compris ce qui me fait rire nerveusement.
- J'aurais peut être pas du nettoyer la cellule parce que tu la verras ni de près ni de loin : je vais te briser la nuque et tu verras plutôt l'intérieur d'un cercueil.
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La Fratrie Nakins.
General FictionOn ne juge pas un livre à sa couverture. Chaque histoire mérite d'être lue. C'est pareil pour l'homme : l'habit ne fait pas le moine. Chacun son histoire.