Chapitre 4

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Heyy ! J'ai eu un grand manque d'inspiration, et j'aime pas du tout ce chapitre. Y'a que moi ? Nan vraiment je sais pas ce qu'il se passe mais je trouve que c'est chelou. Fin bref, je vous laisse avec ça !

***

Valentin avait passé le reste de la journée à réfléchir à cette question. Cette question qu'on lui posais chaques jours sans entendre la réponse, et ce jour là, quelqu'un voulais savoir. Quelqu'un voulais savoir comment allait Valentin. Lui même ne c'était pas posé la question depuis des années.

Alors oui, vous allez me dire "mais les doutes qu'ils avait ? Je comprends rien. Il se posais forcément la question ?" Mais pas de panique. Je vais vous expliquez.

Quand Val avait des doutes, quand il se posait toutes ces questions, il ne pouvais pas penser que peut être les questions et le mal-être pouvais avoir un rapport. Il pensais pas que lui, Valentin, pouvais allez mal. Pas Valentin, il se vais d'être fort. Et il l'était.

Et oui, Valentin était en fait naïf. Comme si la vie était rose, remplie de joie, d'amour, et la, ce jour là, il c'était prit la vérité en pleine gueule. Et il avais en fin compris ce soir là, en rentrant chez lui, qu'il n'allait pas aussi bien que ce qu'il pouvais penser. Que les questions le rongait, le bousillais peu à peu. Que son sourire était faux.
C'était comme si la vie lui avait jeté un malheureux sort. Parce que après tout, Valentin allait bien jusque là. Du moins il le croyait. Mais en vérité il n'a jamais pu sourire longtemps. Il vivait dans le passé. Avec les choses qu'il n'avais jamais réussi à dire et qui le faisait tomber au plus bas. Il vivait avec ses regrets, son enfance, sa tristesse infini. Et pourtant, il n'avais pas une vie difficile, mais il faut croire c'est tombé sur lui.

A chaque fois qu'il essayait d'avancer, d'oublier, la réalité le rattrapai. Il ressentais un vide dans son cœur. Un manque de quelqu'un. Mais de qui ? De quoi ? C'était un sentiment si étrange, mélangé entre de la tristesse et de l'incompréhension. Le cœur lourd. Le passé le hantai, et il n'y arrivais à s'en détacher.

En fait, Valentin avais aussi peur de comment pouvais évoluer sa vie. A quoi ressemblerait son futur. Peur de comment il sera dans quelques années. Aussi perdu que maintenant ? Il ne l'esperais pas. Parce que là, tout de suite, il était plus que perdu. Il était même déboussolé, au beau milieu du désert. Sans rien ni personne qui pourrais lui porter de l'aide. Alors que si. Il y avait ses amis, mais putain qu'il se sentais seul. Seul dans son monde, notre Valentin. Seul dans sa bulle et personne ne pouvais entrer. Personne ne pouvais la percer, cette bulle Personne.

Et ses doutes ne faisait qu'empirer les choses . "Est-ce que, est-ce que?" tout son monde tournais autour des "est-ce que?" parce qu'il y avait que avec ça que Valentin vivait. Que avec des questions. Et il voulais savoir les réponses, c'est pour ça qu'il restais. Même si il n'avais aucune raison de partir. Mais bon, personne ne le retenait, mais en vérité Valentin avait beaucoup de monde autour de lui. Beaucoup de monde qui l'aimais pour ce qu'il était, le Valentin sensible et avec un grand cœur. Mais il ne se rendais pas compte. Il ne se rendais à vrai dire compte de rien.

Et plus les minutes, là assis dans son canapé, s'écoulèrent, plus il se sentait mal. C'était comme si la vie venais d'un coup de rompre avec lui. Comme s'il avait fait quelque chose de mal. Mais qu'avait-il fait de mal? qu'avait-il fait pour se retrouver là assis dans son canapé à moitié en train de pleurer après une journée remplie de joie ? Un sentiment particulié lui avait envahit le corps. Comme si il était en train de se rendre compte. Se rendre compte qu'il avait juste envie de s'effacer. De tomber. Valentin ? Et oui. On parle bien de Valentin. Lui même ne se reconnaissant plus.
Il était avant une fleur pleine de couleurs, de vie, maintenant il n'est qu'une pleure fannée. Triste et vide.

Seul devant la télé, sans vraiment la regarder il cherchais. Il cherchais au plus profond de sa tête ce qui n'allait pas. Parce que Valentin ne pouvais allez que bien habituellement, mais la ça n'allait pas.
Mais que cherchais t il vraiment ? A savoir pourquoi, pourquoi il avait mal au fond de son petit cœur ? De sa petite âme brisée par la vie ? Mais peut être que ça venais de lui. Peut être que ça ne valait pas le coup. Que c'était juste passagé. Peut être qu'il sombrais sans raison valable. Peut être que tout était écris. Peut être que le destin de Valentin était écris ?

Pour vous décrire la scène, Val était dans son salon, assis sur son canapé en tailleur dans le noir. Seulement la télé allumée, alors qu'il ne la regardais pas. Le regard vide vers le sol, les pensées qui allaient de droite à gauche dans sa tête. De temps en temps il la levait, la tête, en espérant trouver une lumière. La lumière qui le guidera vers le bonheur. La lumière qui réglera tout ses soucis. Qui lui donneras des réponses. Mais en vérité il n'y avait rien. Il y avait seulement la l'éblouissement de la télé qui lui faisait mal aux yeux.

Le temps défilait et Val était presque resté statique, réfléchissant. Son cœur battait de plus en plus vite et sa respiration devenait saccadée. Ses mains commençaient à tremblées. Ils les mettais sur la tête pour tenter de se calmer. Il se résonnait, pensait que ça allait calmer les choses. Valentin faisait une crise d'angoisse. Ca faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé. Et ça ne lui manquais pas.

Il remettais sa vie en question, son existante. Pourquoi on s'acharne à vivre en fait ? Mais val ne voulais pas mourir, non. Il voulais juste comprendre. Comprendre pourquoi il était comme ca. Pourquoi il prenais tout à cœur. Pourquoi il a fallu que Jordan pose cette question ? Pourquoi il a fallu qu'il se rende compte qu'il sombrais ?

La fameuse question ne quittais désormais plus la tête de Valentin. Il répondais même tout haut " Non Non." Et pleurais. Il pleurais de toute sa douleur. Toute sa vie. Il avait mal au fond de son cœur, tellement mal. Et plus les larmes coulaient plus ses joues le brûlait.

Au bout d'un moment et à force de trop pleurer, il s'endormit là. Là où il avait versé tant de larmes. La où le bonheur l'avait quitté.
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C'est si nul :/

It's Ok | VodkmixemOù les histoires vivent. Découvrez maintenant