Les mots de Valentin l'avait plus que bousculé ils les avait touché en plein cœur. Ces mots lui avaient limite fait perdre la tête. Valentin n'avait jamais été aussi sincère, aussi touchant, et ça réchauffais le cœur de Maxime. Ils étaient tout deux souriant, content de se retrouver. La porte souvrit interrompant l'étincelle qu'il y'a avait entre eux. D'un air déçu, Valentin tourna la tête vers la personne qui était rentré dans la pièce.
"Alors monsieur Palun, ça va mieux on dirait ? Vous savez, quand vous êtes rentré à l'hôpital votre ami nous à fait toute une scène. Il était extrêmement apeuré ! Vous nous avez tous fait peur vous savez !"
A cette révélation, Maxime mit directement sa main devant son visage en souriant. C'est vrai, c'est vrai qu'il avait eu peur. Tellement peur même. Perdre son meilleur ami ? Jamais. Jamais il le voudrait, et pourtant Val avait presque frôlé la mort. Le brun perdit vite son sourire quand il se rappela qu'il avait faillit perdre Valentin. Les questions dans sa tête se battaient, il voulais savoir ce qu'il c'était passé mais il sentais que ce n'était pas le bon moment.
" Ah, ouais. Ouais ça va un peu mieux !"
répliqua Valentin d'un air très peu convaincant"Vous allez pouvoir sortir soit aujourd'hui ou demain, à vous de voir quand est ce que vous aurez la force de sortir. En tout cas, vous avez reprit vos esprits et vous êtes apte à rentrer chez vous. Bonne journée."
Le jeune homme avec sa blouse blanche repartit aussi vite qu'il était venu.Une gêne c'était installé chez Maxime, déjà parce ce qu'avait dit l'infirmier ça montrais à Valentin qu'il tenait énormément à lui, mais d'autre part parce qu'il le regardais avec son regard pervers. L'air de dire "on dirait que je suis ta meuf" Mais maxime perdit vite tout gêne quand il croisais le regard du sportif, il se perdit dans ses yeux se laissant emporter.
Il aimais bien faire ça, ça lui faisait oublier ses problèmes. Il était d'une nature apaisante Valentin, sauf que son regard avait changé. Et c'est au bout de quelques minutes que Maxime s'en rendit compte. Dans son regard il y avait plus le garçon qui aimais la vie. La lueur d'espoir qu'il avait auparavant. Il n'y avait plus le rider tout plein de joie. C'était un regard brisé par la vie, par quelque chose qu'il ne pouvais pas distingué. Par quelque chose que Maxime ne savais pas.
Valentin brisa le silence qui régnait dans la pièce en une seule phrase.
"Bon, je vais faire mes affaires on y va dès qu'on est tout les deux prêt"
"Tout les deux prêt." Sa propre phrase résonnait dans sa tête. Il aimerait dire à Maxime : "c'est fini, on va y arriver. Prends ton temps, quand tu seras prêt." Mais c'était encore trop dur, il était encore trop fragile. Et puis à quoi ça servirait hein ? À rien. Il avait plus espoir. En à la vie. En l'amour. Il remettais tout en question, la vie servait à rien. A part à faire semblant et à cacher ses sentiments. Si c'est ça la vie, c'est bien triste. C'est très triste même. C'est triste de devoir vivre caché, mais à près tout c'est comme ça.
Il se leva péniblement, ses bras lui grattait mais les bandages qui étaient autour l'empêchait de se soulager. (Nda: esprit pervers bonsoir)
Il ranga ses affaires sous le regard attristé de son ami. Maxime ne savais pas quoi dire, à quel moment il allait pouvoir demander à Valentin ce qu'il c'était passé. Il voulais tellement savoir, mais d'un autre côté il avait peur de ce qu'il allait pouvoir lui dire. Et si c'était très grave ?"Max, on y va ?"
Il le sortit de ses pensés."Euh, ouais. Mais tu veux pas te reposer un peu encore ?"
Répliqua-t-il en regardant les bandages de son ami."Je me reposerait chez moi."
Valentin remonta aussitot ses manches."Vient à la maison alors, je veux être avec toi Val."
Valentin se retourna d'un seul coup, regardant Maxime et souriant de plus belle. C'est tout ce qu'il voulais. Passer du temps avec lui, sans ce prendre la tête, simplement. Mais d'un coup il fut prit d'un vertige. Ses pensés se brouillaient, il ne voyais plus clairement ce qui était devant lui. Sa respiration devenait irrégulière et il eu d'un coup un flash :
Le sang coulais sur le parquet de sa salle de bain, ses larmes se mélangeait avec le liquide rouge. Il criait son prénom à en perdre la voix. Il voulais simplement qu'il soit là, qu'il guérisse ses blessures. Et petit à petit sa tête tournait, il voyais flou. Il voyais noir.
Le souffle de Maxime sur son coup lui fit sortir de ses pensés. Instinctivement des larmes avait coulé sur les joues du sportif, par peur. Maxime, qui était derrière Val, l'enlaça pour le consoler, ne sachant pas pourquoi il pleurais. D'une voix calme et posé pour pas affoler Valentin il demanda :
"Qu'est ce qu'il se passe ?"
"J'ai, j'ai eu un flash. Je voyais le sang couler. Après j'ai vu tout noir. Maxime j'ai peur."
Il se retourna d'un coup puis prena Max dans ses bras. La peur partit aussitôt, les papillons arrivais par milliers dans son ventre. Maxime avait ce don de calmer Valentin quand il paniquai. Son odeur était douce, son parfum était fruité, il rêvais. Mais il fallait qu'il prenne sur lui, que Maxime ne se rende compte de rien.
La puissance de l'amour, c'était un sentiment si particulié et si dévastateur.
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Heyy, merci de commenter mes chapitres, ça me fait énormément plaisir ! Je voit aussi qu'il y en a quelques un qui suivent à chaques fois, alors merci ♡
Question :
-> Est ce que vous avez déjà fantasmez /aimez un de vos profs ?
( cette question n'a rien à voir avec le chapitre mais je voulais savoir.)
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It's Ok | Vodkmixem
FanfictionLa vie bousille le cœur. Les questions bousille la vie et fini par nous bousiller tout entier.