Chapitre 5

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Clapement hoyéhoyé ! (Réf ?).

(Encore désolé piur les fautes de frappe ou d'orthographe, mais bon ça reste lisible quand même.)

Ce chapitre n'est que de rebondissements, même moi je comprends pas grand chose mdrr. Mais bon, de base ça devait être bien triste mais en fait ça mélange la tristesse et... à toi de découvrir ?

***

Il avait passé la nuit là. Sur son canapé inconfortable, la où la vérité l'avait ramené à son présent. La où il eu d'un coup peur du futur. La où il avait pensé pendant des heures. Là où il avait perdu la tête.
Où il avait sombré.

Et oui, il était si perdu notre Valentin. Il était terriblement perdu. La vie le consummait lui, son âme, son corps, tout entier. Il se demandais bien comment il allait pouvoir sortir de tout ça. Comme percer cette fameuse bulle. Comment il allait faire pour reprendre goût à la vie, goût qu'il avait perdu depuis en fait bien longtemps. Il était paumé.  Tellement qu'il nous avait fait une crise d'angoisse. Et croyez moi, c'est vraiment pas marrant. Parce qu'il c'était endormi avec tout ses doutes, toute sa peur, toute sa douleur et toute sa tristesse. Et quand tu t'endors en pleurant, généralement tu te réveil pareil. Et Valentin c'était réveillé d'un coup, avec une larme qui roulais sur sa joue. Il ne comprenais pas ce qu'il se passait. Il essayait de reprendre ses esprits, de souvenir de pourquoi il avait pleuré en s'endorment. Pourquoi il était si triste en se réveillant ?

Et c'est là, d'un coup, dans un moment de panique qu'il se souvenu. Il se souvenu de sa nuit, de chaques passages qu'il avait pu voir, que son cerveau avait pu imaginé. Il se demandais encore une fois pourquoi, mais une énième fois il n'avais que le silence comme réponse. Que le vide de la pièce si sombre, sans aucune présence à ses côtés. Dans personne pour le consoler, pour le rassurer. Il avait les mains sur la tête essayant d'oublier toutes ces pensés. Ce rêve si bizarre, qu'il ne comprenais pas. Qu'il ne voulais pas comprendre. Qu'il refusais de comprendre. Mais rien n'y faisait. Rien ni personne. Et surtout pas lui. Surtout pas.

Valentin se réveillait grâce aux rayons du soleil qui venait lui toucher la peau. Il se levait doucement, avec un sourire aux lèvres. Une envie de passer une bonne journée. Tout allait bien pour Valentin en ce moment, tout était parfait. Mais il ressentais un sentiment particulié depuis quelques temps. Et ce sentiment le calmais. Bizarrement.

Il se rendais à la Redbox, sur le chemin il regardais son téléphone toujours souriant. Et oui il était content Valentin ! Il avait aucun problème. Il ne se souciait de rien, la vie lui faisait des cadeaux. Il vivait au jour le jour, en gardant quand même en tête que tout pouvais s'arrêter du jour au lendemain. Mais il n'y pensais pas. Bien trop préoccupé par son bonheur. Il était heureux, Valentin.

En arrivant à la Redbox, dans les couloirs il avait croisé Jordan, Théo, Valentin (néoxi) et ça le rendais encore plus heureux. Parce qu'il était bien à la Redbox, heureux de tout ce qu'il faisait. De ses projets. De sa vie en général, de son parcours. Il était content de son skatepark, de bonne humeur chaques jours.
Il allait passer une bonne journée encore une fois. En espérant.

Et la il vit Maxime. Il s'arrêta net. La bouche entrouverte. Son regard c'était plongé dans ses yeux marrons.
Le cœur qui battait à tout rompre, Valentin compris. Il compris enfin. Il compris enfin tout. C'était comme si un éclair venait de lui transpercer le cœur. Tout son monde s'écroulait. La vie lavais quitté, la, dans le couloir de la Redbox. Il perdit son sourire, ses yeux devenaient rouge. Rouge de dégoût. Un larme coula, et plusieurs s'en suivaient. Mais évidement Maxime n'avais rien vu. Et Valentin a juste eu le temps de réaliser qu'il partit, il fuyait.

Il était partit se réfugier dans son studio. Lui et ses pleure sourds. Que personne n'entendait. Que personne ne se préoccupait. Tout le monde s'en foutait de lui, ce disait-il en criant. Mais aucun son ne sortait. Il était pris au piège. Personne ne pouvais comprendre. Il était brisé par la vérité, son cœur en milles morceaux. Il s'en voulais profondément. Il avait une énorme haine, la haine qu'il ressentais tout au fond de lui. La haine de l'aimer lui.

Et c'est là que Valentin c'était réveillé. Apeuré, il mit du temps à comprendre où il était. Ses pensées étaient brouillées, cherchant une explication à tout cela.
Mais qu'est ce que cela voulais dire ?
Valentin ne voulais pas comprendre, non il ne voulais pas.
Mais en fin de compte la vérité était juste devant ses yeux. Son rêve avait bien un sens. Mais quand est ce qu'il allait le comprendre ? Quand est ce que Valentin comprendra ce que son cœur lui dit ? Quand est ce qu'il fera la relation avec tout ça ? Parce que c'était devant lui, depuis des mois. C'était juste évident.

Et Valentin savais. Il savais ce qui n'allait pas au fond de son petit coeur, de son petit coeur brisé. Il le savais depuis longtemps. Au fond il savais que c'était lui. Mais c'était si dur de se l'avouer, si dur ce se dire que sa douleur avait un rapport avec lui. Parce que pourtant il navais rien fait, rien dit. Rien fait de mal. C'était juste le fait de l'aimer chaques jours de sa putain de vie qui détruisait Valentin. Le voir sourire, le voir lui heureux, ça lui faisait plaisir. Mais lui chutait de jours en jours. Lui s'effondrais. Et plus les jours passaient, plus cela empirais. Plus il sombrais, et personne ne le voyais.

Car oui, c'était lui qui faisait battre son cœur un peu plus fort. C'était lui qui faisait chavirer le rider. Lui qui le faisait vivre malgré tout. C'était sa personne qui le mettait dans tout ces états. C'était en sa présence que Valentin perdait tout ses moyens.
Mais pourquoi c'était tombé sur lui ? Et évidement il a fallu que ce soit lui, celui qu'il voyais tout les jours. Il avait mal, tellement mal. Mal de savoir que tout cela menait à rien.

Il avait perdu espoir, en la vie, en l'amour. En un 'couple'. Ça fait quoi d'être en couple en fait ? Valentin ne savais même plus. Il ne savais même plus ce qu'était la sensation de se sentir aimé par la personne que l'on désir le plus au monde. Il avait tellement été pris pour un con qu'il avait arrêté d'y croire. Il savais qu'il n'allait pas y arriver, ou du moins qu'il allait mettre beaucoup de temps. Trop de temps à son goût.

Avec ce qu'il venais de réaliser, il pensais sincèrement que l'amour était dangereux. Que ça pouvais briser des vies, effacer des sourire, détruire des amitiés. Même si ce sentiment était censé être beau, pour Valentin cela faisait l'effet contraire. Peut être que en fait, l'amour c'est pas comme dans les films ? C'est pas tout rose tout beau, et ça se finit pas toujours bien ?
Et pour Val, rien ne commençais bien. Dans tout ce qu'il faisait.

Vous savez ce que c'est d'aimer sans pouvoir le dire ? D'être impuissant face à la situation, de se sentir si nul, si bas que les mots ne sortent pas ? De savoir que c'est perdu d'avance, que c'est impossible. C'est si fatiguant chaques jours, chaques putain de jours. Toute les heures tu y pense, des fois avec un sourire aux lèvres et d'autres avec des larmes parce que les mots ne sortent pas de ta bouche. Parce que là douleur de l'aimer est si profonde. Parce que c'est lui. Parce que tu voulais pas, mais que ton cœur en à décidé autrement.

Valentin, encore secoué par les événements, passa la journée à rien faire. À réfléchir, à réaliser, à comprendre. Et dès qu'il pensais à lui, son cœur battait tellement vite qu'il devait forcément se résoudre à la vérité. Parce que c'était lui. C'était lui qu'aimais Valentin.

Il aimais Maxime.
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Encore toi ? Si tu es là c'est que tu as lu tout le chapitre ? Alors merci. Merci à tous parce que on a dépassé les 90 vues et c'est énorme pour moi, qui écrit seule dans ma chambre à mes moments de déprime.
Merciii ♡♡

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