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Chapitre 8

Il était déboussolé, perdu au beau milieu de ses sentiments. Il avait prit cher Valentin, et le pire dans tout ça c'est que personne ne se doutais de rien. Personne ne se posais de question. Même pas maxime. Même pas celui qu'il aime de tout son cœur. Peut être même qu'il a jamais autant aimé, autant désiré ? Peut être même qu'il la toujours aimé ?

Il s'était réveillé grâce aux rayons du soleil qui l'agressait, avec son oreiller dans les mains, comme un doudou. Comme un enfant qui avait perdu quelque chose, Valentin avait perdu son cœur. Il avait perdu tout espoir, en une fraction de seconde. Quand il se réveilla il se demandais directement ce qu'il c'était passé, ce qui avait bien pu le mener jusqu'ici. Il se souvient seulement de Maxime comme d'habitude. Faut croire qu'il ne l'oubliera jamais. Il se souviens aussi la sensation de l'alcool qui lui était monté dans la tête. De ses pensés qui qui tournaient en boucles et en boucles. De son cœur qui battait à un rythme effréné et, le trou noir.

Il essayait tant bien que mal de se relever, mais à chaques fois qu'il tentait, il perdait vite le peu d'équilibre qu'il avait pu avoir. Il pensais à tout, à rien, à Maxime. Il pensais toujours à lui. Pourtant, Il a vais bu, énormément bu, il aurais du l'oublier ? Faut croire que Valentin était terriblement naïf. Il pensais vraiment qu'on pouvais oublier, effacer des sentiments comme ça.

Les sentiments c'est quelque chose dencré en nous, que l'on peut en aucun cas effacer. C'est quelque chose qui nous porte sur le cœur. Qui nous change parfois, mais c'est surtout un sentiment si particulié. Qui bouscule toute une vie. Qui bouscule les esprits.

Il était étourdi, et tentais encore de se relever. Il scrutait chaque endroit de la pièce se demandant où il était. Et c'est seulement quelques minutes plus tard qu'il se souvenu et se rendu compte que c'était chez lui. Il reprenait peu à peu ses esprits,il commençait à voir clair. Mais la seule chose qu'il voulait c'était son téléphone. Regarder ses messages. Peut être un message de Maxime qui allait tout faire changer. Il espérais un message de retour, que Maxime allait revenir. Qu'il allait le prendre dans ses bras, lui dire que maintenant il sera là. Il était parti depuis seulement 24 heures, mais dans la tête de Valentin il reviendra jamais, c'était déjà trop long. Dans la tête de Valentin il était parti pour de bon. Faut croire que l'alcool ne s'était toujours pas estompé.

Il souffla un grand coup pour se préparer à se lever, il sentais qu'il allait revenir, il le savais, il était persuadé. Alors il se leva, sans trop de mal, maintenant, bizarrement. Comme prit par une force inexistante, la détermination. Il regardait partout où pouvais être son portable. Et il trouva, la cuisine.

Il se dirigeait vers la table de la salle à manger. Pourquoi il était là bas ? Ça n'a aucun sens ? Ah bah si, quand il était aller prendre sa bouteille dans le frigo, il avait posé son téléphone sur la table. Il l'avais même pas posé, il l'avais lâché de rage, de colère, de tristesse. Parce que les mots de Maxime avait fait qu'empirer les choses. Avait fait l'effet d'une bombe.

L'alcool le rendais sûr de lui, plus fort, chose qu'il avait perdu ces temps-ci. Il pensais que Maxime allait frappé à sa porte, et l'embrasser. Le rêve quoi.

Alors il etait là, devant l'objet qui allait sûrement lui redonner un sourire vrai. Il hésitais, mais il prit son courage à deux mains. Et quand il déverrouilla son téléphone, il perdit tout espoir, tout sourire. Il était terriblement déçu. En même temps, comment avait-il pu croire deux secondes que Maxime pensais à lui ? C'était ridicule, tout était ridicule. Il avait honte, tellement. Il voulais pas l'aimer, mais tout le ramenait à lui.

Il avait tellement de mal à vivre quand il était loin de lui, tellement de mal à être heureux quand il ne croisait pas son regard. Il avait plus la force d'avancer, il se remémorai sans cesse les moments passés, et ça le déprimais encore plus.

Il se dirigea d'un pas lent, sans vie, sur le canapé. Il avait des cernes, les yeux rouges. Il en avait tellement marre de passer ses nuits à penser, lui et son esprit tourmenté. Il décida tout de même de regarder ce qu'il se passait sur les réseaux sociaux. Et il vit d'abord tout l'amour de ses précieux abonnés qui se demandaient quand est ce qu'une nouvelle vidéo allait sortir. Ça lui réchauffa le cœur, quelques secondes il se cru aimé, attendu. Il était presque content, mais il y avait toujours se vide dans le cœur.

Sauf que toute chose à une fin. Le bonheur était partit d'un seul coup, sous le regard dépité de Valentin. Une seule photo et c'était son cœur qui rattai un battement. Une seule photo et s'en était trop. De chaudes larmes devala à toute vitesse sur ses joues, c'était la douleur qui parlait. Les pensés noires du jour précédant qui revenait. Qui laissa aucune place au bonheur, à la joie. Qui ne laissa aucune chance à Valentin.

L'alcool lui avait donner une force qui n'existait plus, un vie qu'il avait perdu. Le pouvoir de croire à quelque chose de faux. Et c'est après cette photo qu'il tombais de haut. Encore une fois. Sauf que là il sécrasa au sol violemment. Sauf que là, la chute était devenue mortel. Sauf que là la douleur était devenue beaucoup trop grande. Il fallait qui évacue, qu'il pleure un bon coup, qu'il crie. Alors il cria son prénom, de longue minutes. Il pleura, pleura tellement que son t shirt était mouillé de sa vie brisée, de son âme bousillé.

Sans penser à quoi que ce soit, sans vraiment comprendre, ses pas le menait tout doucement vers la salle de bain, la seule chose qu'il ne fallait pas. Il était seul, et il y avait personne pour le résonner.
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Je sais, ce chapitre tourne beaucoup en rond mais bon, j'espère qu'il vous plaira quand même ! Merci beaucoup à ceux qui suivent cette fanfic quotidiennement, ça me fait énormément plaisir ! Et merci pour les plus de 270 vues, c'est génial !!♡