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Chapitre 15

C'est un chapitre "sentiments" et assez court mais bon, bonne lecture ♡

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Les jours passaient et Maxime était toujours au petit soin pour Valentin. Il tenait sa promesse: il le sortait, il faisait tout pour le faire sourire, il était là jour et nuit quand Valentin en avait besoin. Il essayait de le faire rire, et de temps en temps ça fonctionnait mais il avait toujours des absences, ces moments où il était perdu dans ses souvenirs. Le temps passait mais rien n'y faisait, rien n'y faisait parce que Valentin ne retrouvais pas le sourire et ça devenais compliqué. Maxime ne se lassait pas non, il était juste désespéré face à la situation. Il tentait tout, mais rien ne rallumait l'étincelle éteinte dans son cœur. Val ressentais toujours des sentiments pour le brun, mais même sa présence ne suffisait plus. Et pourtant, après l'épisode de la tentative de suicide, il avait envie de s'en sortir. Il avait envie de sourire, de vivre normalement, mais son corps ne suivait pas. Il y avait une partie de lui qui était toujours dans le noir, une partie de son cœur qui était toujours brisé et c'est seulement avec le temps que les morceaux se réparerons. Il essayait vous savez, mais c'était toujours un échec. Parce que la dépression on en rentre facilement, mais pour en sortir il faut des semaines et des semaines de travail. Il faut persévéré, ne pas lâcher, se battre contre la vie, mais c'est plus facile à dire qu'à faire. C'est dur parce que, à un moment Valentin avait arrêté de croire en la vie, c'est dur parce que à un moment il avait baisser les armes et il avait laisser les choses faire. Pour croire en un futur, faut se remettre de ses blessures, faut sourire malgré tout. Mais le temps lui parraisait long, si long, c'est long une vie en fait.

Mais il allait être fort, parce qu'il le fallait. Il fallait qu'il vive malgré tout, avec la douleur et la peine qui le rongeais. Il fallait qu'il le fasse, ne serais que pour Maxime, celui qui a été là, ou du moins après. Il ne lui en voulais même pas, parce que après tout il était là, au près de lui à présent et il y avait que ça qui comptait. Mais à chaques fois qu'il avait l'espoir de s'en sortir, de vivre, d'enfin sourire, il y avait toujours quelque chose pour lui prouver le contraire et c'est alors que toutes ses espérances disparaissait avec ses larmes. Il était souvent perdu dans ses pensés dans ses souvenirs et son passé. Pourtant il y avait les mots réconfortant de Maxime, ses messages qui voulait dire qu'au moindre problème il pouvait débarquer chez lui, ses gestes d'affections, mais Val savait pertinemment qu'il allait replonger. Je parle pas forcément de l'automutilation, je parle de son mal être. Parce que Val va se relever, mais qui dit qu'il va pas retomber dans peu de temps ? Qui dit que tout ça c'est fini ? Personne. Personne parce qu'on retombe toujours, il y en a qui tribuchent seulement et il y en a d'autres qui s'écrasent au sol et qui on tellement de mal à se relever. Et lui il faisait partit de ces gens qui se cassait la gueule, qui dans leur tête avait un espoir de s'en sortir mais qui dans leur cœur était brisé à jamais.

Il aimerais aimer la vie comme les autres le font, être amoureux comme les autres le sont, vivre comme les autres le montre, mais il y a quelque chose qui n'est plus pareil et ça, ca reviendra pas avec le temps. Enfin de compte tenter de ce suicider, ça n'arrange rien. Ça nous rends pas plus fort, on en revient pas meilleur, ça nous laisse des marques : sur les poignets, dans la tête, dans le cœur. C'est ce genre de truc qu'on oublie pas, qui est encré et ça empire les choses, qui était déjà bien compliqué. Alors même si Valentin avait plus de force, même si chaques jours rimai avec ennui et tristesse, il sortait quand même, il souriait de temps en temps pour au moins voir Max sourire. Il essayait de voir gris, un mélange de deux couleurs, c'est déjà ça. Voir le bon et le mauvais côté des choses, même si niveau bon il y en avait que très peu, au fond il y croyait. Il croyait à un paradis, a un futur. Un futur en désordre certe, mais quelque chose de vivant, quelque chose d'heureux.

Même si bien souvent il se disait qu'il n'avait rien à perdre, que personne ne le retenait, au fond de lui il ne voulait plus quitter Maxime une seconde fois. Il ferait comment sans son sourire ? Sans sa joie de vivre qu'il partageais tout le temps ? Il tenait tellement à lui qu'il en était arrivé là, d'un côté c'est triste mais de l'autre ça prouve tout l'amour qu'il lui porte. Ouais je sais c'est "pouet pouet" (nda:  jugez pas x) ) mais bon, c'était ce qu'il ressentait au fond de son cœur. Il ferait comment sans lui enfin de compte ? Peut être rien, ou peut être beaucoup, on ne sait pas. Vous savez, il avait toujours un vide dans le cœur, toujours une place pour Maxime, même si cette place ne seras jamais comblé il devait se résoudre à persister, à foncer dans le mur.

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Mercii pour les plus de 700 vues, on approche des 1000 (pas du tout) ♡
Est ce que vous aimez quand je fait des chapitres "sentiments" ? (Pour les prochaines histoires)
Question :
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