Il y avait un moment où j'étais totalement innocent, où le monde était soit rempli de gentils et de méchants. En même temps je vivais dans ma bulle, mon petit monde, j'y étais tellement attaché que dans la vrai vie, j'étais distrait, peu bavard, très décalé de la réalité parfois. Certains pensait même que je souffrais d'autisme, alors on étais aller voir des spécialistes etc...
Mais ça ne changeait pas grand chose sur qui j'étais, un petit garçon gentil , dans la lune, naïf, sensible, un peu bête mais c'est pas méchant.Malgré tout, en primaire, je pensais avoir beaucoup d'amour vis à vis de mes camarades (je sais pas dire si on me le faisait penser ou alors il m'appreciaient vraiment.) Quoi qu'il en soi, j'avais pas de vrai soucis avec qui que ce soit. Jusqu'à que je sois arrivé en école secondaire. Et je vais parler de vous.
Vous qui m'aviez pointer du doigts en me disant que j'étais anormal.
Vous qui aviez abusé de ma naïveté mais surtout de ma gentillesse.
Vous qui m'aviez montrez par les moqueries et les coups que j'étais faible...
J'étais tellement perdu au final, que je pensais que c'était vous la norme, et que je devais m'intégrer à vous. Mais j'ai vite compris que ça brisait mes codes, mon honneur, et que ce n'est pas en rejoignant des enfoiré comme vous que j'allais grimper. J'ai donc continuer dans mon coin, à part que cette fois j'étais prêt de ce qui pouvait m'arriver.
Certains disaient qu'ils faisaient ça pour "la blague", mais je sais que d'autre étaient sincère, et voilà ce que j'ai à vous dire... Tout ce que vous m'aviez fait dans le passé, je vous remercie, de m'avoir montré la vérité de cette société. On dit qu'elle est développé, mais le système de "la loi du plus fort" est toujours d'actualité, juste qu'on veut plus l'assumer, mais encore merci.Vous avez transformé l'esprit d'un petit garçon qui voulait prôner l'amour en une bête froide qui se méfie de ses congénères.
Votre moquerie et votre jugement m'a appris le sarcasme, et que je suis désormais plus vicieux que ce que vous pouvez penser.
Vous m'avez marqué au fer rouge à l'époque, mais aujourd'hui, j'ai appris que vous m'aviez forger mon caractère et les parois de mon esprit.
Vous m'avez appris à vous haïr, et ne vous en faite pas, lorsque vous serez dans une mauvaise posture, je ferais comme vous, je n'hésiterais pas à vous maintenir votre crâne au sol, alors que vous êtes à genoux par la tristesse.
Vous aviez penser me détruire, mais vous aviez juste entamé une reconstruction, et aujourd'hui, je me sens bien plus haut que vous.Vous n'êtes pas des harceleurs, vous êtes juste des amateurs, vous aviez fait des choses impardonnable, que ce soit sincère ou pour la blague, et aujourd'hui, je souris au conséquence que la vie cruel vous offrira.
En tout cas j'ai tourner la page, désormais je donne de l'importance à ceux qui en ont besoins, c'est à dire ceux que j'aime. Les raclures à fonds de chiottes comme vous n'ont plus aucun intérêt à mes yeux. Pourquoi je parles de vous alors ?
Pour que vous sachiez vraiment ce que je penses de vous. Des frustrées qui se prennent pour des seigneurs, alors que vous êtes des déchets.
C'est pas gentil tout ça me diriez vous, en même temps quand tu te fais influencé par des connard, des séquelles se forment...
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Ma vision du monde en prose: Retour.
RandomRebonjour, je te propose de rentrer dans ma tête une nouvelle fois, que je t'explique comment je vois parfois le monde, que ce soit avec des métaphores ou avec des questions, que ça traite de l'amour ou des échecs, de conclusions nul jusqu'au belles...