Tu as un grand cou, un très grand cou... Mais non je te parles pas de ton cou, tu es con ou quoi, je parles de ton égo.
Si grand que tu te crois au dessus de tous et tu chies à la gueule des autres comme un pigeon.
Tellement d'ego que tu penses qu'à tes besoins et non à ceux des autres.
Tellement d'ego que tu penses clashé les gens en les insultant, puis tu en ris, en te croyant drôle.
Tellement d'ego que t'as aucun égaux, tu ferais tout pour prendre un avantage sur les autres.
Tellement d'ego que tu n'avoue jamais tes tords, et que tu as toujours raison.
Tellement d'ego que tu penses que tout le monde est avec toi lorsque tu penses quelque chose de mauvais ou d'humiliant envers quelqu'un, mais ne t'en fais pas, ça arrive à beaucoup de monde d'avoir des gens dans sa tête.
Tellement d'ego que les gens sont des réservations, et qu'ils t'appartiennent comme des pions.
Tellement d'ego que dès que l'on te reproche de quelque chose, tu penses qu'on est que des haineux.
Tellement d'ego qu'au final, tu t'en rends même pas compte, malgré qu'on te le dise...Mais ne t'en fais pas, quelqu'un t'en fera prendre conscience, soit avec les mots, mais si ça ne suffit pas, avec des coups. L'ego est une sorte de petit monde, on se sent bien mais le tord qu'on fait aux autres est parfois extrêmes. C'est pire que de l'autisme.
Mais quand tu t'en rendra enfin compte, le plus dur ne sera pas de te pardonner de ce trait de caractère de merde, mais de pardonner les autres de ce que tu as pu dire et faire, car tu n'avais jamais pris l'attention de les écouté voir de penser à eux.
Morale: Ne prenez pas le long cou, il est beaucoup plus facile à briser.
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Ma vision du monde en prose: Retour.
RandomRebonjour, je te propose de rentrer dans ma tête une nouvelle fois, que je t'explique comment je vois parfois le monde, que ce soit avec des métaphores ou avec des questions, que ça traite de l'amour ou des échecs, de conclusions nul jusqu'au belles...