16.Mère nature

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Tu es grande, que dis-je immense. Tout le monde te crain et te vénère à la fois, tu es plus forte que tous et tu as déjà montrer ta colère en faisant trembler la terre ou en mouvant violement les eaux. Tu es mère nature.

Tu es celles qui veille au plante et qui punit les bûcherons à coup de tonnerre, tu es celles qui remet en place les espèces se pensant au dessus de tous. Tu es la véritable prédatrice ultime, et personne ne peut arriver à la cheville.

Mais qu'es-ce que tu peut être injuste parfois, à punir ceux qui n'ont rien fait, même à ceux qui ne te veulent que du bien. Et moi je ne t'ai jamais rien demander.

Je recule quand je vois ton immensité, pas par la peur, mais par ma curiosité, de pouvoir cerner tes points faibles. Tu m'as déclaré la guerre depuis que tu m'as envoyé tes sbires: Pestillence et maladies, en pensant m'affaiblir ou me tuer, mais ton audace m'a juste rendu plus fort. Je sais que je ne peux te vaincre, car tu as trop d'impact sur la planète, et te tuer, serait tuer aussi la faune, la flore et l'humanité. Donc non je ne veux pas ta peau, ce que je veux ? Te défier.

Continue à me lancer tes pièges tragédique, soit je les éviterait ou les déjourais, soit je me les prendrais, mais je ferais tout pour me remettre sur pied et ne plus remarcher dessus. Et je gagnerai cette guerre que si je meurt sainement, le coeur essoufflé, et non pas par la maladie, la nature, la tristesse ou l'humanité. Si j'atteint ce but, je me sentirais tout aussi grand que toi mère.

Morale: Ce n'est pas parce qu'une personne est plus grande et vicieuse que toi que tu ne pourras pas déjouer ses plans mal intentioné.

Ma vision du monde en prose: Retour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant